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La Bible Chronologique - Jour 300

Sommaire

La Bible Chronologique - Jour 331 - 1 Thessaloniciens 1.1,1 Thessaloniciens 1.1-2,1 Thessaloniciens 1.2-3,1 Thessaloniciens 1.3-4,1 Thessaloniciens 1.4-5,1 Thessaloniciens 1.5-6,1 Thessaloniciens 1.6-7,1 Thessaloniciens 1.7-8,1 Thessaloniciens 1.8-9,1 Thessaloniciens 1.9-10,1 Thessaloniciens 1.10,1 Thessaloniciens 2.1,1 Thessaloniciens 2.1-2,1 Thessaloniciens 2.2-3,1 Thessaloniciens 2.3-4,1 Thessaloniciens 2.4-5,1 Thessaloniciens 2.5-6,1 Thessaloniciens 2.6-7,1 Thessaloniciens 2.7-8,1 Thessaloniciens 2.8-9,1 Thessaloniciens 2.9-10,1 Thessaloniciens 2.10-11,1 Thessaloniciens 2.11-12,1 Thessaloniciens 2.12-13,1 Thessaloniciens 2.13-14,1 Thessaloniciens 2.14-15,1 Thessaloniciens 2.15-16,1 Thessaloniciens 2.16-17,1 Thessaloniciens 2.17-18,1 Thessaloniciens 2.18-19,1 Thessaloniciens 2.19-20,1 Thessaloniciens 2.20,1 Thessaloniciens 3.1,1 Thessaloniciens 3.1-2,1 Thessaloniciens 3.2-3,1 Thessaloniciens 3.3-4,1 Thessaloniciens 3.4-5,1 Thessaloniciens 3.5-6,1 Thessaloniciens 3.6-7,1 Thessaloniciens 3.7-8,1 Thessaloniciens 3.8-9,1 Thessaloniciens 3.9-10,1 Thessaloniciens 3.10-11,1 Thessaloniciens 3.11-12,1 Thessaloniciens 3.12-13,1 Thessaloniciens 3.13,1 Thessaloniciens 4.1-18,1 Thessaloniciens 5.1-28,2 Thessaloniciens 1.1-12,2 Thessaloniciens 2.1-17,2 Thessaloniciens 3.1-18

Un jour de *sabbat, Jésus était invité pour un repas chez l’un des dirigeants du parti *pharisien. Ceux qui étaient à table avec lui l’observaient attentivement.

Or, il y avait là un homme dont le corps était couvert d’œdèmes.

Jésus prit la parole et s’adressa aux enseignants de la *Loi et aux pharisiens : —Est-il permis, oui ou non, de guérir quelqu’un le jour du sabbat ?

Ils ne répondirent rien. Alors Jésus, saisissant le malade, le guérit et lui dit de rentrer chez lui.

Puis, se tournant vers les assistants, il leur demanda : —Qui de vous, si son fils ou son bœuf tombe dans un puits, ne l’en retire pas le plus tôt possible, même si c’est le jour du sabbat ?

Là encore, ils ne surent que répondre.

Ayant remarqué comment les invités cherchaient tous les places d’honneur, il leur dit cette *parabole :

—Si quelqu’un t’invite à un repas de noces, ne va pas t’installer à la place d’honneur. Peut-être y a-t-il, parmi les invités, un personnage plus important que toi

et celui qui vous a invités l’un et l’autre viendra-t-il te dire : « Cède-lui cette place. » Il te faudra alors honteusement gagner la dernière place !

Non, quand tu es invité, va, au contraire, te mettre tout de suite à la dernière place. Alors, quand ton hôte entrera dans la salle, il te dira : « Mon ami, il y a une place bien meilleure pour toi, viens t’asseoir plus haut ! » Ainsi tu seras honoré devant tous les convives.

En effet, celui qui s’élève sera abaissé, et celui qui s’abaisse sera élevé.

Jésus dit aussi à son hôte : —Quand tu donnes un déjeuner ou un dîner, n’invite pas tes amis, tes frères, ta parenté ou de riches voisins, car ils pourraient t’inviter à leur tour et te payer ainsi de ta peine.

Non, si tu donnes une réception, invite des pauvres, des estropiés, des paralysés, des aveugles.

Si tu fais cela, tu en seras très heureux, précisément parce que ces gens-là n’ont pas la possibilité de te rendre la pareille. Et Dieu te le revaudra lorsque les justes ressusciteront.

