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Dictionnaire Biblique de Top Bible

MIRACLE

Le mot miracle signifie étymologiquement : chose surprenante et digne d'admiration. Il s'applique à un événement inaccoutumé et imprévisible, ordinairement considéré comme inexplicable.

Aucun de ces caractères ne peut suffire à définir le miracle. Le miracle est nécessairement un événement rare en son genre, car un événement qui se répète fréquemment devient habituel, même s'il est imprévisible et inexplicable ; mais il ne manque pas d'événements rares et inexplicables qui ne sont pas des miracles. Le miracle est imprévisible, car il paraît sans relations causales avec le reste des événements, mais l'imprévisible a sa place aussi parmi les phénomènes naturels, en météorologie par exemple. Il en va de même pour l'explicabilité : si le miracle paraît mystérieux, il s'en faut que nous soyons en mesure de comprendre tout ce qui se présente dans la nature.

Le miracle se distingue des événements naturels, imprévisibles, inaccoutumés et inexplicables, en ce que les événements naturels, si mystérieux soient-ils pour nous, sont réputés naturels, c'est-à-dire causés par des forces naturelles avec lesquelles ils ont des relations constantes, capables de s'exprimer par des lois universelles, bien que notre connaissance du monde soit insuffisante pour les exprimer encore ; tandis que le miracle est réputé surnaturel, c'est-à-dire causé par une puissance surnaturelle, sans égard aux lois naturelles ou en dépit d'elles : ainsi nous trouvons le sens profond de l'idée de miracle qui est une intervention surnaturelle au sein du monde naturel. Il convient en effet de réserver le nom de miracle aux événements qui arrivent dans l'ordre des choses naturelles : on peut, sans doute, par extension, nommer miracle les interventions surnaturelles dans l'ordre moral ou spirituel (changements intérieurs, conversions, etc.), mais ces miracles moraux ou religieux ne répondent pas au sens précis du mot miracle et ne soulèvent pas les difficultés qui s'attachent au miracle naturel. Voir Nature.

Bien des esprits considèrent qu'on ne peut pas admettre une puissance surnaturelle qui agirait dans le monde sans égard aux lois naturelles ou en dépit d'elles. Si les lois naturelles régissent le monde, elles ne peuvent souffrir de dérogations : or le miracle serait, selon une expression consacrée, une violation des lois naturelles. Il faut donc, ou renoncer à l'ordre naturel, ou renoncer au miracle. « L'Éternel a donné des lois, il ne les violera pas », dit le Psalmiste (Ps 148:6) ; que devient alors le miracle ?

Seule une juste estimation de la valeur des lois naturelles et du miracle peut résoudre l'antinomie. Nous devons donc, tout d'abord, examiner ce qu'il convient d'entendre par loi naturelle, et comment le miracle, qui ne saurait être une violation de lois, conserve cependant sa pleine valeur.

1.

Le miracle et les lois naturelles.

La connaissance scientifique du monde se fonde sur l'observation directe ou indirecte des choses. Mais les observations du monde extérieur ne peuvent constituer une science qu'autant qu'elles seront reliées les unes aux autres par des rapports constants. Le savant reconnaît que les phénomènes naturels ont entre eux des rapports de cause à effet : c'est seulement parce que les phénomènes dépendent les uns des autres, parce qu'il n'y a pas d'effet sans cause et que les mêmes causes produisent toujours les mêmes effets, que le savant peut tenter de comprendre le monde et de l'expliquer.

Ces relations universelles et constantes sont formulées par la science et reçoivent le nom de lois naturelles. On a cru pendant longtemps que les lois naturelles exprimaient l'ordre du monde et assuraient à elles seules le réglage de l'univers : ainsi sont nées les théories mécanistes, qui veulent voir dans le monde une machine se mouvant mécaniquement selon des lois nécessaires. Le monde peut se transformer de mille manières, sans rien changer à son immuable rigidité nécessaire, car tout s'opère selon des lois qui régissent tous les mouvements. Même les choses les plus distinguées ne sont que le résultat d'actions physiques, et il serait vain d'admettre une action extérieure sur les événements nécessaires d'un monde déterminé par des lois.

Mais une telle théorie, pour avoir eu une grande vogue, n'en est pas moins fortement ébranlée aujourd'hui, non seulement par la science elle-même, mais par la logique. Contre elle se dressent, au coeur de la science, des principes nouveaux. Le principe de Carnot laisse entendre que le monde ne peut produire deux fois la même figure, qu'il tend vers un état d'équilibre calorifique et que la formule « rien ne se crée, rien ne se perd » est à tout le moins exagérée. Les principes d'évolution, que ce soit selon le mode de Darwin, de Lamarck, de de Vries ou d'autres, posent des constatations analogues. Malgré la défense des savants, des voies nouvelles sont ouvertes à l'esprit pour supposer que le monde a un but et ne tourne pas en rond.

D'autre part les théories mécanistes sont contraintes d'englober dans l'étroitesse de leur déterminisme cosmique les actions humaines. La liberté et la morale disparaissent, l'une devenant une pure illusion, l'autre une pieuse absurdité dont le fondement réel n'est pas une question d'obligation de conscience, mais une question de relation sociale.

