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La Bible Chronologique - Jour 153

Sommaire

La Bible Chronologique - Jour 331 - 1 Thessaloniciens 1.1,1 Thessaloniciens 1.1-2,1 Thessaloniciens 1.2-3,1 Thessaloniciens 1.3-4,1 Thessaloniciens 1.4-5,1 Thessaloniciens 1.5-6,1 Thessaloniciens 1.6-7,1 Thessaloniciens 1.7-8,1 Thessaloniciens 1.8-9,1 Thessaloniciens 1.9-10,1 Thessaloniciens 1.10,1 Thessaloniciens 2.1,1 Thessaloniciens 2.1-2,1 Thessaloniciens 2.2-3,1 Thessaloniciens 2.3-4,1 Thessaloniciens 2.4-5,1 Thessaloniciens 2.5-6,1 Thessaloniciens 2.6-7,1 Thessaloniciens 2.7-8,1 Thessaloniciens 2.8-9,1 Thessaloniciens 2.9-10,1 Thessaloniciens 2.10-11,1 Thessaloniciens 2.11-12,1 Thessaloniciens 2.12-13,1 Thessaloniciens 2.13-14,1 Thessaloniciens 2.14-15,1 Thessaloniciens 2.15-16,1 Thessaloniciens 2.16-17,1 Thessaloniciens 2.17-18,1 Thessaloniciens 2.18-19,1 Thessaloniciens 2.19-20,1 Thessaloniciens 2.20,1 Thessaloniciens 3.1,1 Thessaloniciens 3.1-2,1 Thessaloniciens 3.2-3,1 Thessaloniciens 3.3-4,1 Thessaloniciens 3.4-5,1 Thessaloniciens 3.5-6,1 Thessaloniciens 3.6-7,1 Thessaloniciens 3.7-8,1 Thessaloniciens 3.8-9,1 Thessaloniciens 3.9-10,1 Thessaloniciens 3.10-11,1 Thessaloniciens 3.11-12,1 Thessaloniciens 3.12-13,1 Thessaloniciens 3.13,1 Thessaloniciens 4.1-18,1 Thessaloniciens 5.1-28,2 Thessaloniciens 1.1-12,2 Thessaloniciens 2.1-17,2 Thessaloniciens 3.1-18

Le plus beau des chants, composé par Salomon.

« Ah ! que ta bouche me couvre de baisers, car ton amour est plus exaltant que le vin.

Combien suaves sont tes parfums, ton nom est comparable à une huile odorante qui se répand. Voilà pourquoi les jeunes filles sont éprises de toi.

Entraîne-moi derrière toi ! Courons ensemble ! » « Le roi m’a fait entrer dans ses appartements. » « Réjouissons-nous, soyons dans l’allégresse à ton sujet ! Célébrons ton amour plus exaltant que le bon vin ! C’est bien avec raison qu’on est épris de toi. »

« O filles de Jérusalem, je suis bronzée, et pourtant, je suis belle, pareille aux tentes de Qédar, aux tentures de Salomon.

Ne vous étonnez pas si je suis bien brunie, le soleil m’a hâlée, car les fils de ma mère, irrités contre moi, m’ont fait garder les vignes, oui, mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée.

O toi que mon cœur aime, dis-moi où tu fais paître ton troupeau de brebis, où tu feras la halte à l’heure de midi, pour que je ne sois pas comme une femme errante, rôdant près des troupeaux que tes compagnons gardent. »

« Si tu ne le sais pas, ô toi, la plus belle des femmes, va donc suivre les traces du troupeau de brebis, fais paître tes chevrettes près des huttes des pâtres. »

« O mon amie, je te trouve pareille aux chevaux d’attelage du pharaon.

Tes joues sont belles entre les perles, ton cou est beau dans tes colliers,

nous te ferons des perles d’or tout incrustées de points d’argent. »

« Jusqu’à ce que le roi parvienne à son enclos, mon nard exhale son parfum.

Car mon bien-aimé est pour moi comme un sachet de *myrrhe, entre mes seins il passera la nuit.

Oui, mon bien-aimé est pour moi un bouquet de henné des vignes d’Eyn-Guédi. »

« Que tu es belle, ma bien-aimée, que tu es belle ! Tes yeux ressemblent à des colombes. »

« Que tu es beau, mon bien-aimé, tu es superbe ! Notre lieu de repos est un lit verdoyant.

Les solives de nos maisons, ce sont les cèdres, et les cyprès sont nos lambris. »

« Moi, je suis une fleur qui pousse dans la plaine du Saron, un lis de la vallée. »

« Oui, comme un lis parmi des ronces est mon amie parmi les filles. »

« Comme un pommier parmi les arbres de la forêt est mon ami parmi les jeunes gens, j’ai grand plaisir à m’asseoir à son ombre. Combien son fruit est doux à mon palais.