A ces mots, l’un des convives dit à Jésus : —Qu’il est heureux celui qui prendra part au banquet dans le *royaume de Dieu !

Jésus lui répondit : —Un jour, un homme avait organisé une grande réception. Il avait invité beaucoup de monde.

Lorsque le moment du festin arriva, il envoya son serviteur dire aux invités : « Venez maintenant, tout est prêt. »

Mais ceux-ci s’excusèrent tous l’un après l’autre. Le premier lui fit dire : « J’ai acheté un champ et il faut absolument que j’aille le voir. Excuse-moi, je te prie. »

Un autre dit : « Je viens d’acquérir cinq paires de bœufs, et je m’en vais les essayer. Excuse-moi, je te prie. »

Un autre encore dit : « Je viens de me marier, il m’est donc impossible de venir. »

Quand le serviteur fut de retour auprès de son maître, il lui rapporta toutes les excuses qu’on lui avait données. Alors le maître de la maison se mit en colère et dit à son serviteur : « Dépêche-toi ! Va-t’en sur les places et dans les rues de la ville et amène ici les pauvres, les estropiés, les aveugles, les paralysés... ! »

Au bout d’un moment, le serviteur vint dire : « Maître, j’ai fait ce que tu m’as dit, mais il y a encore de la place. »

« Eh bien, lui dit le maître, va sur les chemins, le long des haies, fais en sorte que les gens viennent, pour que ma maison soit pleine.

Une chose est sûre : pas un seul des premiers invités ne goûtera à mon festin. »

Comme de grandes foules accompagnaient Jésus, il se retourna vers ceux qui le suivaient et leur dit :

—Si quelqu’un vient à moi et n’est pas prêt à renoncer à son père, sa mère, sa femme, ses enfants, ses frères, ses sœurs, et même à son propre moi, il ne peut être mon *disciple.

Celui qui ne porte pas sa croix, et qui ne me suit pas, ne peut être mon disciple.

En effet, si l’un de vous veut bâtir une tour, est-ce qu’il ne prend pas d’abord le temps de s’asseoir pour calculer ce qu’elle lui coûtera et de vérifier s’il a les moyens de mener son entreprise à bonne fin ?

Sans quoi, s’il n’arrive pas à terminer sa construction après avoir posé les fondations, il risque d’être la risée de tous les témoins de son échec.

« Regardez, diront-ils, c’est celui qui a commencé à construire et qui n’a pas pu terminer ! »

Ou bien, supposez qu’un roi soit sur le point de déclarer la guerre à un autre. Ne prendra-t-il pas le temps de s’asseoir pour examiner s’il peut, avec dix mille hommes, affronter celui qui est sur le point de marcher contre lui avec vingt mille ?

S’il se rend compte qu’il en est incapable, il lui enverra une délégation, pendant que l’ennemi est encore loin, pour négocier la paix avec lui.

Il en est de même pour vous ; celui qui n’est pas prêt à abandonner tout ce qu’il possède, ne peut pas être mon disciple.

—Le sel est une bonne chose, mais s’il devient insipide, comment lui rendra-t-on sa saveur ?

On ne peut plus l’utiliser, ni pour la terre, ni pour le fumier. Il n’y a plus qu’à le jeter. Celui qui a des oreilles pour entendre, qu’il entende !

Les *collecteurs d’impôts et autres pécheurs notoires se pressaient tous autour de Jésus, avides d’écouter ses paroles.

Les *pharisiens et les *spécialistes de la Loi s’en indignaient et disaient : —Cet individu fréquente des pécheurs notoires et s’attable avec eux !

Alors Jésus leur répondit par cette *parabole :

—Si l’un de vous possède cent brebis, et que l’une d’elles vienne à se perdre, n’abandonnera-t-il pas les quatre-vingt-dix-neuf autres au pâturage pour aller à la recherche de celle qui est perdue jusqu’à ce qu’il l’ait trouvée ?

Et quand il l’a retrouvée, avec quelle joie il la charge sur ses épaules pour la ramener !

Aussitôt rentré chez lui, il appelle ses amis et ses voisins et leur dit : « Venez partager ma joie, car j’ai retrouvé ma brebis qui était perdue. »

Je vous assure qu’il en est de même au ciel : il y aura plus de joie pour un seul pécheur qui *change de vie, que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n’en ont pas besoin.

