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La Bible en 1 an - Jour 237

Sommaire

Les Philistins mobilisèrent leurs troupes pour une expédition guerrière, ils se rassemblèrent à Soko en Juda et dressèrent leur camp entre Soko et Azéqa, à Ephès-Dammim.

Saül, de son côté, rassembla les hommes d’Israël et ils campèrent dans la vallée du Chêne. C’est là qu’ils prirent position en ordre de bataille face aux Philistins.

Ceux-ci occupaient un versant de la montagne et les Israélites le versant opposé ; la vallée séparait les deux armées.

Alors un champion sortit du camp des Philistins et s’avança vers Israël. C’était un géant mesurant près de trois mètres, nommé Goliath, originaire de Gath.

Il était revêtu d’un casque de bronze et d’une cuirasse à écailles en bronze pesant une soixantaine de kilos.

Ses jambes étaient protégées par des plaques de bronze et il portait en bandoulière sur ses épaules un javelot de bronze.

Le bois de sa lance avait la grosseur d’un cylindre de métier à tisser, le fer de lance à lui seul pesait près de sept kilos. Il était précédé d’un homme qui portait son bouclier.

Il se campa face aux troupes israélites, et leur cria : —Pourquoi vous êtes-vous rangés en ordre de combat ? Moi, je suis le Philistin, et vous, les esclaves de Saül. Choisissez parmi vous un homme, et qu’il m’affronte en combat singulier !

S’il peut me battre et qu’il me tue, alors nous vous serons assujettis. Mais si c’est moi le vainqueur et si je le tue, c’est vous qui nous serez assujettis et vous serez nos esclaves.

Puis il ajouta : Je lance aujourd’hui ce défi à l’armée d’Israël. Envoyez-moi un homme et nous nous affronterons en combat singulier.

Quand Saül et toute son armée entendirent ces paroles du Philistin, ils furent démoralisés et une grande peur s’empara d’eux.

Or, David était fils d’un Ephratien de Bethléhem en Juda nommé Isaï et qui avait huit fils. Au temps de Saül, Isaï était très âgé.

Ses trois fils aînés avaient suivi Saül à la guerre : l’aîné s’appelait Eliab, le second Abinadab et le troisième Chamma.

Quant à David, c’était le plus jeune. Lorsque les trois aînés eurent suivi Saül,

David faisait le va-et-vient entre le camp de Saül et Bethléhem pour y garder les moutons de son père.

Chaque matin et chaque soir, le Philistin venait se présenter en face de l’armée d’Israël et cela depuis quarante jours.

C’est à cette époque qu’Isaï dit à son fils David : —Prends cette mesure de grains rôtis et ces dix pains et porte-les vite au camp pour tes frères.

Emporte aussi ces dix fromages, tu les donneras au chef de leur « millier ». Tu verras si tes frères se portent bien et tu m’en rapporteras de leur part un gage.

Tu les trouveras avec Saül et toute l’armée d’Israël dans la vallée du Chêne, face aux Philistins.

Le lendemain de bon matin, David confia ses moutons à quelqu’un pour les garder, il prit ses provisions et partit comme Isaï le lui avait ordonné. Quand il arriva au campement, l’armée était en train de prendre position pour la bataille en lançant le cri de guerre.

Israélites et Philistins se rangèrent en ordre de bataille face à face.

David déposa son chargement et le confia au gardien des bagages, puis il courut au front. Aussitôt arrivé, il vint demander de leurs nouvelles à ses frères.

Pendant qu’il parlait avec eux, Goliath, le champion des Philistins, originaire de Gath, sortit de leurs rangs et lança son défi habituel. David l’entendit.

A la vue de cet homme, tous les soldats d’Israël s’enfuirent terrorisés.

—L’avez-vous vu s’avancer contre nous ? dit l’un d’eux. Il vient encore insulter Israël. Celui qui le tuera, recevra de grandes richesses de la part du roi qui lui donnera en plus sa propre fille en mariage et exonérera toute sa famille d’impôts.

David demanda aux hommes qui se tenaient autour de lui : —Qu’est-ce que l’on donnera à celui qui abattra ce Philistin et qui lavera le peuple d’Israël de la honte qui lui est infligée ? Qu’est donc cet incirconcis de Philistin, pour oser insulter les bataillons du Dieu vivant ?