Il m’a conduite dans la maison du vin et il a déployé sur moi, l’étendard de l’amour.

Restaurez-moi avec des gâteaux de raisins, soutenez-moi avec des pommes, car je suis malade d’amour.

Son bras gauche soutient ma tête, et son bras droit m’enlace.

O filles de Jérusalem, oh, je vous en conjure par les gazelles ou par les biches de la campagne : n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille.

« J’entends mon bien-aimé, oui, le voici, il vient, sautant sur les montagnes et bondissant sur les collines.

Mon bien-aimé ressemble à la gazelle ou à un jeune cerf. Le voici : il est là, derrière notre mur, guettant par les fenêtres et lançant des regards à travers les treillis.

Mon bien-aimé me parle, et il me dit : “Lève-toi, mon amie, viens donc, ma belle,

car l’hiver est passé et les pluies ont cessé, leur saison est finie.

On voit des fleurs éclore à travers le pays, et le temps de chanter est revenu. La voix des tourterelles retentit dans nos champs.

Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent. La vigne en fleur exhale son parfum. Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle.”

Ma colombe nichée aux fentes du rocher, cachée au plus secret des parois escarpées, fais-moi voir ton visage et entendre ta voix, car ta voix est bien douce et ton visage est beau.

Prenez-nous les renards, oui, les petits renards qui ravagent nos vignes quand elles sont en fleur.

Mon bien-aimé, il est à moi, et moi, je suis à lui, lui qui paît son troupeau sur les prés pleins de lis.

Et quand viendra la brise à la tombée du jour, et quand s’estomperont les ombres, reviens, ô toi mon bien-aimé, pareil à la gazelle ou à un jeune faon sur les monts escarpés.

« Sur mon lit, au long de la nuit, j’ai cherché, j’ai cherché celui que mon cœur aime. Je l’ai cherché, mais ne l’ai pas trouvé.

Je me suis dit alors : Il faut que je me lève, je ferai le tour de la ville par les rues et les places, je chercherai partout celui que mon cœur aime. Je l’ai cherché, mais je ne l’ai pas trouvé.

J’ai rencontré les gardes qui faisaient le tour de ville. Je leur ai demandé : Celui que mon cœur aime, ne l’avez-vous pas vu ?

Les ayant dépassés, peu après, j’ai trouvé celui que mon cœur aime. Je l’ai saisi bien fort, et ne l’ai plus lâché qu’après l’avoir conduit au logis de ma mère, dans la chambre de celle qui m’a donné le jour.

O filles de Jérusalem, oh, je vous en conjure par les gazelles ou par les biches de la campagne : n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille. »

« Qui monte du désert comme un nuage de fumée, aux senteurs de *myrrhe et d’*encens et de tous parfums exotiques ?

Voici le palanquin, le palanquin de Salomon escorté de ses soixante hommes, l’élite des guerriers en Israël.

Ils sont tous armés de l’épée, ils sont initiés au combat. Chacun a l’épée au côté pour parer aux dangers nocturnes.

Le palanquin royal fait sur ordre de Salomon est en bois du Liban.

Ses colonnes sont en argent, son dossier est en or, son siège est fait en pourpre. Les filles de Jérusalem ont tapissé avec amour tout l’intérieur du palanquin.

O filles de *Sion, sortez et contemplez le grand roi Salomon portant le diadème dont le ceignit sa mère au jour de son mariage, au jour où tout son cœur était rempli de joie. »

« Que tu es belle, ô mon amie, que tu es belle ! Tes yeux ressemblent à des colombes dessous ton voile, ta chevelure est comme un troupeau de chèvres aux flancs du mont Galaad.

Tes dents ressemblent à un troupeau de brebis passé aux mains des tondeurs qui reviendrait du lavoir. Chacune d’elles a sa jumelle, aucune n’est solitaire.

Voici tes lèvres comme un ruban écarlate, combien ta bouche est charmante ! Et tes tempes ressemblent à des moitiés de grenades dessous ton voile.

Ton cou ressemble à la tour du roi David, bâtie comme un arsenal : mille rondaches y sont pendues, tous les pavois des héros.

Comme deux faons, sont tes deux seins, comme deux jeunes gazelles qui sont jumelles et qui vont paître parmi les lis. »

« Quand viendra la fraîcheur avec la tombée du jour, et quand les ombres s’estomperont, je m’en irai vers la montagne de myrrhe, vers la colline encensée. »

« Que tu es belle, ô mon amie, tu es parfaitement belle, sans un défaut.