—Ou bien, supposez qu’une femme ait dix pièces d’argent et qu’elle en perde une, ne s’empressera-t-elle pas d’allumer une lampe, de balayer sa maison et de chercher soigneusement dans tous les recoins jusqu’à ce qu’elle ait retrouvé sa pièce ?

Et quand elle l’a trouvée, elle rassemble ses amies et ses voisines et leur dit : « Réjouissez-vous avec moi, j’ai retrouvé la pièce que j’avais perdue. »

De même, je vous le déclare, il y a de la joie parmi les *anges de Dieu pour un seul pécheur qui change de vie.

Puis il poursuivit : —Un homme avait deux fils.

Le plus jeune lui dit : « Mon père, donne-moi ma part d’héritage, celle qui doit me revenir un jour. » Et le père fit le partage de ses biens entre ses fils.

Quelques jours plus tard, le cadet vendit tout ce qu’il avait reçu et s’en alla dans un pays lointain. Là, il gaspilla sa fortune en menant grande vie.

Quand il eut tout dépensé, une grande famine survint dans ce pays-là et il commença à manquer du nécessaire.

Alors il alla se faire embaucher par l’un des propriétaires de la contrée. Celui-ci l’envoya dans les champs garder les porcs.

Le jeune homme aurait bien voulu apaiser sa faim avec les caroubes que mangeaient les bêtes, mais personne ne lui en donnait.

Alors, il se mit à réfléchir sur lui-même et se dit : « Tous les ouvriers de mon père peuvent manger autant qu’ils veulent, alors que moi, je suis ici à mourir de faim !

Je vais me mettre en route, j’irai trouver mon père et je lui dirai : Mon père, j’ai péché contre Dieu et contre toi.

Je ne mérite plus d’être considéré comme ton fils. Accepte-moi comme l’un de tes ouvriers. »

Il se mit donc en route pour se rendre chez son père. Comme il se trouvait encore à une bonne distance de la maison, son père l’aperçut et fut pris d’une profonde pitié pour lui. Il courut à la rencontre de son fils, se jeta à son cou et l’embrassa longuement.

Le fils lui dit : « Mon père, j’ai péché contre Dieu et contre toi, je ne mérite plus d’être considéré comme ton fils... »

Mais le père dit à ses serviteurs : « Allez vite chercher un habit, le meilleur que vous trouverez, et mettez-le lui ; passez-lui une bague au doigt et chaussez-le de sandales.

Amenez le veau que nous avons engraissé et tuez-le. Nous allons faire un grand festin et nous réjouir,

car voici, mon fils était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et je l’ai retrouvé. » Et ils commencèrent à festoyer dans la joie.

Pendant ce temps, le fils aîné travaillait aux champs. Sur le chemin du retour, quand il arriva près de la maison, il entendit de la musique et des danses.

Il appela un des serviteurs et lui demanda ce qui se passait.

Le garçon lui répondit : « C’est ton frère qui est de retour. Ton père a tué le veau gras en son honneur parce qu’il l’a retrouvé sain et sauf. »

Alors le fils aîné se mit en colère et refusa de franchir le seuil de la maison. Son père sortit et l’invita à entrer.

Mais lui répondit : « Cela fait tant et tant d’années que je suis à ton service ; jamais je n’ai désobéi à tes ordres. Et pas une seule fois tu ne m’as donné un chevreau pour festoyer avec mes amis.

Mais quand celui-là revient, « ton fils » qui a mangé ta fortune avec des prostituées, pour lui, tu tues le veau gras ! »

« Mon enfant, lui dit le père, tu es constamment avec moi, et tous mes biens sont à toi ;

mais il fallait bien faire une fête et nous réjouir, puisque ton frère que voici était mort et qu’il est revenu à la vie, puisqu’il était perdu et voici qu’il est retrouvé. »