Si l'on sort de ces conceptions étroites et insuffisantes, le monde apparaît, non plus comme une mécanique, mais comme une histoire ; l'homme, de ce chef, n'est plus un ridicule jouet qui se berne lui-même--accident physico-chimique de la croûte terrestre--, mais un acteur de l'histoire, un agent conscient et responsable. Il lui est alors loisible de chercher de tout son être à comprendre les mystères de la création et à pénétrer les secrets des lois de la nature, sans perdre de vue que ces lois n'épuisent pas la réalité, mais en sont simplement une fragmentaire expression.

Il est évident qu'on ne peut admettre le miracle dans un monde déterminé mécaniquement par des lois. S'il y a des lois, elles ne peuvent être violables à merci, fût-ce par le Créateur.

Certes on peut entendre que le jeu des lois est fort compliqué et que toute loi peut être modifiée ou inhibée par le jeu d'une autre loi. L'avion, par exemple, se fondant sur une loi de la résistance de l'air, peut violer la loi de la pesanteur en faisant voler du plus lourd que l'air. Il est loisible dès lors de comprendre que Dieu peut mettre en oeuvre des lois que nous ignorons encore et produire des phénomènes inexplicables.

Les savants ont laissé s'implanter dans l'esprit du public l'idée fausse et funeste que les lois régissent le monde. Or les lois ne sauraient rendre compte de la marche historique du monde où nous vivons. Elles s'appliqueraient aussi parfaitement à des mondes radicalement différents du nôtre, et permettraient la construction de toute sorte d'univers, sans rien changer à leur expression. Les lois n'ont pas, comme le pensent des esprits superficiels, de puissance par elles-mêmes : un pendule oscille sans calculer la racine carrée de sa longueur, et la lampe électrique ignore sa résistance au courant qu'elle devrait connaître pour appliquer la loi de Joule.

Les lois ne sont que des transcriptions dans notre pensée de relations naturelles qui débordent cette pensée, parce que les relations mécaniques qui existent entre les phénomènes en sont les conditions, mais non le déterminisme. Les phénomènes ont entre eux des relations régulières et constantes, parce qu'ils ne sont pas possibles en dehors de certaines conditions. Ces conditions, la science les étudie et les exprime dans des lois Les lois sont par conséquent l'expression de la possibilité des phénomènes naturels : cela seul est possible qui est conforme à une loi.

Mais les lois naturelles, prévoyant tout ce qui est possible, se bornent à exprimer les conditions des choses : la réalité, le déterminisme du monde, ce qui fait qu'il est tel qu'il est et non autrement, échappe complètement à l'emprise des lois. Les lois sont générales et universelles, tandis que le réel est particulier et unique. Bacon disait à juste titre qu'il n'y a de science que du général : il faut ajouter qu'il n'est de réalité que du particulier. Ainsi les lois ne régissent rien du tout : elles formulent seulement les conditions de la possibilité des choses. Le déterminisme du monde n'est pas, comme le pensent les théories mécanistes, une immanente nécessité ; il est une puissance transcendante.

Le gouvernement du monde, son évolution comme sa création, appartiennent à Dieu.

On comprend dès lors aisément comment Dieu peut ordonner dans le monde les phénomènes naturels selon sa volonté créatrice : l'Éternel règne. Mais on comprend aussi combien il est faux de dire que le miracle est une violation des lois de la nature, puisque, pour violer une loi, il faut appeler à l'être l'impossible, le néant.

Tout est possible à Dieu, car il connaît toutes les possibilités du monde, c'est-à-dire toutes les lois, connues de nous ou non ; c'est toujours en accord avec ces lois que l'action de Dieu se manifestera dans le monde.

2.

Le miracle et la conscience religieuse.

La conscience religieuse assiste à chaque instant à des miracles. Elle appelle miracle l'apparition d'événements que ne comportait pas la marche normale des choses et qui manifestent par conséquent une intervention de Dieu.

Sans doute les miracles moraux ou religieux sont pour elle les plus fréquents, mais il n'est pas rare qu'elle voie, jusque dans l'ordre matériel, l'intervention directe de Dieu, expérimentant ainsi la profondeur de la pensée de l'apôtre : « La piété a les promesses de la vie présente et celles de la vie à venir. » Pour le croyant le miracle n'est qu'une forme de la Providence de Dieu, forme frappante parce qu'inattendue et manifestement puissante. Le miracle est pour lui le témoin de la réalité des choses spirituelles, le témoin de la présence de Dieu dans sa vie et dans le monde qui l'entoure, de son amour, de sa puissance.

C'est pourquoi le miracle est le sceau de sa vie spirituelle. C'est lui qui, non seulement traduit à ses yeux la puissance de Dieu, mais de plus tend à constituer dans son coeur le trésor d'expériences spirituelles personnelles qui sont la seule preuve intangible de la réalité de sa communion avec Dieu, c'est-à-dire de sa vie religieuse.

Le miracle ne doit donc pas être envisagé comme une action fantaisiste et capricieuse de Dieu, mais comme une action surnaturelle de Dieu s'insérant dans l'ordre naturel. Le miracle n'est jamais une violation des lois naturelles : il demeure toujours conforme à quelque loi et n'est pas inexplicable en soi. Il semble à tort qu'un miracle explicable n'est plus un miracle.