Ma fiancée, tu vas venir avec moi, tu vas venir du Liban, oui, du Liban avec moi. tu contempleras la plaine du sommet de l’Amana, du Sénir et de l’Hermon. Là, les lions ont leur retraite, et les panthères se cachent dans les montagnes.

Tu me fais perdre le sens, ô toi, ma sœur, ma fiancée, tu me fais perdre le sens par un seul de tes regards, par un seul de tes joyaux suspendu à tes colliers.

Ton amour est délicieux ô toi, ma sœur, ma fiancée, oui, ton amour exalte plus que le vin et la senteur de tes parfums exalte plus que tous les baumes.

Tes lèvres, ma fiancée, distillent un nectar pur, et, sous ta langue, coulent du miel et du lait, et le parfum de tes habits est tout pareil à la senteur du Liban.

Tu es un jardin bien clos, ô toi, ma sœur, ma fiancée. Tu es une source close, une fontaine scellée.

Tes rameaux sont un verger, un verger de grenadiers portant les fruits les meilleurs : le henné avec le nard,

le nard avec le safran et la cannelle odorante, le cinnamome, et toutes sortes d’arbres donnant de l’*encens, de l’aloès et de la *myrrhe, et les plus fins aromates.

Tu es la source des jardins, un puits d’eaux vives, d’eaux ruisselant du Liban.

Eveille-toi, Aquilon ! Accours, Autan ! Viens souffler sur mon jardin, pour que ses parfums s’exhalent ! » « Que mon bien-aimé pénètre dans son jardin et qu’il en goûte les fruits exquis. »

« Je viens, ma sœur, ma fiancée, dans mon jardin, je viens récolter ma myrrhe, je viens cueillir mes aromates, je viens manger mon rayon avec mon miel, et je viens boire mon vin avec mon lait. Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés. »

« Je me suis endormie, pourtant mon cœur veillait. J’entends mon bien-aimé frapper : “Ma sœur, mon amie, ouvre-moi, toi, ma colombe, toi, ma parfaite, car j’ai la tête couverte de rosée. Mes boucles sont trempées des gouttes de la nuit.”

J’ai ôté ma tunique, comment la remettrais-je ? Et j’ai lavé mes pieds : comment les salirais-je ?

Mon bien-aimé avance sa main par l’ouverture, mon cœur en a frémi

et je me suis levée pour aller lui ouvrir. De mes mains, goutte à goutte, de la myrrhe a coulé, de la myrrhe onctueuse a goutté de mes doigts jusque sur la poignée du verrou de la porte.

J’ouvre à mon bien-aimé. Hélas, mon bien-aimé était déjà parti : il s’en était allé, et son départ me rendait éperdue. Je l’ai cherché, mais ne l’ai pas trouvé. Et je l’ai appelé, mais il ne m’a pas répondu.

Les gardes m’ont croisée en faisant le tour de la ville, les gardes m’ont frappée et ils m’ont maltraitée. M’ont arraché mon châle, les gardes des remparts.

O filles de Jérusalem, oh, je vous en conjure : si vous le rencontrez, mon bien-aimé, annoncez-lui que je suis malade d’amour ! »

« Qu’a donc ton bien-aimé de plus qu’un autre ? Dis-nous, toi la plus belle parmi toutes les femmes, oui, qu’a-t-il donc ton bien-aimé de plus qu’un autre pour que tu nous conjures, de façon si pressante ? »

« Mon bien-aimé a le teint clair et rose, on le distinguerait au milieu de dix mille.

Sa tête est comme de l’or pur. Ses boucles sont flottantes comme un rameau de palme, et d’un noir de corbeau.

Ses yeux sont des colombes sur le bord des cours d’eau, ils baignent dans du lait et sont comme enchâssés dans un chaton de bague.

Ses joues ressemblent à un parterre d’aromates exhalant leurs parfums. Ses lèvres sont des lis distillant de la myrrhe, de la myrrhe onctueuse,

et ses mains, des bracelets d’or incrustés de topazes. Son corps est d’ivoire poli émaillé de saphirs.

Ses jambes sont semblables à des piliers de marbre sur des socles d’or pur. Son aspect est pareil à celui du Liban et d’une beauté sans égale, comme les cèdres.

Son palais est plein de douceurs et toute sa personne est empreinte de charme. Tel est mon bien-aimé, oui, tel est mon ami, ô filles de Jérusalem. »

« Où est allé ton bien-aimé, ô toi la plus belle des femmes ? De quel côté s’est-il tourné, ton bien-aimé ? Nous t’aiderons à le chercher. »

« Mon bien-aimé est descendu dans son jardin, vers ses parterres d’aromates, pour faire paître son troupeau et pour cueillir des lis dans le jardin.