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      Luc 14

      1 Un jour de sabbat, Jésus était allé dans la maison de l'un des chefs des pharisiens pour prendre un repas, et les pharisiens l'observaient.
      2 Or un homme rempli d’œdème se trouvait devant lui.
      3 Jésus prit la parole et dit aux professeurs de la loi et aux pharisiens : « Est-il permis [ou non] de faire une guérison le jour du sabbat ? »
      4 Ils gardèrent le silence. Alors Jésus toucha le malade, le guérit et le renvoya.
      5 Puis il leur dit : « Lequel de vous, si son fils ou son bœuf tombe dans un puits, ne l'en retire pas aussitôt, même le jour du sabbat ? »
      6 Et ils furent incapables de répondre à cela.
      7 Il adressa ensuite une parabole aux invités, en voyant qu'ils choisissaient les meilleures places. Il leur dit :
      8 « Lorsque tu es invité par quelqu'un à des noces, ne te mets pas à la meilleure place, de peur qu'il n'y ait parmi les invités une personne plus importante que toi
      9 et que celui qui vous a invités l'un et l'autre ne vienne te dire : ‘Laisse-lui la place !’Tu aurais alors la honte d'aller occuper la dernière place.
      10 Mais lorsque tu es invité, va te mettre à la dernière place, afin qu'au moment où celui qui t'a invité arrive, il te dise : ‘Mon ami, monte plus haut.’Alors tu seras honoré devant [tous] ceux qui seront à table avec toi.
      11 En effet, toute personne qui s'élève sera abaissée, et celle qui s'abaisse sera élevée. »
      12 Il dit aussi à celui qui l'avait invité : « Lorsque tu organises un dîner ou un souper, n'invite pas tes amis, ni tes frères, ni tes parents, ni des voisins riches, de peur qu'ils ne t'invitent à leur tour pour te rendre la pareille.
      13 Lorsque tu organises un festin, invite au contraire des pauvres, des estropiés, des boiteux, des aveugles,
      14 et tu seras heureux, car ils ne peuvent pas te rendre la pareille. En effet, cela te sera rendu à la résurrection des justes. »
      15 Après avoir entendu ces paroles, un de ceux qui étaient à table dit à Jésus : « Heureux celui qui prendra son repas dans le royaume de Dieu ! »
      16 Jésus lui répondit : « Un homme organisa un grand festin et invita beaucoup de gens.
      17 A l'heure du festin, il envoya son serviteur dire aux invités : ‘Venez, car tout est déjà prêt.’
      18 Mais tous sans exception se mirent à s'excuser. Le premier lui dit : ‘J'ai acheté un champ et je suis obligé d'aller le voir, excuse-moi, je t'en prie.’
      19 Un autre dit : ‘J'ai acheté cinq paires de bœufs et je vais les essayer, excuse-moi, je t'en prie.’
      20 Un autre dit : ‘Je viens de me marier, c'est pourquoi je ne peux pas venir.’
      21 A son retour, le serviteur rapporta ces paroles à son maître. Alors le maître de la maison, en colère, dit à son serviteur : ‘Va vite sur les places et dans les rues de la ville et amène ici les pauvres, les estropiés, les aveugles et les boiteux.’
      22 Le serviteur dit : ‘Maître, ce que tu as ordonné a été fait et il reste encore de la place.’
      23 Le maître dit alors au serviteur : ‘Va sur les chemins et le long des haies, et ceux que tu trouveras, oblige-les à entrer, afin que ma maison soit remplie.
      24 En effet, je vous le dis, aucun de ces hommes qui avaient été invités ne goûtera de mon festin.’ »
      25 De grandes foules faisaient route avec Jésus. Il se retourna et leur dit :
      26 « Si quelqu'un vient à moi sans me préférer à son père, sa mère, sa femme, ses enfants, ses frères et ses sœurs, et même à sa propre vie, il ne peut pas être mon disciple.
      27 Celui qui ne porte pas sa croix et ne me suit pas ne peut pas être mon disciple.
      28 En effet, si l'un de vous veut construire une tour, il s'assied d'abord pour calculer la dépense et voir s'il a de quoi la terminer.
      29 Autrement, si après avoir posé les fondations il ne peut pas la terminer, tous ceux qui le verront se mettront à se moquer de lui
      30 en disant : ‘Cet homme a commencé à construire, et il n'a pas pu finir.’
      31 De même, si un roi part en guerre contre un autre roi, il s'assied d'abord pour examiner s'il peut, avec 10'000 hommes, affronter celui qui vient l'attaquer avec 20'000.
      32 Si ce n’est pas le cas, alors que l'autre roi est encore loin, il lui envoie une ambassade pour demander la paix.
      33 Ainsi donc aucun de vous, à moins de renoncer à tout ce qu'il possède, ne peut être mon disciple.
      34 » Le sel est une bonne chose, mais si le sel perd sa saveur, avec quoi la lui rendra-t-on ?
      35 Il n'est bon ni pour la terre, ni pour le fumier ; on le jette dehors. Que celui qui a des oreilles pour entendre entende. »