On répéta à David ce qui était promis comme récompense à celui qui tuerait le géant.

Lorsque son frère aîné Eliab l’entendit discuter avec les soldats, il se mit en colère contre lui et lui dit : —Que viens-tu faire ici ? A qui as-tu laissé nos quelques moutons dans la steppe ? Je te connais bien, moi, petit prétentieux ! Je sais quelles mauvaises intentions tu as dans ton cœur ! Tu n’es venu que pour voir la bataille !

David lui répondit : —Eh ! Qu’est-ce que j’ai fait de mal ? Est-ce que je n’ai plus le droit de parler maintenant ?

Puis, il tourna le dos à son frère et alla se renseigner auprès d’un autre soldat, et on lui fit la même réponse que la première fois.

Ce que David avait dit se propagea rapidement et parvint jusqu’aux oreilles de Saül qui, aussitôt, le fit venir.

David lui dit : —Que personne ne perde courage à cause de ce Philistin ! Moi, ton serviteur, j’irai et je le combattrai.

Mais Saül lui répondit : —Tu ne peux pas aller lutter contre ce Philistin. Tu n’es qu’un gamin, alors que lui, c’est un homme de guerre depuis sa jeunesse.

David répondit à Saül : —Quand ton serviteur gardait les moutons de son père et qu’un lion ou même un ours survenait pour emporter une bête du troupeau,

je courais après lui, je l’attaquais et j’arrachais la bête de sa gueule ; et si le fauve se dressait contre moi, je le prenais par son poil et je le frappais jusqu’à ce qu’il soit mort.

Puisque ton serviteur a tué des lions et même des ours, il abattra bien cet incirconcis de Philistin comme l’un d’eux, car il a insulté les bataillons du Dieu vivant.

Puis David ajouta : —L’Eternel qui m’a délivré de la griffe du lion et de l’ours me délivrera aussi de ce Philistin. Finalement, Saül dit à David : —Vas-y donc et que l’Eternel soit avec toi !

Puis il lui fit revêtir sa propre armure, il lui fit mettre un casque de bronze et endosser sa cuirasse.

Par-dessus son équipement, David ceignit aussi l’épée de Saül, puis il essaya de marcher, mais il n’y parvint pas, car il n’en avait pas l’habitude. Alors il dit à Saül : —Je ne peux pas marcher avec tout cet équipement, car je n’y suis pas entraîné. Puis il se débarrassa de tout.

Il prit son bâton en main et choisit, dans le torrent, cinq cailloux bien lisses qu’il mit dans le sac de berger qui lui servait de besace et, sa fronde à la main, il s’avança vers le Philistin.

Celui-ci, précédé de son porte-bouclier, s’avança vers David.

Il l’examina et, lorsqu’il vit devant lui un jeune homme roux et de belle figure, il le regarda avec mépris

et lui lança : —Est-ce que tu me prends pour un chien pour venir contre moi avec un bâton ? Puis il le maudit par ses dieux.

—Approche un peu, ajouta-t-il, pour que je donne ta chair à manger aux oiseaux du ciel et aux bêtes des champs !

A quoi David répondit : —Tu marches contre moi avec l’épée, la lance et le javelot, et moi je marche contre toi au nom de l’Eternel, le Seigneur des armées célestes, le Dieu des bataillons d’Israël, que tu as insulté.

Aujourd’hui même, l’Eternel me donnera la victoire sur toi, je t’abattrai, je te couperai la tête et, avant ce soir, je donnerai les cadavres des soldats philistins à manger aux oiseaux du ciel et aux bêtes sauvages de la terre. Alors toute la terre saura qu’Israël a un Dieu.

Et toute cette multitude assemblée saura que ce n’est ni par l’épée ni par la lance que l’Eternel délivre. Car l’issue de cette bataille dépend de lui, et il vous livre en notre pouvoir.

Aussitôt, le Philistin se remit à avancer en direction de David qui, de son côté, se hâta de courir vers la ligne ennemie au-devant du Philistin.