Moi, je suis à mon bien-aimé et mon bien-aimé est à moi, lui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis. »

« Que tu es belle, ô mon amie, comme Tirtsa. Tu es superbe tout comme Jérusalem, et redoutable comme des soldats rangés sous leur bannière.

Détourne de moi tes yeux, car ils me troublent, ta chevelure est comme un troupeau de chèvres aux flancs du mont Galaad.

Tes dents ressemblent à un troupeau de brebis qui reviendrait du lavoir. Chacune d’elles a sa jumelle, aucune n’est solitaire.

Tes joues ressemblent à des moitiés de grenades dessous ton voile.

Il y a soixante reines et quatre-vingts épouses de second rang, des jeunes filles sans nombre.

Mais une seule est ma colombe et ma parfaite. Pour sa mère, elle est unique. Elle est l’enfant préférée de celle qui l’enfanta. Les jeunes filles, en la voyant, disent qu’elle est bienheureuse. Toutes les reines, et les épouses de second rang font son éloge. »

« Qui donc est celle qui apparaît comme l’aurore et qui est belle comme la lune, brillante comme un soleil mais redoutable comme des soldats rangés sous leur bannière ? »

« Je venais de descendre au jardin des noyers pour regarder les pousses dans le vallon et pour voir si la vigne avait déjà fleuri, et si les grenadiers étaient déjà en fleurs.

Je ne sais pas comment je me suis retrouvée, poussée par mon désir, au beau milieu des chars des hommes de mon prince. »

« Reviens, reviens, ô Sulamite ! Reviens, reviens, que nous puissions te contempler. » « Pourquoi voulez-vous voir la Sulamite dansant comme en un double chœur ? »

« Que tes pas sont gracieux dans tes sandales, fille de prince ! Le contour de tes hanches ressemble à un collier, œuvre de mains d’artiste.

Ton nombril est comme une coupe bien arrondie où le vin parfumé ne manque pas. Ton ventre est comme une meule de blé bordée de lis.

Tes deux seins sont deux faons jumeaux d’une gazelle.

Ton cou est une tour, une tour en ivoire. Tes yeux sont des étangs, des étangs de Hechbôn près de la porte Populeuse, et ton nez est semblable à la tour du Liban postée en sentinelle en face de Damas.

Ta tête, sur ton corps, est comme le Carmel et tes cheveux ont des reflets de pourpre. Un roi est enchaîné dans leurs ondulations. »

« Que tu es belle et que tu es gracieuse, ô mon amour, ô fille délicieuse.

Par ta taille élancée tu es comme un palmier. Tes seins en sont les grappes.

Alors j’ai dit : “Ah, je vais monter au palmier, j’en saisirai les grappes.” Que tes seins soient pour moi des grappes de raisin ! Le parfum de ton souffle rappelle celui de la pomme,

et ton palais distille le vin le plus exquis... » « Oui, un bon vin qui va droit à mon bien-aimé, et glisse sur les lèvres de ceux qui s’assoupissent. »

« Moi, je suis à mon bien-aimé et c’est moi qu’il désire.

Viens donc, mon bien-aimé, sortons dans la campagne. Nous passerons la nuit au milieu des hameaux,

et nous nous lèverons au matin, de bonne heure, pour aller dans les vignes, pour voir si elles sont en fleur et si leurs bourgeons sont ouverts, si déjà sont sorties les fleurs des grenadiers. Là-bas, je te ferai le don de mon amour.

Les mandragores exhalent leur parfum. Nous avons, à nos portes, des fruits exquis de toutes sortes, tant anciens que nouveaux. Pour toi, mon bien-aimé, je les ai réservés.

« Ah, que n’es-tu mon frère allaité par ma mère ! Te rencontrant dehors, je pourrais t’embrasser sans que l’on me méprise,

je pourrais t’emmener, je te ferais entrer au foyer de ma mère, là, tu m’enseignerais et je te ferais boire du bon vin parfumé de mon jus de grenades.

Son bras gauche soutient ma tête et son bras droit m’enlace.

O filles de Jérusalem, oh, je vous en conjure, n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille. »

« Qui donc est celle-ci qui monte du désert s’appuyant sur son bien-aimé ? » « C’est dessous le pommier que je t’ai réveillé, à l’endroit où ta mère t’avait conçu, oui, au lieu même où te conçut celle qui devait t’enfanter.

Mets-moi comme un sceau sur ton cœur, comme un sceau sur ton bras. L’amour est fort comme la mort, et la passion est indomptable comme le séjour des défunts. Les flammes de l’amour sont des flammes ardentes, les flammes de la foudre venant de l’Eternel.