Certes le miracle incompréhensible, anormal, prodigieux, impose et paraît seul digne d'un Dieu puissant. Pour que le miracle soit inexplicable et exceptionnel, il faut qu'il soit une dérogation à des lois naturelles reconnues comme assurant normalement l'ordre et la marche du monde ; autrement dit, le miracle-prodige impose la croyance à un ordre nécessaire des choses.

Au contraire, si l'on voit dans le miracle une intervention de Dieu conforme à l'ordre légal, le miracle devient à la fois explicable en soi et fréquent, on pourrait dire normal : Dieu règne sur le monde. Dès lors le miracle revient près de nous ; il entre à nouveau dans nos vies quotidiennes. Il devient possible de reconnaître sans arrière-pensée l'activité de Dieu dans le monde et de contempler sa divine Providence et son oeuvre créatrice.

Le miracle est à chaque pas de la vie du croyant : seul le souci de voir des prodiges nous empêche de le reconnaître. Il ne faut pas être de ces croyants qui, résignés, proclament que l'ère des miracles est close : ce ne sont pas les miracles qui sont taris, mais notre foi. S'il y avait des miracles autrefois, c'est qu'on savait reconnaître tout simplement l'action de Dieu dans le monde, sans s'embarrasser de notions fausses sur les lois naturelles, sans chercher par conséquent des prodiges de charlatans.

La conception vulgaire du miracle présente un autre danger : accréditant l'idée que n'importe quoi est possible, elle ouvre la porte à la superstition et au magisme. Le surnaturel chrétien ne doit pas être un contre-naturel, sous peine de ne pouvoir être défini avec la précision voulue ; si l'on refuse le contrôle des lois de la nature pour les actions surnaturelles, on ne peut plus distinguer le surnaturel chrétien du « surnaturel » païen.

Certes l'ordre des lois de la nature, nous l'avons dit, n'est qu'une vue théorique : le déterminisme pratique, historique du monde appartient à Dieu. Mais l'ordre théorique, expression de la possibilité naturelle des choses, conserve toute sa valeur, comme moyen de connaissance et de compréhension du monde (science pure) et comme moyen d'action sur le monde par la connaissance de ses possibilités (sciences appliquées, arts).

On pourra prétendre que seul un miracle prodigieux peut prouver la puissance de Dieu. Autrefois l'apologétique déduisait des miracles bibliques, et spécialement des miracles de Jésus, la preuve de la valeur du message évangélique. Cette voie est aujourd'hui heureusement abandonnée. On estime que c'est la vie de Jésus, sa personne et son oeuvre et la valeur religieuse de la Bible qui accréditent les miracles bibliques. Il faut renoncer à administrer la preuve du surnaturel : un prodige ne prouvera jamais rien à ceux qui n'admettront pas préalablement son origine surnaturelle.

Les plus éminents miracles dont le chrétien bénéficie sont ceux qui ont le moins l'air « miraculeux » ; ils sont habituels : la création, la rédemption, la prière, etc.

En présence d'un miracle le monde parle de chances, de coïncidences, de hasard, etc. Le croyant, lui, sait à quoi s'en tenir, car il ne se soucie, ni de prouver l'inexplicabilité du miracle, ni de lui trouver une explication. Il considère le miracle comme une oeuvre de Dieu. Il ne réclame nullement que l'action divine soit aussi irrationnelle et incompréhensible que possible ; il cherche seulement la valeur religieuse de l'événement miraculeux.

Si, faisant oeuvre de science, il tente l'explication du miracle, c'est-à-dire s'il recherche les conditions dans lesquelles Dieu a agi, ses études doivent réussir, parce que Dieu n'a violé aucune loi. Mais l'explication possible d'un miracle n'ôte rien de sa valeur aux yeux du croyant. Quand même il serait prouvé qu'un raz de marée repoussa les eaux de la mer Rouge, la foi du chrétien n'en serait pas ébranlée. Il devra au contraire bénir Dieu de lui enlever un souci rationnel, d'ailleurs légitime, en lui permettant de comprendre son action. La valeur religieuse du miracle demeurera toujours : Dieu est intervenu pour sauver Israël de la maison de servitude.

Une fois connues les conditions dans lesquelles s'est opéré un miracle, celui-ci perdra son caractère fantastique : il n'en sera que plus assimilable à la vie propre de l'enfant de Dieu. La valeur du miracle n'est pas son invraisemblance, mais l'oeuvre qu'il accomplit. Pourquoi Dieu opérerait-il d'impossibles révolutions quand sa sagesse peut commander normalement le monde et y réaliser les fins qu'il s'est proposées ? Le miracle de la mer Rouge, auquel nous avons fait allusion, est expliqué par l'écrivain sacré lui-même : « Il se leva un grand vent d'Orient » (Ex 14:21). N'est-il plus question de miracle parce que Dieu n'envoya pas deux anges pour tenir en respect la muraille liquide ?

3.

Le miracle et la Bible.

