Paramètres de lecture

Afficher les numéros de versets
Mode dyslexique
Police d'écriture
Taille de texte

Merci à Bibles et Publications Chrétiennes pour la conception du processus d’affichage DYS.

Un outil révolutionnaire de lecture et d'étude de la Bible en ligne Démarrez dès aujourd'hui le plan de lecture offert dont vous avez besoin.

La Bible Chronologique - Jour 338

Sommaire

La Bible Chronologique - Jour 331 - 1 Thessaloniciens 1.1,1 Thessaloniciens 1.1-2,1 Thessaloniciens 1.2-3,1 Thessaloniciens 1.3-4,1 Thessaloniciens 1.4-5,1 Thessaloniciens 1.5-6,1 Thessaloniciens 1.6-7,1 Thessaloniciens 1.7-8,1 Thessaloniciens 1.8-9,1 Thessaloniciens 1.9-10,1 Thessaloniciens 1.10,1 Thessaloniciens 2.1,1 Thessaloniciens 2.1-2,1 Thessaloniciens 2.2-3,1 Thessaloniciens 2.3-4,1 Thessaloniciens 2.4-5,1 Thessaloniciens 2.5-6,1 Thessaloniciens 2.6-7,1 Thessaloniciens 2.7-8,1 Thessaloniciens 2.8-9,1 Thessaloniciens 2.9-10,1 Thessaloniciens 2.10-11,1 Thessaloniciens 2.11-12,1 Thessaloniciens 2.12-13,1 Thessaloniciens 2.13-14,1 Thessaloniciens 2.14-15,1 Thessaloniciens 2.15-16,1 Thessaloniciens 2.16-17,1 Thessaloniciens 2.17-18,1 Thessaloniciens 2.18-19,1 Thessaloniciens 2.19-20,1 Thessaloniciens 2.20,1 Thessaloniciens 3.1,1 Thessaloniciens 3.1-2,1 Thessaloniciens 3.2-3,1 Thessaloniciens 3.3-4,1 Thessaloniciens 3.4-5,1 Thessaloniciens 3.5-6,1 Thessaloniciens 3.6-7,1 Thessaloniciens 3.7-8,1 Thessaloniciens 3.8-9,1 Thessaloniciens 3.9-10,1 Thessaloniciens 3.10-11,1 Thessaloniciens 3.11-12,1 Thessaloniciens 3.12-13,1 Thessaloniciens 3.13,1 Thessaloniciens 4.1-18,1 Thessaloniciens 5.1-28,2 Thessaloniciens 1.1-12,2 Thessaloniciens 2.1-17,2 Thessaloniciens 3.1-18

Paul, *apôtre de Jésus-Christ par la volonté de Dieu, et le frère *Timothée, saluent l’Eglise de Dieu qui est à Corinthe ainsi que tous ceux qui appartiennent à Dieu dans l’Achaïe entière.

Que la grâce et la paix vous soient données par Dieu notre Père et par Jésus-Christ le Seigneur.

Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père qui est plein de bonté, le Dieu qui réconforte dans toutes les situations.

Il nous réconforte dans toutes nos détresses, afin qu’à notre tour nous soyons capables de réconforter ceux qui passent par toutes sortes de détresses, en leur apportant le réconfort que Dieu nous a apporté.

De même, en effet, que les souffrances du Christ surabondent dans notre vie, surabonde le réconfort qu’il nous donne.

Si donc nous passons par la détresse, c’est pour votre réconfort et votre salut. Et si nous sommes réconfortés, c’est pour que vous receviez, vous aussi, du réconfort afin de pouvoir supporter les mêmes souffrances que nous endurons.

Et nous possédons à votre sujet une ferme espérance. Car nous savons que si vous avez part aux souffrances, vous avez aussi part au réconfort.

Il faut, en effet, que vous sachiez, frères, quelle détresse nous avons connue dans la province d’*Asie. Nous étions écrasés, à bout de forces, au point même que nous désespérions de conserver la vie.

Nous avions accepté en nous-mêmes notre condamnation à mort. Cela nous a appris à ne pas mettre notre *confiance en nous-mêmes, mais uniquement en Dieu qui ressuscite les morts.