Même de grosses eaux ne peuvent éteindre l’amour, et des fleuves puissants ne l’emporteront pas. L’homme qui offrirait tous les biens qu’il possède pour acheter l’amour n’obtiendrait que mépris. »

« Nous avons une sœur, elle est petite encore, sa poitrine n’est pas formée, que ferons-nous pour elle lorsqu’il sera question de la marier ? »

« Si elle est un rempart, nous bâtirons sur elle des créneaux en argent. Si elle est une porte, nous, nous la bloquerons d’un madrier de cèdre.

Moi, je suis un rempart, mes seins en sont les tours. Aussi ai-je trouvé la paix, auprès de lui. »

« Salomon avait une vigne à Baal-Hamôn, il la remit à des gardiens. Pour en payer le fruit, chacun d’eux lui donnait un millier de pièces d’argent.

Ma vigne est à moi, je la garde. Toi, Salomon, tu peux avoir ton millier de pièces d’argent, puis, deux cents pièces seront données à ceux qui ont gardé ses fruits. »

« Toi qui habites les jardins, des compagnons, prêtent l’oreille, oh ! fais-moi entendre ta voix ! »

« Enfuis-toi vite, toi mon bien-aimé, et sois pareil à la gazelle ou à un jeune faon, sur les monts embaumés. »


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      Cantique 1

      1 Cantique des cantiques de Salomon.
      2 Qu'il m'embrasse des baisers de sa bouche ! Oui, ton amour est meilleur que le vin,
      3 tes parfums ont une odeur agréable. Ton nom même est un parfum qui se diffuse. Voilà pourquoi les jeunes filles t'aiment.
      4 Entraîne-moi derrière toi ! Courons ! Le roi m'a introduite dans ses appartements. Réjouissons-nous, soyons dans l’allégresse à cause de toi ! Célébrons ton amour plus que le vin ! C'est avec raison que l’on t'aime.
      5 Je suis noire, mais je suis charmante, filles de Jérusalem, autant que les tentes de Kédar, que les pavillons de Salomon.
      6 Ne prêtez pas attention à mon teint noir : c'est le soleil qui m'a brûlée. Les fils de ma mère se sont irrités contre moi et ils ont fait de moi la gardienne des vignes, mais ma vigne à moi, je ne l'ai pas gardée.
      7 Toi que mon cœur aime, révèle-moi où tu conduis ton troupeau, où tu le fais se reposer à midi ! Pourquoi, en effet, serais-je comme une femme voilée près des troupeaux de tes compagnons ?
      8 Si tu ne le sais pas, toi la plus belle des femmes, sors sur les traces du petit bétail et conduis tes chevreaux près des abris des bergers !
      9 C’est à une jument attelée aux chars du pharaon que je te compare, mon amie.
      10 Tes joues sont charmantes avec des bijoux, ton cou est charmant avec des colliers.
      11 Nous te ferons des bijoux en or avec des points en argent.
      12 Tandis que le roi est dans son entourage, mon nard diffuse son parfum.
      13 Mon bien-aimé est pour moi un bouquet de myrrhe. Il passera la nuit entre mes seins.
      14 Mon bien-aimé est pour moi une grappe de henné des vignes d'En-Guédi.
      15 Que tu es belle, mon amie, que tu es belle ! Tes yeux sont des colombes.
      16 Que tu es beau, mon bien-aimé, que tu es agréable ! Notre lit, c'est la verdure.
      17 Les solives de nos maisons sont des cèdres, nos lambris sont des cyprès.

      Cantique 2

      1 Je suis un narcisse du Saron, un lis des vallées.
      2 Pareille à un lis au milieu des ronces, telle est mon amie parmi les filles.
      3 Pareil à un pommier au milieu des arbres de la forêt, tel est mon bien-aimé parmi les jeunes hommes. J’aime m'asseoir à son ombre, et son fruit est doux à mon goût.
      4 Il m'a fait entrer dans la maison du vin, et l’étendard qu’il déploie au-dessus de moi, c'est l'amour.
      5 Soutenez-moi avec des gâteaux de raisins, fortifiez-moi avec des pommes, car je suis malade d'amour !
      6 Que sa main gauche soutienne ma tête et que de sa main droite il m’enlace !
      7 Je vous en supplie, filles de Jérusalem, par les gazelles et les biches des champs, ne réveillez pas, ne réveillez pas l'amour avant qu'elle ne le veuille !
      8 C'est la voix de mon bien-aimé ! Le voici qui arrive, sautant sur les montagnes, bondissant sur les collines.
      9 Mon bien-aimé est pareil à la gazelle ou au jeune cerf. Le voici : il se tient derrière notre mur, observant par la fenêtre, regardant par le treillis.
      10 Mon bien-aimé parle et me dit : « Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens !
      11 En effet, l'hiver est passé, la pluie a cessé, elle s'en est allée.
      12 Les fleurs apparaissent dans le pays, le temps de chanter est arrivé et l’on entend le roucoulement de la tourterelle dans notre pays.
      13 Le figuier embaume par ses fruits et les vignes en fleur répandent leur parfum. Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens !
      14 Ma colombe, toi qui te tiens dans les fentes du rocher, qui te caches dans les parois escarpées, fais-moi voir ta figure, fais-moi entendre ta voix, car ta voix est douce et ta figure est charmante ! »
      15 Attrapez pour nous les renards, les petits renards qui dévastent les vignes, car nos vignes sont en fleur !
      16 Mon bien-aimé est à moi, et moi je suis à lui. Il conduit son troupeau parmi les lis.
      17 Avant que la brise du jour ne souffle et que les ombres ne fuient, tourne-toi ! Montre-toi pareil, mon bien-aimé, à la gazelle ou au jeune cerf, sur les montagnes rocailleuses !