Il est de nombreux passages où les événements ne sont pas rapportés avec autant de précisions : l'écrivain sacré ne s'est jamais posé les questions que notre mentalité moderne nous amène à poser. Les récits bibliques n'ont que faire des explications scientifiques dont nous sommes assoiffés. Ils rendent témoignage à la puissance de Dieu, et, comme Dieu agit sans s'occuper de notre science, Il fit bien des choses auxquelles les auteurs sacrés ne comprirent rien, sinon que Dieu intervenait. Il est donc naturel que leurs récits soient, d'un point de vue scientifique qui était bien en dehors de leurs préoccupations, insuffisants, déconcertants ou incompréhensibles.

Il serait puéril de repousser un miracle parce qu'il ne serait pas relaté en termes scientifiques modernes. A ce compte-là il faudrait contester que Descartes eût de l'esprit parce que le siège de l'intelligence n'est pas dans la glande pinéale comme il le pensait. Le chrétien doit rechercher la valeur religieuse des choses bibliques et non leur prêter une portée scientifique. Si Balaam entendit parler son âne, il ne s'ensuit pas que les ânes puissent parler.

Il est vrai que plusieurs miracles ont un caractère nettement invraisemblable. Le chrétien ne doit pas perdre de vue que l'écrivain sacré n'était pas rebuté par les mêmes scrupules rationnels ou scientifiques que lui. Que le soleil se soit arrêté sur Gabaon est d'une invraisemblance totale ; l'explication astronomique que fournit l'écrivain sacré a-t-elle une valeur souveraine ? Il entend exprimer de façon à la fois précise et poétique que Dieu intervient miraculeusement : cela seul nous importe ; il n'y a pas à faire de la science avec les choses religieuses.

Tenterons-nous d'expliquer un à un tous les miracles de la Bible ? --Non. Le croyant sait à quoi s'en tenir avec ce qui précède et ce que lui dicte son coeur. Les miracles de la Bible sont ce qu'ils sont. Ils se présentent sans appareil scientifique, ou du moins sans prétentions scientifiques, sans honte et sans fard, dans leur splendide brutalité, aspirant non à nous étonner et moins encore à nous instruire, mais à nous montrer avec éclat la puissance souveraine de Dieu.

La grande majorité des miracles de l'A. T, sont rapportés au cours de l'exode des Hébreux et pendant le ministère d'Elie et d'Elisée. Les premiers sont, pour la plupart, explicables aujourd'hui, ce qui ne leur ôte rien de leur valeur religieuse qui, comme nous venons de le dire, ne réside pas dans l'invraisemblance, mais dans l'intervention de Dieu pour que toutes choses concourent au bien de ceux qui l'aiment (cf. les plaies d'Egypte, etc.). Les seconds ont le caractère spécial de miracles à conviction, véritables lettres de crédit des prophètes. De même pour Ésaïe, dans 2Ro 20:10.

Le récit de la victoire de Josué nous montre la facilité avec laquelle les écrivains sacrés admettaient les interprétations du miracle. Le récit mentionne que l'Éternel arrêta le soleil, ce qui paraît n'être qu'une paraphrase du chant poétique (Jos 10:12-14). La Bible nous rapporte ces récits, fût-ce en un style imagé, l'action miraculeuse de la main puissante de Dieu.

Les miracles du N.T. sont accomplis par Jésus et par ses disciples. Jésus a toujours évité de se servir de sa puissance surnaturelle pour contraindre les gens à le suivre : il ne voulait pas qu'on le prît pour un thaumaturge. Le caractère dominant de ses miracles est un but de bienfaisance et de soulagement de la misère ; ils nous montrent que la foi et la puissance qu'ils confèrent peuvent seules remédier à la misère où le péché a plongé l'humanité.

Jésus a refusé de faire des miracles pour lui-même ; (Mt 4:6 16:4, Jn 4:48) il a toujours exigé avant toute intervention surnaturelle la foi de celui qui devait être l'objet de son action (Mt 13:58, Lu 8:43,45, Jn 5:6-8).

C'est au nom du Père et par le Père que Jésus fait ses miracles : pour ses miracles, comme pour tout, Jésus puisait auprès de Dieu ses forces et ses directions par la prière (Jn 11:41).

Les apôtres, revêtus de la puissance de l'Esprit, ont été capables d'accomplir des miracles. On peut sans peine voir la grande différence d'inspiration entre les miracles du Sauveur et ceux des disciples. Mais le livre des Actes est parsemé de miracles qui montrent que la promesse du Christ se réalisait dans la primitive Église (Ac 2 43 5:12,16 6:8 8:13 3 7 14:9 9:34 16:18 28:8 9:40 20:10).

Dans notre N.T. le mot miracle est employé sans aucune précision. Le texte sacré est autrement plus riche que nos traductions et montre la valeur essentielle de l'intervention divine. Le mot miracle, dans son acception vulgaire, traduit fort mal le sens des mots bibliques. Les trois évangiles synoptiques, relatant les oeuvres de Jésus, n'emploient jamais, à proprement parler, le mot miracle. Le mot grec le plus souvent employé, dunamis, signifie puissance, pouvoir. Ce mot se trouve dans Mt 7:22 11:21 13:54-58 14:2 Mr 9:39 Lu 19:37 Ac 19:11 1Co 12:10,29, etc. L'action miraculeuse du Christ n'est pas présentée comme un prodige, mais comme l'effet naturel d'une puissance surnaturelle ; Jésus ne « faisait pas des miracles », il « exerçait son pouvoir ». On mesure combien cette notion est éloignée du sens du mot miracle et combien elle est plus claire et spirituellement plus riche.