C’est lui qui nous a délivrés d’une telle mort et qui nous en délivrera encore. Oui, nous avons cette espérance en lui qu’il nous délivrera encore,

et vous y contribuez en priant pour nous. Ainsi, la grâce qu’il nous accorde en réponse aux prières de beaucoup, sera aussi pour beaucoup une occasion de remercier Dieu à notre sujet.

S’il est une chose dont nous pouvons être fiers, c’est le témoignage de notre conscience ; il nous atteste que nous nous sommes conduits dans le monde, et tout spécialement envers vous, avec la sincérité et la *pureté qui viennent de Dieu, en nous fondant, non sur une sagesse purement humaine, mais sur la grâce de Dieu.

Car ce que nous vous écrivons dans nos lettres ne veut pas dire autre chose que ce que vous pouvez y lire et y comprendre. Et j’espère que vous le comprendrez pleinement

— comme vous l’avez déjà compris en partie : vous pouvez être fiers de nous, comme nous le serons de vous au jour de notre Seigneur Jésus.

Persuadé que telle était votre pensée, je m’étais proposé de me rendre chez vous en premier lieu, afin de vous procurer une double joie :

je comptais passer par chez vous en allant en Macédoine, puis revenir de Macédoine chez vous. Vous auriez alors pu m’aider à poursuivre mon voyage vers la *Judée.

En formant ce projet, ai-je fait preuve de légèreté ? Ou bien mes plans seraient-ils inspirés par des motifs purement humains, en sorte que lorsque je dis « oui », cela pourrait être « non » ?

Aussi vrai que Dieu est digne de *confiance, je vous le garantis : la parole que nous vous avons adressée n’est pas à la fois « oui » et « non ».

Car Jésus-Christ, le Fils de Dieu, que moi-même comme *Silas et *Timothée nous avons proclamé parmi vous, n’a pas été à la fois oui et non. En lui était le oui :

car c’est en lui que Dieu a dit « oui » à tout ce qu’il avait promis. Aussi est-ce par lui que nous disons « oui », « amen », pour que la gloire revienne à Dieu.

C’est Dieu, en effet, qui nous a fermement unis avec vous au Christ et qui nous a consacrés à lui par son onction.

Et c’est encore Dieu qui nous a marqués de son *sceau, comme sa propriété, et qui a mis dans notre cœur son Esprit comme acompte des biens à venir.

Pourquoi donc ne suis-je pas encore revenu à Corinthe ? J’en prends Dieu à témoin sur ma vie : c’est parce que je voulais vous ménager ;

notre rôle n’est pas de dominer sur votre foi, mais de collaborer ensemble à votre joie, car vous tenez fermes dans la foi.

C’est pourquoi j’ai décidé de ne pas retourner chez vous pour ne pas vous attrister de nouveau.

Car si je vous plonge dans la tristesse, qui pourra encore réjouir mon cœur si ce n’est vous que j’aurais moi-même attristés ?

Si je vous ai écrit comme je l’ai fait dans ma précédente lettre, c’était précisément pour qu’en venant chez vous je ne sois pas attristé par ceux-là mêmes qui devaient faire ma joie. J’ai, en effet, la conviction en ce qui vous concerne que ce qui fait ma joie fait aussi la vôtre à vous tous.

Aussi est-ce dans une profonde détresse, le cœur serré et avec bien des larmes que je vous ai écrit cette lettre, non pour vous attrister, mais pour que vous sachiez combien je vous aime.

Si l’un de vous a été une cause de tristesse, ce n’est pas moi qu’il a attristé, mais vous tous, ou du moins une partie d’entre vous, pour ne rien exagérer.

Le blâme que lui a infligé la majorité d’entre vous est suffisant pour cet homme.

Aussi devriez-vous à présent lui accorder votre pardon et le réconforter, afin qu’il ne soit pas accablé par une tristesse excessive.

Je vous engage donc à lui témoigner de l’amour.

Car je vous ai aussi écrit pour vous mettre à l’épreuve et voir si vous obéissez en toutes choses.

Celui à qui vous accordez le pardon, je lui pardonne moi aussi. Et si j’ai pardonné — pour autant que j’aie eu quelque chose à pardonner — je l’ai fait à cause de vous, devant le Christ,

pour ne pas laisser *Satan prendre l’avantage sur nous : nous ne connaissons en effet que trop bien ses intentions.

