TopChrétien Entrée de dictionnaire NEZ Démarrer l'expérience SELAH REDIFFUSION - Chère communauté de la Pensée du Jour. Notre équipe dévouée ayant elle aussi besoin d'un peu de repos cet été, nous vous proposerons une sélection de pensées déjà diffusées pour le mois d'août. Nous espérons que cela vous conviendra et nous vous souhaitons également de belles vacances cet été ! 😁 SELAH est un mot qui signifie "pause" en hébreu, et que l'on retrouve dans les Psaumes à plusieurs reprises. Recevoir la Pensée du Jour Voir les versets relatifs Le même mot hébr., au sing, (aph) et au duel (appaïm), peut désigner le nez ou les narines : au sens propre, (Ca 7:5) en tant qu'organe de l'odorat (Am 4:10, Ps 115:6, Sag 15:15) ou organe extérieur de la respiration, identifiée avec la vie comme le souffle l'était avec l'esprit (voir ce mot) ; d'où les expressions figurées de Ge 2:7, Sag 2:2, Esa 2:22 (Sg. : l'homme, dans les narines duquel il n'y a qu'un souffle) et La 4:20 (litt. : l'esprit de nos narines, c-à-d, celui par qui nous respirions encore [Vers. Syn. ], celui qui nous faisait respirer [Sg. ]).Les élégantes orientales appréciaient l'anneau au nez (Ge 24:47, Esa 3:21 Eze 16:12 Pr 11:22) aussi bien qu'aux oreilles (voir Ornements). Parmi les supplices que les Assyriens infligeaient aux vaincus il faut citer l'anneau passé aux narines (2Ro 19:28 parallèle Esa 37:29, cf. fig. 107), le nez coupé ou arraché ; (Eze 23:25) c'est ainsi qu'on pouvait parfois dompter les bêtes féroces en leur mettant une boucle aux naseaux. (Job 40:19,21)Dans le troisième des défauts corporels excluant de la prêtrise, désigné par l'hébreu khâroum, (Le 21:18) beaucoup de versions, à la suite des LXX et de la Vulgate, voient un mutilé du nez (Sg. : nez camus), mais ce sens est très incertain ; il s'agit probablement d'une mutilation (Vers. Syn. : ceux auxquels il manque un membre ; Bbl. Cent. : mutilé), peut-être affectant spécialement la figure, nez, lèvres, oreilles, etc. Dans Eze 8:17, on pense ordinairement que le prophète condamne les idolâtres qui observent la pratique persane des adorateurs du soleil et du feu, d'approcher de leurs narines un rameau sacré ; Reuss traduit cette phrase comme une menace proverbiale : « mais ils portent la serpette à leur propre nez ! »Les poètes de l'A. T, ne reculent pas devant l'anthropomorphisme qui attribue le vent au souffle de la face (litt., des narines) de Jéhovah, (Ex 15:8) l'orage au feu de sa bouche et à la fumée de ses narines, (Ps 18:9) ou qui fait offrir le parfum devant la face (litt., les narines) de l'Eternel. (De 33:10) L'hébreu aph, en effet, prend souvent par extension le sens de face, en particulier dans l'expression : se prosterner la face (litt., le nez) contre terre, (Ge 19:1 42:6 etc.) et aussi celui de colère (celle qui gonfle les narines), en particulier dans l'expression : sa colère s'enflamme ; (Ge 27:45, Ex 4:14, Jos 7:1 etc.) Pr 30:33 joue sur les deux sens du mot : nez et colère. Voir Face, Colère. Utilisé avec autorisation de Yves PETRAKIAN Vous avez aimé ? Partagez autour de vous ! Partager par email Cette page a été partagée par email avec succès ! Ce texte est la propriété du TopChrétien. Autorisation de diffusion autorisée en précisant la source. © 2022 - www.topchretien.com