Le 4e évang, se sert presque exclusivement d'un autre mot : sèméïon, dont le sens est signe, preuve. On trouve ce terme dans tout l'évangile de saint Jean et l'Apocalypse (où il est traduit par prodige) ; on le trouve aussi dans Mt 12:39 24:3-30, Mr 16:17-20, Lu 23:8, Ac 4:16,30 8:6,13, Ro 4:11,1Co 1:22,2Co 12:12,2Th 3:17. Ici encore le sens vulgaire du mot miracle ne se retrouve pas ; les oeuvres de Jésus sont présentées comme des signes de Dieu ou des preuves de sa puissance surnaturelle.

Dans les Actes et les épîtres on rencontre les deux mots mentionnés, mais souvent se trouve un autre mot grec, téras, dont le sens se rapproche davantage du sens ordinaire du mot miracle, et que nos versions rendent le plus souvent par prodige. Ce mot n'est pas employé seul, mais avec « signe » ou « pouvoir » ; il signifie proprement anomalie, événement anormal, miracle. (On le rencontre dans Mt 24:24, Ac 2:19,22,43 5:12 6:8 4:30 15:12,1Ch 1:22,2Co 12:12, Ga 3:5,2Th 2:9, Heb 2:4) Mais le mot grec ne peut évidemment pas contenir le sens présenté par le mot miracle dans son acception courante de violation des lois naturelles, car la notion d'ordre naturel était étrangère aux écrivains sacrés ; le sens propre de ce mot téras est « monstruosité ».

Enfin, très rarement, on rencontre le mot thauma (d'où thaumaturge), qui signifie proprement événement-étonnant, admirable (2Co 11:14, cf, thaumasia, Mt 21:15).

Notons en terminant qu'il ne faut pas perdre de vue, lorsqu'on parle du miracle, la réalité de puissances d'un ordre plus élevé que les forces physico-chimiques seules étudiées jusqu'ici. La science n'a guère consenti encore à prêter attention aux phénomènes métapsychiques qui, en dépit de bien des supercheries et de beaucoup d'interprétations erronées, présentent quelques faits aussi certains que mystérieux. C'est un lieu commun, d'autre part, de parler aujourd'hui de l'action du moral sur le physique.

Enfin, la puissance spirituelle réclamée pour accomplir des miracles est fonction de la communion avec Dieu et de la foi, ainsi que Jésus l'a enseigné à ses disciples (Mt 17:20, Lu 17:6, Mt 21:22, Jn 14:12). H. L.

Révision Yves Petrakian 2005

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      Exode 14

      21 Moïse tendit sa main sur la mer et l'Eternel refoula la mer au moyen d’un vent d'est qui souffla avec violence toute la nuit ; il assécha la mer et l’eau se partagea.