      Luc 15

      1 Tous les collecteurs d’impôts et les pécheurs s'approchaient de Jésus pour l'écouter.
      2 Mais les pharisiens et les spécialistes de la loi murmuraient, disant : « Cet homme accueille des pécheurs et mange avec eux. »
      3 Alors il leur dit cette parabole :
      4 « Si l'un de vous a 100 brebis et qu'il en perde une, ne laisse-t-il pas les 99 autres dans le désert pour aller à la recherche de celle qui est perdue jusqu'à ce qu'il la retrouve ?
      5 Lorsqu'il l'a retrouvée, il la met avec joie sur ses épaules
      6 et, de retour à la maison, il appelle ses amis et ses voisins et leur dit : ‘Réjouissez-vous avec moi, car j'ai retrouvé ma brebis qui était perdue.’
      7 De même, je vous le dis, il y aura plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se repent que pour 99 justes qui n'ont pas besoin de changer d’attitude.
      8 » Ou bien, si une femme a 10 pièces d’argent et qu'elle en perde une, ne va-t-elle pas allumer une lampe, balayer la maison et chercher avec soin jusqu'à ce qu'elle la retrouve ?
      9 Lorsqu'elle l'a retrouvée, elle appelle ses amies et ses voisines et dit : ‘Réjouissez-vous avec moi, car j'ai retrouvé la pièce que j'avais perdue.’
      10 De même, je vous le dis, il y a de la joie parmi les anges de Dieu pour un seul pécheur qui se repent. »
      11 Il dit encore : « Un homme avait deux fils.
      12 Le plus jeune dit à son père : ‘Mon père, donne-moi la part de l’héritage qui doit me revenir.’Le père leur partagea alors ses biens.
      13 Peu de jours après, le plus jeune fils ramassa tout et partit pour un pays éloigné, où il gaspilla sa fortune en vivant dans la débauche.
      14 Alors qu'il avait tout dépensé, une importante famine survint dans ce pays et il commença à se trouver dans le besoin.
      15 Il alla se mettre au service d'un des habitants du pays, qui l'envoya dans ses champs garder les porcs.
      16 Il aurait bien voulu se nourrir des caroubes que mangeaient les porcs, mais personne ne lui en donnait.
      17 Il se mit à réfléchir et se dit : ‘Combien d'ouvriers chez mon père ont du pain en abondance et moi, ici, je meurs de faim !
      18 Je vais retourner vers mon père et je lui dirai : Père, j'ai péché contre le ciel et contre toi,
      19 je ne suis plus digne d'être appelé ton fils, traite-moi comme l'un de tes ouvriers.’
      20 Il se leva et alla vers son père. Alors qu’il était encore loin, son père le vit et fut rempli de compassion, il courut se jeter à son cou et l'embrassa.
      21 Le fils lui dit : ‘Père, j'ai péché contre le ciel et contre toi, je ne suis plus digne d'être appelé ton fils.’
      22 Mais le père dit à ses serviteurs : ‘Apportez [vite] le plus beau vêtement et mettez-le-lui ; passez-lui un anneau au doigt et mettez-lui des sandales aux pieds.
      23 Amenez le veau qu’on a engraissé et tuez-le ! Mangeons et réjouissons-nous,
      24 car mon fils que voici était mort et il est revenu à la vie, il était perdu et il est retrouvé.’Et ils commencèrent à faire la fête.
      25 » Or le fils aîné était dans les champs. Lorsqu'il revint et approcha de la maison, il entendit la musique et les danses.
      26 Il appela un des serviteurs et lui demanda ce qui se passait.
      27 Le serviteur lui dit : ‘Ton frère est de retour et ton père a tué le veau engraissé parce qu'il l'a retrouvé en bonne santé.’
      28 Le fils aîné se mit en colère et il ne voulait pas entrer. Son père sortit le supplier d'entrer,
      29 mais il répondit à son père : ‘Voilà tant d'années que je suis à ton service sans jamais désobéir à tes ordres, et jamais tu ne m'as donné un chevreau pour que je fasse la fête avec mes amis.
      30 Mais quand ton fils est arrivé, celui qui a mangé tes biens avec des prostituées, pour lui tu as tué le veau engraissé !’
      31 ‘Mon enfant, lui dit le père, tu es toujours avec moi et tout ce que j'ai est à toi,
      32 mais il fallait bien faire la fête et nous réjouir, parce que ton frère que voici était mort et il est revenu à la vie, il était perdu et il est retrouvé.’ »
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