David plongea la main dans son sac, en tira un caillou, et le lança avec sa fronde : il atteignit le Philistin en plein front. La pierre pénétra dans son crâne et il s’écroula, la face contre terre.

Ainsi, sans épée, avec sa fronde et une pierre, David triompha du Philistin, il le frappa et le tua.

Alors il se précipita sur l’adversaire, saisit son épée, la tira de son fourreau et l’acheva, puis il lui trancha la tête. Quand les Philistins virent que leur héros était mort, ils prirent la fuite.

Les soldats d’Israël et de Juda s’élancèrent en poussant des cris de guerre et poursuivirent les Philistins jusqu’aux abords de la vallée et jusqu’aux portes d’Ekron. Les cadavres des ennemis jonchèrent la route de Chaaraïm jusqu’à Gath et Ekron.

Au retour de cette poursuite acharnée, les Israélites pillèrent le camp des Philistins.

David prit la tête du Philistin et la fit porter à Jérusalem. Il déposa ses armes dans sa propre tente.

Lorsque Saül avait vu David s’avancer à la rencontre du Philistin, il avait demandé à son général Abner : —De qui ce jeune homme est-il fils, Abner ? Abner répondit : —Aussi vrai que tu es vivant, ô Roi, je n’en sais rien.

—Alors, ordonna Saül, informe-toi donc pour savoir qui est le père de ce jeune homme.

Quand David fut de retour au camp après avoir tué le Philistin, Abner le prit et le conduisit devant Saül. David tenait encore en main la tête du Philistin.

Quand Saül lui demanda : —De qui es-tu le fils, mon garçon ? David lui répondit : —Je suis fils de ton serviteur Isaï de Bethléhem.

Comment ! Dans sa colère, le Seigneur a couvert par les ténèbres la population de *Sion. Il a précipité du ciel jusque sur terre la splendeur d’Israël. Il a même oublié l’escabeau de ses pieds au jour de sa colère.

Le Seigneur, sans pitié, a englouti toutes les maisons de Jacob. Dans son indignation, il a démantelé les villes fortifiées du peuple de Juda, il a jeté à terre et il a profané le royaume et ses princes.

Dans sa colère ardente, il a brisé entièrement la force d’Israël. Il lui a retiré le secours de sa droite quand venait l’ennemi. Il a allumé en Jacob comme un brasier ardent qui consume tout à l’entour.

Il a bandé son arc tout comme un ennemi. Il a brandi sa droite tout comme un assaillant et il a massacré tout ce qui charmait le regard. Il a déversé son courroux comme un feu sur la tente dans laquelle vivait la population de Sion.

Le Seigneur a agi en ennemi. Il a englouti Israël, et englouti tous ses palais, démoli ses remparts. Et pour le peuple de Juda, il a multiplié les douleurs et les plaintes.

Il a forcé sa haie tout comme celle d’un jardin ; il a détruit le lieu de la Rencontre qui lui appartenait. En Sion, l’Eternel a livré à l’oubli les jours de fête et de sabbat, et dans sa colère indignée, il a méprisé les rois et les prêtres.

Le Seigneur a rejeté son autel, et il a dédaigné son sanctuaire. Il a livré à l’ennemi les murs de ses palais, leurs voix ont retenti dans le Temple de l’Eternel comme en un jour de fête.

L’Eternel a résolu d’abattre les murs du peuple de Sion. Il a étendu le cordeau, il va la niveler, il n’a pas retiré sa main avant de les avoir détruits. Il fait mener le deuil au rempart et au mur : ensemble, ils se sont délabrés.

Ses portes se sont effondrées, enfouies sous les décombres. Il a détruit tous leurs verrous, il les a fracassés. Son roi et ses ministres sont exilés chez les nations païennes. Il n’y a plus de Loi, et ses prophètes ne reçoivent plus de révélations de l’Eternel.

Les responsables du peuple de Sion sont assis sur le sol et gardent le silence. Ils ont revêtu des habits faits de toile de sac, et ils se sont jeté de la poussière sur la tête. Les jeunes filles de Jérusalem courbent la tête jusqu’à terre.