      Lévitique 4

      1 L'Eternel dit à Moïse :
      2 « Transmets ces instructions aux Israélites : Lorsque quelqu'un péchera involontairement contre l'un des commandements de l'Eternel en faisant des choses qui ne doivent pas se faire,
      3 si c'est le prêtre consacré par onction qui a péché et a rendu par là le peuple coupable, il offrira à l'Eternel, en sacrifice d'expiation pour le péché qu'il a commis, un jeune taureau sans défaut.
      4 Il amènera le taureau à l'entrée de la tente de la rencontre, devant l'Eternel. Il posera sa main sur la tête du taureau et l’égorgera devant l'Eternel.
      5 Le prêtre consacré par onction prendra du sang du taureau et l'apportera dans la tente de la rencontre.
      6 Il trempera son doigt dans le sang et il en fera 7 fois l'aspersion devant l'Eternel, en face du voile du sanctuaire.
      7 Le prêtre mettra du sang sur les cornes de l'autel des parfums odoriférants, qui est devant l'Eternel dans la tente de la rencontre. Il versera tout le sang du taureau au pied de l'autel des holocaustes, qui est à l'entrée de la tente de la rencontre.
      8 Il enlèvera toute la graisse du taureau expiatoire, la graisse qui couvre les entrailles et toute celle qui y est attachée,
      9 les deux rognons et la graisse qui les entoure, qui couvre les flancs, et le grand lobe du foie, qu'il détachera près des rognons.
      10 Le prêtre enlèvera ces parties comme on les enlève du taureau dans le sacrifice de communion et il les brûlera sur l'autel des holocaustes.
      11 Mais la peau du taureau, toute sa viande avec sa tête, ses pattes, ses entrailles et ses excréments,
      12 le taureau entier, il l'emportera à l’extérieur du camp, dans un endroit pur où l'on jette les cendres, et il le brûlera au feu sur du bois ; c'est sur le tas de cendres qu’on le brûlera.
      13 » Si c'est toute l'assemblée d'Israël qui a péché involontairement, si sans y prêter attention elle a fait contre l'un des commandements de l'Eternel des choses qui ne doivent pas se faire et s’est ainsi rendue coupable,
      14 et si le péché commis vient à être découvert, l'assemblée offrira un jeune taureau en sacrifice d'expiation et on l'amènera devant la tente de la rencontre.
      15 Les anciens d'Israël poseront leurs mains sur la tête du taureau devant l'Eternel et l’on égorgera le taureau devant l'Eternel.
      16 Le prêtre consacré par onction apportera du sang du taureau dans la tente de la rencontre.
      17 Il trempera son doigt dans le sang et il en fera 7 fois l'aspersion devant l'Eternel, en face du voile.
      18 Il mettra du sang sur les cornes de l'autel qui est devant l'Eternel dans la tente de la rencontre. Puis il versera tout le sang au pied de l'autel des holocaustes, qui est à l'entrée de la tente de la rencontre.
      19 Il enlèvera toute la graisse du taureau et la brûlera sur l'autel.
      20 Il procédera avec ce taureau exactement comme pour le taureau expiatoire. C'est ainsi que le prêtre fera l’expiation pour eux, et le pardon leur sera accordé.
      21 Il emportera le taureau à l’extérieur du camp et il le brûlera comme le premier taureau. C'est un sacrifice d'expiation pour l'assemblée.
      22 » Si c'est un chef qui a péché, s’il a fait involontairement contre l'un des commandements de l'Eternel, son Dieu, des choses qui ne doivent pas se faire et s’est ainsi rendu coupable,
      23 et s’il vient à découvrir le péché qu'il a commis, il offrira en sacrifice un bouc mâle sans défaut.
      24 Il posera sa main sur la tête du bouc et l’égorgera à l’endroit où l'on égorge les holocaustes devant l'Eternel. C'est un sacrifice d'expiation.
      25 Le prêtre prendra avec son doigt du sang de la victime expiatoire, il en mettra sur les cornes de l'autel des holocaustes et il versera le sang au pied de l'autel des holocaustes.
      26 Il brûlera toute la graisse sur l'autel, comme la graisse du sacrifice de communion. C'est ainsi que le prêtre fera pour ce chef l'expiation de son péché, et le pardon lui sera accordé.
      27 » Si c'est quelqu'un du peuple qui a péché involontairement en faisant contre l'un des commandements de l'Eternel des choses qui ne doivent pas se faire et en se rendant ainsi coupable,
      28 et s’il vient à découvrir le péché qu'il a commis, il offrira en sacrifice une chèvre, une femelle sans défaut, pour le péché qu'il a commis.
      29 Il posera sa main sur la tête de la victime expiatoire et l’égorgera à l’endroit où l'on égorge les holocaustes.
      30 Le prêtre prendra avec son doigt du sang de la victime, il en mettra sur les cornes de l'autel des holocaustes et il versera tout le sang au pied de l'autel.
      31 Le prêtre enlèvera toute la graisse, comme on enlève la graisse du sacrifice de communion, et il la brûlera sur l'autel ; son odeur sera agréable à l'Eternel. C'est ainsi que le prêtre fera l’expiation pour cet homme, et le pardon lui sera accordé.
      32 » Si c’est un agneau qu’il offre en sacrifice d'expiation, il offrira une femelle sans défaut.
      33 Il posera sa main sur la tête de la victime et l’égorgera en sacrifice d'expiation à l’endroit où l'on égorge les holocaustes.
      34 Le prêtre prendra avec son doigt du sang de la victime, il en mettra sur les cornes de l'autel des holocaustes et il versera tout le sang au pied de l'autel.
      35 Le prêtre enlèvera toute la graisse comme on enlève la graisse de l'agneau dans le sacrifice de communion, et il la brûlera sur l'autel comme un sacrifice passé par le feu pour l'Eternel. C'est ainsi que le prêtre fera pour cet homme l'expiation du péché qu'il a commis, et le pardon lui sera accordé.

      Josué 10

      12 Alors Josué parla à l'Eternel, le jour où l'Eternel livra les Amoréens aux Israélites, et il dit devant Israël : « Soleil, arrête-toi sur Gabaon et toi, lune, sur la vallée d'Ajalon ! »
      13 Le soleil s'arrêta et la lune suspendit sa course jusqu'à ce que la nation se soit vengée de ses ennemis. Cela n'est-il pas écrit dans le livre du Juste ? « Le soleil s'arrêta au milieu du ciel et ne s’empressa pas de se coucher, durant presque tout un jour. »
      14 Il n'y a pas eu de jour comme celui-là, ni avant ni après, où l'Eternel ait écouté la voix d'un homme, car l'Eternel combattait pour Israël.

      1 Chroniques 1

      22 Ebal, Abimaël, Séba, Ophir, Havila et Jobab.

      Psaumes 148

      6 Il les a établis pour toujours et à perpétuité ; il a donné des lois et il ne les violera pas.

      Matthieu 4

      6 et lui dit : « Si tu es le Fils de Dieu, jette-toi en bas ! En effet, il est écrit : Il donnera des ordres à ses anges à ton sujet et ils te porteront sur les mains, de peur que ton pied ne heurte une pierre. »

      Matthieu 7

      22 Beaucoup me diront ce jour-là : ‘Seigneur, Seigneur, n'avons-nous pas prophétisé en ton nom ? N'avons-nous pas chassé des démons en ton nom ? N'avons-nous pas fait beaucoup de miracles en ton nom ?’