Je suis allé à Troas pour y annoncer la Bonne Nouvelle du Christ. J’y ai trouvé, grâce au Seigneur, des portes largement ouvertes à mon activité.

Cependant, je n’ai pas eu l’esprit tranquille parce que je n’y avais pas retrouvé mon frère *Tite. C’est pourquoi j’ai pris congé des croyants et je suis parti pour la *Macédoine.

Je ne puis que remercier Dieu : il nous associe toujours au cortège triomphal du Christ, par notre union avec lui, et il se sert de nous pour répandre en tout lieu, comme un parfum, la connaissance du Christ.

Oui, nous sommes, pour Dieu, comme le parfum du Christ parmi ceux qui sont sur la voie du salut et parmi ceux qui sont sur la voie de la perdition.

Pour les uns, c’est une odeur de mort qui les mène à la mort, pour les autres, c’est une odeur de vie qui les conduit à la vie. Et qui donc est à la hauteur d’une telle tâche ?

En tout cas nous, nous ne sommes pas comme tant d’autres qui accommodent la Parole de Dieu pour en tirer profit. C’est avec des intentions *pures, de la part de Dieu, dans l’union avec le Christ que nous annonçons la Parole.

En parlant ainsi, commençons-nous de nouveau à nous recommander nous-mêmes, ou avons-nous besoin, comme certains, de vous présenter des lettres de recommandation ou de vous en demander ?

Notre lettre c’est vous-mêmes, une lettre écrite dans notre cœur, que tout le monde peut connaître et lire.

Il est évident que vous êtes une lettre que le Christ a confiée à notre ministère et qu’il nous a fait écrire, non avec de l’encre, mais par l’Esprit du Dieu vivant, non sur des tablettes de pierre, mais sur des tablettes de chair : sur vos cœurs.

Telle est l’assurance que nous avons par le Christ, devant Dieu.

Cela ne veut pas dire que nous puissions nous considérer par nous-mêmes à la hauteur d’une telle tâche ; au contraire, notre capacité vient de Dieu.

C’est lui qui nous a rendus capables d’être les serviteurs d’une nouvelle *alliance qui ne dépend pas de la *Loi, avec ses commandements écrits, mais de l’Esprit. Car la Loi, avec ses commandements écrits, inflige la mort. L’Esprit, lui, communique la vie.

Le ministère de *Moïse, au service de la Loi, dont les lettres ont été gravées sur des pierres, a conduit à la mort. Cependant, ce ministère a été glorieux, au point que les Israélites n’ont pas pu regarder Moïse en face, à cause de la gloire, pourtant passagère, dont rayonnait son visage.

Mais alors, le ministère au service de l’Esprit ne sera-t-il pas bien plus glorieux encore ?

En effet, si le ministère qui a entraîné la condamnation des hommes a été glorieux, combien plus glorieux est celui qui conduit les hommes à être déclarés justes par Dieu !

On peut même dire que cette gloire du passé perd tout son éclat quand on la compare à la gloire présente qui lui est bien supérieure.

Car si ce qui est passager a été touché par la gloire, combien plus grande sera la gloire de ce qui demeure éternellement !

Cette espérance nous remplit d’assurance.

Nous ne faisons pas comme Moïse qui « couvrait son visage d’un voile » pour empêcher les Israélites de voir la réalité vers laquelle tendait ce qui était passager.

Mais leur esprit est devenu incapable de comprendre : aujourd’hui encore, lorsqu’ils lisent l’Ancien Testament, ce même voile demeure ; il ne leur est pas ôté, car c’est dans l’union avec le Christ qu’il est levé.

Aussi, jusqu’à ce jour, toutes les fois que les Israélites lisent les écrits de Moïse, un voile leur couvre l’esprit.

Mais, comme le dit l’Ecriture : Lorsque Moïse se tournait vers le Seigneur, il ôtait le voile.

Le Seigneur dont parle le texte ; c’est l’Esprit, et là où est l’Esprit du Seigneur, là règne la liberté.