Mes yeux s’épuisent à verser des larmes et l’émotion me brûle ; tout courage me quitte à cause des malheurs qui ont frappé la communauté de mon peuple, à cause des petits enfants et des nourrissons qui défaillent dans les rues de la ville.

Ils disent à leurs mères : « Où y a-t-il du pain ? Où y a-t-il du vin ? » Les voilà qui défaillent comme blessés à mort dans les rues de la ville, perdant leur dernier souffle sur le sein de leurs mères.

Que te dirai-je ? A qui te comparer, ô peuple de Jérusalem ? Oui, pour te consoler, qui pourrais-je citer qui te serait semblable ? Communauté de Sion, ton désastre est immense comme la grande mer ; qui donc te guérira ?

Tes prophètes ont eu pour toi des révélations mensongères et insipides, ils n’ont pas dénoncé tes fautes pour t’éviter l’exil. Oui, ils ont eu pour toi des révélations mensongères et illusoires.

Les passants sur la route battent des mains, ils sifflent, ils hochent la tête en te voyant, ô population de Jérusalem : est-ce là cette ville qu’on appelait jadis : « Beauté parfaite », « Joie de toute la terre » ?

Vois : tous tes ennemis ont ouvert largement leur bouche contre toi, ils sifflent, ils grincent des dents et ils s’exclament : « Nous l’avons engloutie, c’est le jour que nous attendions, nous y sommes, le voici enfin ! »

L’Eternel a réalisé tout ce qu’il avait résolu, il a accompli la parole qu’il avait prononcée depuis des temps anciens. Il a tout démoli sans aucune pitié. Il a réjoui tes ennemis à tes dépens, il a exalté leur puissance.

Le cœur du peuple crie vers le Seigneur. Muraille de Sion, laisse couler tes larmes jour et nuit comme un fleuve ! Ne t’accorde aucune relâche. Que ton œil n’ait pas de repos !

Debout, que tes supplications s’élèvent dans la nuit au début de toutes les veilles ! Epanche ton cœur comme l’eau devant la face du Seigneur ! Lève les mains vers lui pour la vie de tes nourrissons qui défaillent de faim à tous les coins de rues.

Vois, Eternel, et considère : qui as-tu traité de la sorte ? Se peut-il que des femmes dévorent les enfants qu’elles ont mis au monde, les bébés qu’elles ont choyés ? Se peut-il que l’on tue les prêtres, les prophètes jusqu’au sein même du sanctuaire du Seigneur ?

Les enfants, les vieillards jonchent le sol des rues. Mes jeunes filles et mes jeunes gens sont tombés par l’épée. Tu les as abattus au jour où tu as fait éclater ta colère, tu les as égorgés sans aucune pitié.

Tu as convoqué de partout des peuples redoutables. comme en un jour de fête Au jour où la colère de l’Eternel a éclaté, il n’y a eu ni rescapé ni survivant. Ceux que j’avais choyés, que j’avais élevés, mon ennemi les a exterminés.

Nous qui sommes forts dans la foi, nous devons porter les faiblesses de ceux qui ne le sont pas, sans chercher notre propre satisfaction.

Que chacun de nous recherche la satisfaction de son prochain pour le bien de celui-ci, en vue de l’aider à grandir dans la foi.

Car le Christ n’a pas cherché sa propre satisfaction, mais il a dit, comme le déclare l’Ecriture : Les insultes de ceux qui t’insultent sont retombées sur moi.

Or tout ce qui a été consigné autrefois dans l’Ecriture l’a été pour nous instruire, afin que la patience et l’encouragement qu’apporte l’Ecriture produisent en nous l’espérance.

Que Dieu, source de toute patience et de tout réconfort, vous donne de vivre en plein accord les uns avec les autres, conformément à l’enseignement de Jésus-Christ.

Ainsi, d’un même cœur et d’une seule voix, vous célébrerez la gloire du Dieu et Père de notre Seigneur Jésus-Christ.

Accueillez-vous donc les uns les autres, tout comme le Christ vous a accueillis, pour la gloire de Dieu.