      Matthieu 11

      21 « Malheur à toi, Chorazin, malheur à toi, Bethsaïda, car si les miracles accomplis au milieu de vous l'avaient été dans Tyr et dans Sidon, il y a longtemps que leurs habitants se seraient repentis, habillés d’un sac et assis dans la cendre.

      Matthieu 12

      39 Il leur répondit : « Une génération mauvaise et adultère réclame un signe miraculeux, il ne lui sera pas donné d'autre signe que celui du prophète Jonas.

      Matthieu 13

      54 Il se rendit dans sa patrie, et il enseignait dans la synagogue, de sorte que ceux qui l'entendirent étaient étonnés et disaient : « D'où lui viennent cette sagesse et ces miracles ?
      58 Il ne fit pas beaucoup de miracles à cet endroit à cause de leur incrédulité.

      Matthieu 14

      2 et il dit à ses serviteurs : « C'est Jean-Baptiste ! Il est ressuscité, et c'est pour cela qu'il a le pouvoir de faire des miracles. »

      Matthieu 16

      4 Une génération mauvaise et adultère réclame un signe, il ne lui sera pas donné d'autre signe que celui de Jonas [le prophète]. » Puis il les quitta et s'en alla.

      Matthieu 17

      20 « C'est parce que vous manquez de foi, leur dit Jésus. Je vous le dis en vérité, si vous aviez de la foi comme un grain de moutarde, vous diriez à cette montagne : ‘Déplace-toi d'ici jusque-là’, et elle se déplacerait ; rien ne vous serait impossible.

      Matthieu 21

      15 Mais les chefs des prêtres et les spécialistes de la loi furent indignés à la vue des choses merveilleuses qu'il avait faites et des enfants qui criaient dans le temple : « Hosanna au Fils de David ! »
      22 Tout ce que vous demanderez avec foi par la prière, vous le recevrez. »

      Matthieu 24

      3 Il s'assit sur le mont des Oliviers. Les disciples vinrent en privé lui poser cette question : « Dis-nous, quand cela arrivera-t-il et quel sera le signe de ton retour et de la fin du monde ? »
      24 car de prétendus messies et de prétendus prophètes surgiront ; ils feront de grands prodiges et des signes miraculeux au point de tromper, si c'était possible, même ceux qui ont été choisis.

      Marc 9

      39 « Ne l'en empêchez pas, répondit Jésus, car personne ne peut faire un miracle en mon nom et aussitôt après dire du mal de moi.

      Marc 16

      17 Voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru : en mon nom, ils pourront chasser des démons, parler de nouvelles langues,
      18 attraper des serpents, et s'ils boivent un breuvage mortel, celui-ci ne leur fera aucun mal ; ils poseront les mains sur les malades et ceux-ci seront guéris. »
      19 Après leur avoir parlé, le Seigneur fut enlevé au ciel, et il s'assit à la droite de Dieu.
      20 Quant à eux, ils s'en allèrent prêcher partout. Le Seigneur travaillait avec eux et confirmait la parole par les signes qui l'accompagnaient. ]

      Luc 8

      43 Or il y avait une femme qui souffrait d'hémorragies depuis 12 ans ; elle avait dépensé tout son bien chez les médecins, mais aucun n'avait pu la guérir.
      45 Jésus dit : « Qui m'a touché ? » Comme tous s'en défendaient, Pierre et ceux qui étaient avec lui dirent : « Maître, la foule t'entoure et te presse, [et tu dis : ‘Qui m'a touché ?’] »

      Luc 17

      6 Le Seigneur dit : « Si vous aviez de la foi comme une graine de moutarde, vous diriez à ce mûrier : ‘Déracine-toi et va te planter dans la mer’, et il vous obéirait.

      Luc 19

      37 Déjà il approchait de Jérusalem, vers la descente du mont des Oliviers. Alors toute la foule des disciples, remplis de joie, se mirent à adresser à haute voix des louanges à Dieu pour tous les miracles qu'ils avaient vus.

      Luc 23

      8 Lorsque Hérode vit Jésus, il en eut une grande joie, car depuis longtemps il désirait le voir à cause de tout ce qu'il avait entendu dire de lui, et il espérait le voir faire un signe miraculeux.

      Jean 4

      48 Jésus lui dit : « Si vous ne voyez pas des signes et des prodiges, vous ne croirez donc pas ? »

      Jean 5

      6 Jésus le vit couché et, sachant qu'il était malade depuis longtemps, il lui dit : « Veux-tu être guéri ? »
      7 L'infirme lui répondit : « Seigneur, je n'ai personne pour me plonger dans la piscine quand l'eau est agitée, et pendant que j'y vais, un autre descend avant moi. »
      8 « Lève-toi, lui dit Jésus, prends ton brancard et marche. »

      Jean 11

      41 Ils enlevèrent donc la pierre [de l’endroit où le mort avait été déposé]. Jésus leva alors les yeux et dit : « Père, je te remercie de ce que tu m'as écouté.