Et nous tous qui, le visage découvert, contemplons, comme dans un miroir, la gloire du Seigneur, nous sommes transformés en son image dans une gloire dont l’éclat ne cesse de grandir. C’est là l’œuvre du Seigneur, c’est-à-dire de l’Esprit.

Ainsi, puisque tel est le ministère que Dieu nous a confié dans sa bonté, nous ne perdons pas courage.

Nous rejetons les intrigues et les procédés indignes. Nous ne recourons pas à la ruse et nous ne falsifions pas la Parole de Dieu. Au contraire, en faisant connaître la vérité, nous nous en remettons devant Dieu au jugement de tout homme.

Et si notre Evangile demeure « voilé », il ne l’est que pour ceux qui vont à la perdition,

pour les incrédules. Le dieu de ce monde a aveuglé leur esprit et les empêche ainsi de voir briller la lumière de la Bonne Nouvelle qui fait resplendir la gloire du Christ, lui qui est l’image de Dieu.

Ce n’est pas nous-mêmes que nous mettons en avant dans notre prédication, c’est le Seigneur Jésus-Christ. Nous-mêmes, nous sommes vos serviteurs à cause de Jésus.

En effet, le même Dieu qui, un jour, a dit : Que la lumière brille du sein des ténèbres, a lui-même brillé dans notre cœur pour y faire resplendir la connaissance de la gloire de Dieu qui rayonne du visage de Jésus-Christ.

Mais ce trésor, nous le portons dans les vases faits d’argile que nous sommes, pour que ce soit la puissance extraordinaire de Dieu qui se manifeste, et non notre propre capacité.

Ainsi, nous sommes accablés par toutes sortes de détresses et cependant jamais écrasés. Nous sommes désemparés, mais non désespérés,

persécutés, mais non abandonnés, terrassés, mais non pas anéantis.

Oui, nous portons toujours et en tout lieu, dans notre corps, la mort de Jésus, afin que la vie de Jésus soit, elle aussi, rendue manifeste par notre corps.

Car sans cesse, nous qui vivons, nous sommes exposés à la mort à cause de Jésus, afin que la vie de Jésus soit aussi rendue manifeste par notre corps mortel.

Ainsi, la mort fait son œuvre en nous, et la vie en vous.

Nous sommes animés de ce même esprit de foi dont il est question dans cette parole de l’Ecriture : J’ai cru, voilà pourquoi j’ai parlé. Nous aussi nous croyons, et c’est pour cela que nous parlons.

Nous savons en effet que Dieu, qui a ressuscité le Seigneur Jésus, nous ressuscitera aussi avec Jésus, et nous fera paraître, avec vous, en sa présence.

Ainsi, tout ce que nous endurons, c’est à cause de vous, pour que la grâce abonde en atteignant des hommes toujours plus nombreux, et qu’ainsi augmente le nombre des prières de reconnaissance à la gloire de Dieu.

Voilà pourquoi nous ne perdons pas courage. Et même si notre être extérieur se détériore peu à peu, intérieurement, nous sommes renouvelés de jour en jour.

En effet, nos détresses présentes sont passagères et légères par rapport au poids insurpassable de gloire éternelle qu’elles nous préparent.

Et nous ne portons pas notre attention sur les choses visibles, mais sur les réalités encore invisibles. Car les réalités visibles ne durent qu’un temps, mais les invisibles demeureront éternellement.


Ce texte est la propriété du TopChrétien. Autorisation de diffusion autorisée en précisant la source. © 2022 - www.topchretien.com
  • Contenus
  • Versions
  • Commentaires
  • Strong
  • Dictionnaire
  • Versets relatifs
  • Carte
  • Versets favoris

Pour ajouter un favori, merci de vous connecter : Se connecter

Vous avez aimé ? Partagez autour de vous !

Logo TopChrétien carré

Télécharger l'image

Choisissez une image

Personnalisez le verset

Alignement : | | | Haut | Milieu | Bas

Taille :

Couleur :

Police :

Personnalisez la référence

Couleur :

Police :

Taille :

De légères variations de mise en page peuvent apparaitre sur l'image téléchargée.

Versets relatifs

    • Ces vidéos ne sont pas disponibles en colonnes en dehors de la vue Bible.