Voici, en effet, ce que j’affirme : c’est, d’abord, que le Christ est venu se mettre au service des *Juifs pour montrer que Dieu est fidèle en accomplissant les promesses faites à leurs ancêtres ;

c’est, ensuite, qu’il est venu pour que les non-Juifs, de leur côté, louent Dieu à cause de sa bonté, comme le dit l’Ecriture : Je veux te célébrer parmi les nations et je chanterai ta gloire.

Et ailleurs : Nations, réjouissez-vous avec son peuple.

Ou encore : Louez le Seigneur, vous toutes les nations, que tous les peuples l’acclament.

*Esaïe dit de son côté : Un rejeton naîtra d’Isaï On le verra se lever pour mener les nations et les peuples païens mettront en lui leur espérance.

Que Dieu, qui est l’auteur de l’espérance, vous comble de toute joie et de sa paix par votre *confiance en lui. Ainsi votre cœur débordera d’espérance par la puissance du Saint-Esprit.

Frères, j’ai personnellement la conviction que vous êtes pleins de bonté, remplis de toute la connaissance, et tout à fait capables, par conséquent, de vous conseiller les uns les autres.

Cependant, je vous ai écrit avec une certaine audace sur quelques points ; car je désirais raviver vos souvenirs, à cause de la grâce que Dieu m’a accordée.

En effet, il a fait de moi le serviteur de Jésus-Christ pour les non-Juifs. J’accomplis ainsi la tâche d’un prêtre en annonçant la Bonne Nouvelle de Dieu aux non-Juifs pour que ceux-ci deviennent une offrande agréable à Dieu, consacrée par l’Esprit Saint.

Voilà pourquoi, grâce à Jésus-Christ, je suis fier de mon travail pour Dieu.

Car si j’ose parler, c’est seulement de ce que le Christ a accompli par mon moyen pour amener les non-Juifs à obéir à Dieu. Il l’a fait par mes paroles et mes actes,

par sa puissance qui s’est manifestée dans les miracles et les prodiges, c’est-à-dire par la puissance de l’Esprit de Dieu. Ainsi, à partir de *Jérusalem jusqu’en Illyrie, en rayonnant en tous sens, j’ai fait partout retentir le message du Christ.

Je me suis fait un point d’honneur de ne proclamer la Bonne Nouvelle que là où le nom du Christ n’était pas encore connu. Je ne voulais en aucun cas bâtir sur des fondations posées par d’autres.

J’ai agi selon cette parole de l’Ecriture : Ceux à qui l’on n’avait rien dit de lui le verront, et ceux qui n’avaient pas entendu parler de lui comprendront.

C’est aussi cette raison qui m’a empêché bien des fois d’aller chez vous.

A présent, je n’ai plus de champ d’action dans ces régions. Or, depuis plusieurs années, je désire aller chez vous

et cela pourra se réaliser quand j’irai en Espagne. En effet, j’espère vous voir en passant, et je compte sur vous pour m’aider à me rendre dans ce pays après avoir satisfait au moins en partie mon désir de vous rencontrer.

Pour l’instant, je vais à Jérusalem pour le service de ceux qui appartiennent à Dieu.

En effet, les Eglises de la Macédoine et de l’Achaïe ont décidé de mettre en commun une part de leurs biens pour venir en aide aux croyants pauvres de Jérusalem.

C’est une libre initiative de leur part, mais elles le leur devaient bien : car si les non-Juifs ont eu leur part des biens spirituels qui appartenaient aux *Juifs, ils doivent bien, à leur tour, les assister de leurs biens matériels.

Lorsque je me serai acquitté de ce service et que j’aurai remis à ses destinataires le fruit de cette initiative, je prendrai le chemin de l’Espagne et passerai donc par chez vous.

Et je sais que lorsque je viendrai chez vous, ce sera avec la pleine bénédiction du Christ.

Je vous le demande, frères, par notre Seigneur Jésus-Christ et par l’amour que donne l’Esprit : combattez avec moi, en priant Dieu pour moi.

Qu’il me fasse échapper aux incrédules de la *Judée et permette que l’aide que j’apporte à Jérusalem puisse être reçue favorablement par ceux qui appartiennent à Dieu.

Ainsi je pourrai venir chez vous le cœur plein de joie, si Dieu le veut, et trouver quelque repos parmi vous.