      Jean 14

      12 » En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les œuvres que je fais, et il en fera même de plus grandes, parce que je vais vers mon Père.

      Actes 2

      19 Je ferai des prodiges en haut dans le ciel et des signes miraculeux en bas sur la terre : du sang, du feu et une vapeur de fumée ;
      22 » Israélites, écoutez ces paroles ! Dieu vous a désigné Jésus de Nazareth en accomplissant par lui, au milieu de vous, des miracles, des prodiges et des signes, comme vous le savez vous-mêmes.
      43 La crainte s'emparait de chacun et il se faisait beaucoup de prodiges et de signes miraculeux par l’intermédiaire des apôtres.

      Actes 3

      7 Puis il le prit par la main droite et le fit lever. Ses pieds et ses chevilles s'affermirent immédiatement ;

      Actes 4

      16 en disant : « Que faire à ces hommes ? En effet, ils ont accompli un signe miraculeux évident, c’est clair pour tous les habitants de Jérusalem et nous ne pouvons pas le nier.
      30 déploie ta puissance pour qu'il se produise des guérisons, des signes miraculeux et des prodiges par le nom de ton saint serviteur Jésus ! »

      Actes 5

      12 Beaucoup de signes miraculeux et de prodiges se faisaient au milieu du peuple par l’intermédiaire des apôtres. Ils se tenaient tous d’un commun accord au portique de Salomon.
      16 Une foule de gens accouraient aussi des villes voisines vers Jérusalem ; ils amenaient des malades et des personnes tourmentées par des esprits impurs, et tous étaient guéris.

      Actes 6

      8 Etienne, plein de foi et de puissance, accomplissait des prodiges et de grands signes miraculeux parmi le peuple.

      Actes 8

      6 Les foules tout entières étaient attentives à ce que disait Philippe, lorsqu'elles apprirent et virent les signes miraculeux qu'il accomplissait.
      13 Simon lui-même crut aussi et, après avoir été baptisé, il ne quittait plus Philippe ; il voyait avec étonnement les [grands] miracles et signes qui s'accomplissaient.

      Actes 9

      34 Pierre lui dit : « Enée, Jésus-Christ te guérit. Lève-toi et fais toi-même ton lit ! » Aussitôt il se leva.
      40 Pierre fit sortir tout le monde, se mit à genoux et pria. Puis il se tourna vers le corps et dit : « Tabitha, lève-toi ! » Elle ouvrit les yeux et, quand elle vit Pierre, elle s'assit.

      Actes 14

      9 Il écoutait Paul parler. Celui-ci fixa les regards sur lui et, voyant qu'il avait la foi pour être sauvé,

      Actes 15

      12 Toute l'assemblée garda le silence et l'on écouta Barnabas et Paul raconter tous les signes miraculeux et les prodiges que Dieu avait accomplis par leur intermédiaire au milieu des non-Juifs.

      Actes 16

      18 Elle a fait cela pendant plusieurs jours. Paul, agacé, s’est retourné et a dit à l'esprit : « Je t'ordonne, au nom de Jésus-Christ, de sortir d'elle. » Il est sorti au moment même.

      Actes 19

      11 Dieu faisait des miracles extraordinaires par l’intermédiaire de Paul,

      Actes 20

      10 Mais Paul est descendu, s’est penché sur lui et l’a pris dans ses bras en disant : « Ne vous inquiétez pas, car son âme est en lui. »

      Actes 28

      8 Le père de Publius était alors retenu au lit par la fièvre et la dysenterie. Paul s’est rendu vers lui, a prié, posé les mains sur lui et l’a guéri.

      Romains 4

      11 Et il a reçu le signe de la circoncision comme le gage de la justice qu'il avait obtenue par la foi alors qu'il était incirconcis. Il est ainsi le père de tous les incirconcis qui croient, afin que la justice soit aussi portée à leur compte.

      1 Corinthiens 1

      22 Les Juifs demandent un signe miraculeux et les Grecs recherchent la sagesse.

      1 Corinthiens 12

      10 à un autre la possibilité de faire des miracles ; à un autre la prophétie ; à un autre le discernement des esprits ; à un autre diverses langues ; à un autre l'interprétation des langues.

      2 Corinthiens 11

      14 Et ce n'est pas étonnant, puisque Satan lui-même se déguise en ange de lumière.

      2 Corinthiens 12

      12 Les marques de mon ministère d’apôtre ont été produites au milieu de vous par une persévérance à toute épreuve, par des signes, des prodiges et des miracles.

      Galates 3

      5 Celui qui vous accorde l'Esprit et qui accomplit des miracles parmi vous le fait-il donc parce que vous pratiquez les œuvres de la loi ou parce que vous écoutez avec foi ?

      2 Thessaloniciens 2

      9 La venue de cet impie se fera par la puissance de Satan, avec toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers

      2 Thessaloniciens 3

      17 Moi Paul, je vous salue de ma propre main. C'est là ma signature dans toutes mes lettres, c'est ainsi que j'écris.

      Hébreux 2

      4 Dieu a appuyé leur témoignage par des signes, des prodiges et divers miracles, ainsi que par les dons du Saint-Esprit distribués conformément à sa volonté.
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