      2 Corinthiens 1

      1 De la part de Paul, apôtre de Jésus-Christ par la volonté de Dieu, et du frère Timothée à l'Eglise de Dieu qui est à Corinthe et à tous les saints qui sont dans toute l'Achaïe :
      2 que la grâce et la paix vous soient données de la part de Dieu notre Père et du Seigneur Jésus-Christ !
      3 Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père plein de compassion et le Dieu de tout réconfort !
      4 Il nous réconforte dans toutes nos détresses afin que nous puissions réconforter ceux qui se trouvent dans la détresse, grâce à l’encouragement que nous recevons nous-mêmes de la part de Dieu.
      5 En effet, de même que les souffrances de Christ abondent pour nous, de même aussi, c’est par Christ que notre réconfort abonde.
      6 Si nous sommes dans la détresse, c'est pour votre réconfort et pour votre salut ; si nous sommes encouragés, c'est pour votre encouragement, pour vous permettre de supporter les mêmes souffrances que celles que nous endurons.
      7 Et notre espérance à votre sujet est ferme, parce que nous savons que si vous avez part aux souffrances, vous avez part aussi au réconfort.
      8 En ce qui concerne la détresse que nous avons connue en Asie, nous ne voulons en effet pas vous laisser ignorer, frères et sœurs, que nous avons été accablés à l'extrême, au-delà de nos forces, au point que nous désespérions même de rester en vie.
      9 Nous avions intérieurement accepté notre arrêt de mort afin de ne pas placer notre confiance en nous-mêmes mais en Dieu qui ressuscite les morts.
      10 C'est lui qui nous a délivrés d'une telle mort et qui nous en délivre encore. Oui, nous avons en lui cette espérance qu'il nous en délivrera encore,
      11 et vous y contribuerez vous-mêmes par la prière. Ainsi, la grâce obtenue pour nous par beaucoup de personnes sera pour beaucoup une occasion de remercier Dieu à notre sujet.
      12 En effet, voici notre sujet de fierté et le témoignage de notre conscience : nous nous sommes conduits dans le monde, et plus particulièrement vis-à-vis de vous, avec la sincérité et la pureté qui viennent de Dieu, non pas avec une sagesse humaine, mais avec la grâce de Dieu.
      13 Nous ne vous écrivons rien d'autre que ce que vous lisez et comprenez. Et j'espère que vous comprendrez complètement,
      14 puisque vous l’avez déjà compris en partie, que nous sommes votre sujet de fierté, de même que vous serez aussi le nôtre, le jour du Seigneur Jésus.
      15 C'est avec cette assurance que je voulais d'abord aller chez vous, afin que vous puissiez avoir une double grâce.
      16 Je voulais passer chez vous en me rendant en Macédoine, puis revenir de la Macédoine chez vous, avec l'espoir d’être soutenu par vous pour mon voyage en Judée.
      17 En formant ce projet, ai-je donc fait preuve de légèreté ? Ou bien mes décisions sont-elles purement humaines, de sorte qu'il y aurait en moi à la fois le « oui » et le « non » ?
      18 Aussi vrai que Dieu est fidèle, la parole que nous vous avons adressée n'a pas été « oui » et « non ».
      19 En effet, le Fils de Dieu, Jésus-Christ, que nous avons prêché au milieu de vous, Silvain, Timothée et moi, n'a pas été « oui » et « non ». Au contraire, en lui il n'y a que le « oui ».
      20 En effet, pour toutes les promesses de Dieu, c’est en lui que se trouve le « oui », et c’est [donc] aussi par lui que nous disons « amen » à Dieu, pour sa gloire.
      21 Or, celui qui nous affermit avec vous en Christ et qui nous a consacrés par son onction, c'est Dieu ;
      22 il nous a aussi marqués de son empreinte et a mis l'Esprit comme un gage dans notre cœur.
      23 Quant à moi, j'en prends Dieu à témoin sur ma vie, c'est pour vous ménager que je ne suis pas revenu à Corinthe.
      24 Ce n’est pas que nous voulions dominer sur votre foi, mais plutôt que nous contribuons à votre joie, car vous êtes fermes dans la foi.