      Cantique 3

      1 Sur mon lit, pendant les nuits, j'ai cherché celui que mon cœur aime. Je l'ai cherché, mais je ne l'ai pas trouvé.
      2 « Je veux me lever pour faire le tour de la ville, dans les rues et sur les places : je veux chercher celui que mon cœur aime. » Je l'ai cherché, mais je ne l'ai pas trouvé.
      3 Ce sont les gardes qui font la ronde dans la ville qui m'ont trouvée : « Avez-vous vu celui que mon cœur aime ? »
      4 A peine les avais-je dépassés que j'ai trouvé celui que mon cœur aime. Je l'ai attrapé et je ne l'ai pas lâché jusqu'à ce que je l'aie amené dans la maison de ma mère, dans la chambre de celle qui m'a donné naissance.
      5 Je vous en supplie, filles de Jérusalem, par les gazelles et les biches des champs, ne réveillez pas, ne réveillez pas l'amour avant qu'elle ne le veuille !
      6 Qui donc monte du désert comme des colonnes de fumée, au milieu des vapeurs de myrrhe et d'encens et de tous les aromates des marchands ?
      7 Voici la litière de Salomon, et autour d'elle 60 hommes vaillants, parmi les plus vaillants d'Israël.
      8 Tous sont armés de l'épée, tous sont formés au combat. Chacun porte l'épée à sa hanche en vue des alertes nocturnes.
      9 Le roi Salomon s'est fait une litière en bois du Liban.
      10 Il a fait ses colonnes en argent, son dossier en or, son siège en pourpre. L’intérieur est tout brodé, travail fait avec amour par les filles de Jérusalem.
      11 Sortez, filles de Sion ! Regardez le roi Salomon avec sa couronne, celle dont sa mère l'a couronné le jour de son mariage, le jour où son cœur est rempli de joie !

      Cantique 4

      1 Que tu es belle, mon amie, que tu es belle ! Tes yeux sont des colombes derrière ton voile. Tes cheveux sont pareils à un troupeau de chèvres bondissant sur les montagnes de Galaad.
      2 Tes dents sont comme un troupeau de brebis tondues qui remontent du lavoir : chacune a sa jumelle, aucune d'elles n'est seule.
      3 Tes lèvres sont comme un liseré cramoisi et ta bouche est charmante. Derrière ton voile, ta joue est comme une moitié de grenade.
      4 Ton cou est pareil à la tour de David, construite pour être un arsenal : mille boucliers y sont suspendus, tous les boucliers des héros.
      5 Tes deux seins sont comme deux faons, comme les jumeaux d'une gazelle qui broutent au milieu des lis.
      6 Avant que la brise du jour ne souffle et que les ombres ne fuient, j'irai à la montagne de la myrrhe et à la colline de l'encens.
      7 Tu es toute belle, mon amie, il n'y a aucun défaut en toi.
      8 Viens avec moi du Liban, ma chérie, viens avec moi du Liban ! Regarde du sommet de l'Amana, du sommet du Senir et de l'Hermon, des tanières des lions, des montagnes des léopards !
      9 Tu as volé mon cœur, ma sœur, ma chérie ! Tu as volé mon cœur grâce à un seul de tes regards, grâce à un seul des colliers de ton cou.
      10 Comme ton amour est beau, ma sœur, ma chérie ! Ton amour est bien meilleur que le vin, le parfum de tes huiles que tous les aromates !
      11 Tes lèvres distillent le miel, ma chérie. Il y a sous ta langue du miel et du lait, et l'odeur de tes habits est pareille à celle du Liban.
      12 Tu es un jardin privé, ma sœur, ma chérie, une fontaine fermée, une source réservée.
      13 Tes pousses sont un jardin de grenadiers aux fruits les meilleurs. On y trouve réunis du henné et du nard,
      14 nard et safran, roseau aromatique et cinnamome, toutes sortes d’arbres à encens, myrrhe et aloès, tous les principaux aromates.
      15 Tu es la source des jardins, un puits d'eau vive qui coule du Liban !
      16 Lève-toi, vent du nord ! Viens, vent du sud ! Soufflez sur mon jardin et que ses aromates se diffusent ! Que mon bien-aimé entre dans son jardin afin qu'il mange de ses fruits les meilleurs !