Que le Dieu qui donne la paix soit avec vous tous. *Amen.


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      1 Samuel 17

      1 Les Philistins réunirent leurs troupes pour faire la guerre et ils se rassemblèrent à Soco, ville qui appartient à Juda. Ils installèrent leur camp entre Soco et Azéka, à Ephès-Dammim.
      2 Saül et les hommes d'Israël se rassemblèrent aussi. Ils installèrent leur camp dans la vallée d’Ela et ils se rangèrent en ordre de bataille contre les Philistins.
      3 Les Philistins se tenaient sur une montagne, et Israël sur celle d’en face : la vallée les séparait.
      4 Un homme sortit alors du camp des Philistins et s'avança entre les deux armées. Il s’appelait Goliath, venait de Gath et mesurait environ 3 mètres.
      5 Il avait sur la tête un casque en bronze et il portait une cuirasse à écailles en bronze qui pesait près de 60 kilos.
      6 Il avait des jambières en bronze et tenait un javelot en bronze en bandoulière.
      7 Le bois de sa lance avait la grosseur d’un cylindre de métier à tisser, et la lance, en fer, pesait 7 kilos. Celui qui portait son bouclier marchait devant lui.
      8 Le Philistin s'arrêta et s'adressa aux troupes d'Israël rangées en ordre de bataille. Il leur cria : « Pourquoi sortez-vous pour vous ranger en ordre de bataille ? Ne suis-je pas le Philistin et n'êtes-vous pas des esclaves de Saül ? Choisissez un homme qui descende contre moi !
      9 S'il peut me battre et qu'il me tue, nous serons vos esclaves. Mais si je l'emporte sur lui et que je le tue, vous serez nos esclaves et vous nous servirez. »
      10 Le Philistin dit encore : « Je jette aujourd’hui un défi à l'armée d'Israël : donnez-moi un homme, pour que nous nous battions ensemble ! »
      11 En entendant ces paroles du Philistin, Saül et tout Israël furent effrayés et remplis de peur.
      12 Or David était le fils de l’Ephratien de Bethléhem en Juda nommé Isaï qui avait huit fils. A l’époque de Saül, cet homme était vieux, d’un âge avancé.
      13 Les trois fils aînés d'Isaï avaient suivi Saül à la guerre. Voici le nom de ses trois fils partis pour la guerre : Eliab, l’aîné, Abinadab le deuxième et Shamma, le troisième.
      14 David était le plus jeune, et les trois aînés avaient suivi Saül.
      15 Quant à David, il faisait le va-et-vient, quittant Saül pour garder les brebis de son père à Bethléhem.
      16 Le Philistin s'avançait matin et soir, et il se présenta ainsi pendant 40 jours.
      17 Isaï dit à son fils David : « Prends pour tes frères cette mesure de grain rôti et ces 10 pains, et cours au camp vers tes frères.
      18 Porte aussi ces 10 fromages au chef de leur millier. Tu verras si tes frères se portent bien et tu m’en apporteras une preuve de leur part.
      19 Ils sont avec Saül et tous les hommes d'Israël dans la vallée d’Ela, et ils font la guerre aux Philistins. »
      20 David se leva de bon matin. Il laissa les brebis à un gardien, prit ses affaires et partit, comme Isaï le lui avait ordonné. Lorsqu'il arriva au camp, l'armée était en marche pour se ranger en ordre de bataille et poussait des cris de guerre.
      21 Les Israélites et les Philistins se mirent en ordre de bataille, armée contre armée.
      22 David confia les affaires qu'il transportait au gardien du matériel et courut vers les rangs de l'armée. Aussitôt arrivé, il demanda à ses frères comment ils allaient.
      23 Il était en train de parler avec eux lorsque le Philistin de Gath appelé Goliath s'avança entre les deux armées, hors des rangs des Philistins. Il tint les mêmes discours que les autres fois et David les entendit.
      24 A la vue de cet homme, tous les Israélites prirent la fuite et furent remplis de peur.