      2 Corinthiens 2

      1 J'ai donc décidé en moi-même de ne pas retourner chez vous dans la tristesse.
      2 En effet, si je vous attriste, qui peut me réjouir, sinon celui que j'ai attristé ?
      3 J'ai écrit comme je l'ai fait pour ne pas être attristé, à mon arrivée, par ceux qui devaient me donner de la joie ; car en ce qui vous concerne, je suis convaincu que ma joie est aussi la vôtre, à vous tous.
      4 C'est dans une grande souffrance, le cœur angoissé et avec beaucoup de larmes que je vous ai écrit, non pas afin de vous attrister, mais afin que vous sachiez quel amour débordant j'ai pour vous.
      5 Si quelqu'un a été une cause de tristesse, ce n'est pas moi qu'il a attristé, c'est vous tous, du moins dans une certaine mesure, pour ne rien exagérer.
      6 Le blâme qui lui a été infligé par la majorité d’entre vous est suffisant pour cet homme.
      7 Maintenant, au contraire, vous devez plutôt lui pardonner et l'encourager, de peur qu'il ne soit accablé par une tristesse excessive.
      8 Je vous engage donc à faire preuve d'amour envers lui,
      9 car je vous ai aussi écrit dans le but de savoir, en vous mettant à l'épreuve, si vous êtes obéissants à tout point de vue.
      10 Or à qui vous pardonnez, je pardonne aussi ; et si j'ai pardonné quelque chose à quelqu’un, je l'ai fait à cause de vous, en présence de Christ,
      11 afin de ne pas laisser à Satan l'avantage sur nous, car nous n'ignorons pas ses intentions.
      12 Quand je suis arrivé à Troas pour annoncer l'Evangile de Christ, bien que le Seigneur m'y ait ouvert une porte, je n'avais pas l'esprit en repos parce que je n'avais pas trouvé mon frère Tite.
      13 C'est pourquoi j'ai pris congé d'eux et je suis parti pour la Macédoine.
      14 Que Dieu soit remercié, lui qui nous fait toujours triompher en Christ et qui propage partout, à travers nous, le parfum de sa connaissance !
      15 Nous sommes en effet pour Dieu la bonne odeur de Christ parmi ceux qui sont sauvés et parmi ceux qui périssent :
      16 pour les uns, un parfum de mort qui donne la mort, pour les autres, un parfum de vie qui donne la vie. – Et pour cette mission, qui donc est qualifié ? –
      17 En effet, nous ne falsifions pas la parole de Dieu, comme le font les autres, mais c'est avec pureté, c'est de la part de Dieu, en Christ et devant Dieu que nous parlons.

      2 Corinthiens 3

      1 Commençons-nous de nouveau à nous recommander nous-mêmes ? Ou avons-nous besoin, comme certains, de lettres de recommandation pour vous, ou alors de votre part ?
      2 C'est vous qui êtes notre lettre, écrite dans notre cœur, connue et lue de tous les hommes.
      3 Il est clair que vous êtes une lettre de Christ écrite par notre ministère, non avec de l'encre mais avec l'Esprit du Dieu vivant, non sur des tables de pierre mais sur des tables de chair, sur les cœurs.
      4 Telle est l'assurance que nous avons par Christ auprès de Dieu.
      5 Je ne dis pas que nous soyons capables, par nous-mêmes, de concevoir quelque chose comme si cela venait de nous. Notre capacité, au contraire, vient de Dieu.
      6 Il nous a aussi rendus capables d'être serviteurs d'une nouvelle alliance, non de la lettre, mais de l'Esprit ; car la lettre tue, mais l'Esprit fait vivre.
      7 Or, si le ministère de la mort, gravé avec des lettres sur des pierres, a été glorieux au point que les Israélites ne pouvaient pas fixer les regards sur le visage de Moïse à cause de la gloire dont il rayonnait et qui, pourtant, était passagère,
      8 combien le ministère de l'Esprit sera plus glorieux !
      9 En effet, si le ministère de la condamnation a été glorieux, le ministère de la justice est bien plus glorieux encore.
      10 Et même, de ce point de vue, ce qui était glorieux a perdu son éclat à cause de la gloire qui lui est supérieure.
      11 En effet, si ce qui était passager a été marqué par la gloire, ce qui est permanent sera bien plus glorieux.
      12 Puisque nous avons une telle espérance, nous faisons preuve d’une grande assurance.
      13 Nous ne faisons pas comme Moïse, qui mettait un voile sur son visage pour que les Israélites ne fixent pas les regards sur la fin d’une réalité passagère.
      14 Mais leur intelligence s'est obscurcie. Jusqu'à aujourd’hui en effet, le même voile reste lorsqu’ils font la lecture de l'Ancien Testament, et il ne se lève pas parce que c'est en Christ qu'il disparaît.
      15 Jusqu'à aujourd’hui, quand les écrits de Moïse sont lus, un voile recouvre leur cœur ;
      16 mais lorsque quelqu'un se convertit au Seigneur, le voile est enlevé.
      17 Or le Seigneur, c'est l'Esprit, et là où est l'Esprit du Seigneur, là est la liberté.
      18 Nous tous qui, sans voile sur le visage, contemplons comme dans un miroir la gloire du Seigneur, nous sommes transformés à son image, de gloire en gloire, par l'Esprit du Seigneur.