      Cantique 5

      1 J'entre dans mon jardin, ma sœur, ma chérie. Je cueille ma myrrhe et mes aromates, je mange mon rayon de miel avec mon miel, je bois mon vin avec mon lait. Mangez, amis, buvez, enivrez-vous d'amour !
      2 J'étais endormie, mais mon cœur veillait. C'est la voix de mon bien-aimé ! Il frappe : « Ouvre-moi, ma sœur, mon amie, ma colombe, ma parfaite, car ma tête est couverte de rosée, mes boucles sont pleines des gouttelettes de la nuit. »
      3 J'ai enlevé mon habit. Comment pourrais-je le remettre ? J'ai lavé mes pieds. Comment pourrais-je les salir ?
      4 Mon bien-aimé a passé la main par la fenêtre et j’ai été bouleversée à cause de lui.
      5 J’ai commencé à ouvrir à mon bien-aimé, et de mes mains a perlé la myrrhe, de mes doigts la myrrhe a coulé sur la poignée du verrou.
      6 J'ai ouvert à mon bien-aimé, mais mon bien-aimé s'était retiré, il avait disparu. Je perdais tous mes moyens pendant qu’il parlait ! Je l'ai cherché, mais je ne l'ai pas trouvé. Je l'ai appelé, mais il ne m'a pas répondu.
      7 Ce sont les gardes qui font la ronde dans la ville qui m'ont trouvée. Ils m'ont frappée, ils m'ont blessée, ils m'ont enlevé mon châle, les gardes des murailles.
      8 Je vous en supplie, filles de Jérusalem, si vous trouvez mon bien-aimé, que lui direz-vous ? Que je suis malade d'amour.
      9 Qu’a-t-il de plus qu'un autre, ton bien-aimé, toi la plus belle des femmes ? Qu’a-t-il de plus qu'un autre, ton bien-aimé, pour que tu nous supplies de cette manière ?
      10 Mon bien-aimé est blanc et vermeil, on le remarque au milieu de dizaines de milliers.
      11 Sa tête est d’or pur. Ses boucles sont flottantes, noires comme le corbeau.
      12 Ses yeux sont pareils à des colombes au bord des ruisseaux : ils baignent dans le lait, ils reposent au sein de l'abondance.
      13 Ses joues sont comme un parterre d'aromates, ce sont des amas d’épices. Ses lèvres sont des lis d'où coule la myrrhe.
      14 Ses mains sont des anneaux d'or garnis de chrysolithes. Son ventre est d’ivoire poli, couvert de saphirs.
      15 Ses jambes sont des colonnes de marbre blanc posées sur des bases en or pur. Son aspect est aussi majestueux que le Liban, aussi distingué que ses cèdres.
      16 Son palais n'est que douceur et toute sa personne est désirable. Tel est mon bien-aimé, tel est mon ami, filles de Jérusalem !

      Cantique 6

      1 Où est allé ton bien-aimé, toi la plus belle des femmes ? De quel côté ton bien-aimé s'est-il dirigé ? Nous le chercherons avec toi.
      2 Mon bien-aimé est descendu à son jardin, au parterre d'aromates, pour prendre soin de son troupeau dans les jardins et pour cueillir des lis.
      3 Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi. Il a conduit son troupeau parmi les lis.
      4 Tu es aussi belle que Thirtsa, mon amie, aussi charmante que Jérusalem, aussi majestueuse que des troupes sous leurs étendards.
      5 Détourne ton regard de moi, car il me trouble ! Tes cheveux sont pareils à un troupeau de chèvres bondissant sur les montagnes de Galaad.
      6 Tes dents sont comme un troupeau de brebis qui remontent du lavoir : chacune a sa jumelle, aucune d'elles n'est seule.
      7 Ta joue est comme une moitié de grenade derrière ton voile.
      8 Il peut y avoir 60 reines, 80 concubines et des jeunes filles en quantité incalculable,
      9 ma colombe, ma parfaite, est unique. Elle est unique pour sa mère, elle est la préférée de celle qui lui a donné le jour. Les filles la voient et la disent heureuse, les reines et les concubines aussi, et elles font son éloge.
      10 Qui est celle qui apparaît, pareille à l'aurore, aussi belle que la lune, aussi pure que le soleil, aussi majestueuse que des troupes sous leurs étendards ?
      11 Je suis descendu au jardin des noyers pour voir la verdure au fond du vallon, pour voir si la vigne pousse, si les grenadiers fleurissent.
      12 J’ignore comment, mais mon désir m'a poussé vers les chars de mon noble peuple.