      2 Corinthiens 4

      1 Ainsi donc, puisque par la bonté de Dieu nous avons ce ministère, nous ne perdons pas courage.
      2 Nous rejetons les actions honteuses qui se font en secret, nous ne nous conduisons pas avec ruse et nous ne falsifions pas la parole de Dieu. Au contraire, en faisant connaître clairement la vérité, nous nous recommandons à toute conscience d'homme devant Dieu.
      3 Si notre Evangile est encore voilé, il l’est pour ceux qui périssent,
      4 pour les incrédules dont le dieu de ce monde a aveuglé l'intelligence afin qu'ils ne voient pas briller l’éclat que projette l'Evangile de la gloire de Christ, qui est l'image de Dieu.
      5 Nous ne nous prêchons pas nous-mêmes : c'est Jésus-Christ le Seigneur que nous prêchons, et nous nous déclarons vos serviteurs à cause de Jésus.
      6 En effet, le Dieu qui a ordonné que la lumière brille du sein des ténèbres a aussi fait briller sa lumière dans notre cœur pour faire resplendir la connaissance de la gloire de Dieu dans la personne de [Jésus-]Christ.
      7 Nous portons ce trésor dans des vases de terre afin que cette puissance extraordinaire soit attribuée à Dieu, et non à nous.
      8 Nous sommes pressés de toutes parts, mais non écrasés ; inquiets, mais non désespérés ;
      9 persécutés, mais non abandonnés ; abattus, mais non anéantis.
      10 Nous portons toujours avec nous dans notre corps l’agonie du [Seigneur] Jésus afin que la vie de Jésus soit aussi manifestée dans notre corps.
      11 En effet, nous qui vivons, nous sommes sans cesse livrés à la mort à cause de Jésus afin que la vie de Jésus soit elle aussi révélée dans notre corps mortel.
      12 Ainsi la mort est à l’œuvre en nous, et la vie en vous.
      13 Et comme nous avons le même esprit de foi que celui exprimé dans cette parole de l'Ecriture : J'ai cru, c'est pourquoi j'ai parlé, nous aussi nous croyons, et c'est pour cela que nous parlons.
      14 Nous savons en effet que celui qui a ressuscité le Seigneur Jésus nous ressuscitera aussi par Jésus et nous fera paraître avec vous dans sa présence.
      15 Oui, tout cela arrive à cause de vous afin que la grâce, en se multipliant, fasse abonder la reconnaissance d'un plus grand nombre, à la gloire de Dieu.
      16 Voilà pourquoi nous ne perdons pas courage. Et même si notre être extérieur se détruit, notre être intérieur se renouvelle de jour en jour.
      17 En effet, nos légères difficultés du moment présent produisent pour nous, au-delà de toute mesure, un poids éternel de gloire.
      18 Ainsi nous regardons non pas à ce qui est visible, mais à ce qui est invisible, car les réalités visibles sont passagères et les invisibles sont éternelles.
    • Ajouter une colonne
Update Required To play the media you will need to either update your browser to a recent version or update your Flash plugin pour Firefox & Safari - Flash plugin pour Opera & Chrome.