      Cantique 7

      1 Reviens, reviens, Sulamite ! Reviens, reviens afin que nous puissions te regarder ! Qu'avez-vous à regarder la Sulamite comme la danse de deux camps ?
      2 Que tes pieds sont beaux dans tes sandales, fille de prince ! Les contours de tes hanches sont comme des ornements, œuvre des mains d'un artiste.
      3 Ton bassin est une coupe arrondie où le vin parfumé ne manque pas. Ton ventre est un tas de blé entouré de lis.
      4 Tes deux seins sont comme deux faons, comme les jumeaux d'une gazelle.
      5 Ton cou est comme une tour d'ivoire. Tes yeux sont comme les étangs de Hesbon, près de la porte de Bath-Rabbim. Ton nez est comme la tour du Liban qui monte la garde face à Damas.
      6 Ta tête se dresse aussi fièrement que le Carmel et les cheveux de ta tête sont comme la pourpre. Un roi est prisonnier de boucles !
      7 Que tu es belle, que tu es agréable, mon amour, au milieu des délices !
      8 Ta taille ressemble au palmier, et tes seins à des grappes.
      9 Je me dis : « Je veux monter sur le palmier pour attraper ses grappes ! » Que tes seins soient comme les grappes de la vigne, le parfum de ton souffle comme celui des pommes
      10 et ton palais comme un vin excellent ! Il coule aisément pour mon bien-aimé et glisse sur les lèvres de ceux qui s'endorment !
      11 Je suis à mon bien-aimé et son désir se porte vers moi.
      12 Viens, mon bien-aimé, sortons dans la campagne pour passer la nuit au village !
      13 Dès le matin nous irons aux vignes pour voir si la vigne pousse, si la fleur s'ouvre, si les grenadiers fleurissent. Là je te donnerai mon amour.
      14 Les mandragores diffusent leur parfum, à nos portes se trouvent tous les meilleurs fruits, nouveaux et anciens. Mon bien-aimé, je les ai gardés pour toi.

      Cantique 8

      1 Si seulement tu étais comme mon frère, si seulement tu avais été allaité par ma mère ! Je te rencontrerais dehors, je t'embrasserais et l'on ne me mépriserait même pas.
      2 Je te conduirais, je t’amènerais chez ma mère, tu m’instruirais et je te ferais boire du vin parfumé, du jus de mes grenades.
      3 Que sa main gauche soutienne ma tête et que de sa main droite il m’enlace !
      4 Je vous en supplie, filles de Jérusalem, ne réveillez pas, ne réveillez pas l'amour avant qu'elle ne le veuille !
      5 Qui est celle qui monte du désert, appuyée sur son bien-aimé ? Je t'ai réveillé sous le pommier. C’est là que ta mère est tombée enceinte de toi, c'est là qu'elle est tombée enceinte et t’a donné le jour.
      6 Fais de moi comme une empreinte sur ton cœur, comme une empreinte sur ton bras, car l'amour est aussi fort que la mort, la passion est aussi inflexible que le séjour des morts. Ses ardeurs sont des ardeurs de feu, une flamme de l'Eternel.
      7 Les grandes eaux ne pourront pas éteindre l'amour, ni les fleuves le submerger. Même si un homme offrait tous les biens de sa maison contre l'amour, il ne s'attirerait que le mépris.
      8 Nous avons une petite sœur qui n'a pas encore de poitrine. Que ferons-nous de notre sœur, le jour où on la réclamera ?
      9 Si elle est un rempart, nous construirons sur elle des créneaux en argent ; si elle est une porte, nous la fermerons avec une planche de cèdre.
      10 Je suis un rempart et mes seins sont comme des tours. A ses yeux, j’ai été pareille à celle qui trouve la paix.
      11 Salomon avait une vigne à Baal-Hamon. Il a confié la vigne à des gardiens : chacun apportait 1000 pièces d'argent pour récolter son fruit.
      12 Ma vigne à moi, je la garde. A toi, Salomon, les 1000 pièces, et 200 à ceux qui gardent son fruit !
      13 Habitante des jardins, des compagnons prêtent attention à ta voix. Fais-la-moi entendre !
      14 Prends la fuite, mon bien-aimé ! Montre-toi pareil à la gazelle ou au jeune cerf sur les montagnes aux aromates !
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