      25 Chacun disait : « Avez-vous vu s'avancer cet homme ? C'est pour jeter un défi à Israël qu'il s'est avancé ! Si quelqu'un le tue, le roi le comblera de richesses, il lui donnera sa fille et libérera sa famille de tout impôt en Israël. »
      26 David demanda aux hommes qui se trouvaient près de lui : « Que fera-t-on pour celui qui tuera ce Philistin et qui écartera la honte d’Israël ? Qui est donc ce Philistin, cet incirconcis, pour insulter l'armée du Dieu vivant ? »
      27 Le peuple répéta les mêmes choses en précisant : « Voilà comment l'on agira pour celui qui le tuera. »
      28 Eliab, le frère aîné de David, l'avait entendu parler à ces hommes, et il fut enflammé de colère contre lui. Il dit : « Pourquoi es-tu descendu ici et à qui as-tu laissé ton petit troupeau dans le désert ? Je connais ton orgueil et la méchanceté de ton cœur. C'est pour voir la bataille que tu es descendu. »
      29 David répondit : « Qu'ai-je donc fait ? N’ai-je pas le droit de m’exprimer ? »
      30 Il se détourna de lui pour s'adresser à un autre et posa les mêmes questions. Le peuple lui répondit comme la première fois.
      31 Après avoir entendu les paroles prononcées par David, on les répéta à Saül, qui le fit venir.
      32 David dit à Saül : « Que personne ne se décourage à cause de ce Philistin ! Moi, ton serviteur, j’irai me battre contre lui. »
      33 Saül dit à David : « Tu ne peux pas aller te battre contre ce Philistin. Tu n’es qu’un enfant, alors que lui, il est un homme de guerre depuis sa jeunesse. »
      34 David dit à Saül : « Ton serviteur gardait les brebis de son père. Quand un lion ou un ours venait pour en enlever une du troupeau,
      35 je courais après lui, je le frappais et j'arrachais la brebis de sa gueule. S'il m’attaquait, je l’attrapais par la gorge, je le frappais et je le tuais.
      36 C'est ainsi que ton serviteur a frappé le lion et l'ours, et ce sera aussi le sort du Philistin, de cet incirconcis, car il a insulté l'armée du Dieu vivant. »
      37 David ajouta : « L'Eternel m'a délivré de la griffe du lion et de la patte de l'ours, et il me délivrera aussi de ce Philistin. » Saül dit à David : « Vas-y donc et que l'Eternel soit avec toi ! »
      38 Saül fit enfiler sa tenue à David. Il plaça sur sa tête un casque en bronze et le revêtit d’une cuirasse.
      39 David mit l'épée de Saül par-dessus ses habits et voulut marcher, car il n'avait encore jamais essayé, mais il dit à Saül : « Je ne peux pas marcher avec cette armure, je n'y suis pas habitué. » Et il s'en débarrassa.
      40 Il prit en main son bâton, puis il choisit dans le torrent cinq pierres lisses et les mit dans sa gibecière de berger et dans sa poche. Enfin, sa fronde à la main, il s'avança contre le Philistin.
      41 Le Philistin s'approcha peu à peu de David, et l'homme qui portait son bouclier marchait devant lui.
      42 Le Philistin regarda David et, lorsqu'il l’aperçut, il le méprisa, car il ne vit en lui qu'un enfant roux à la belle apparence.
      43 Le Philistin dit à David : « Suis-je un chien, pour que tu viennes à moi avec des bâtons ? » Après l'avoir maudit par ses dieux,
      44 il ajouta : « Viens vers moi, que je donne ta chair à manger aux oiseaux du ciel et aux bêtes des champs ! »
      45 David dit au Philistin : « Tu marches contre moi avec l'épée, la lance et le javelot ; moi, je marche contre toi au nom de l'Eternel, le maître de l’univers, au nom du Dieu de l'armée d'Israël que tu as insultée.
      46 Aujourd'hui l'Eternel va te livrer entre mes mains. Je t'abattrai et je te couperai la tête. Aujourd'hui je vais donner les cadavres du camp des Philistins aux oiseaux du ciel et aux bêtes sauvages. Toute la terre saura alors qu'Israël a un Dieu,
      47 et toute cette assemblée saura que ce n'est ni par l'épée ni par la lance que l'Eternel sauve. En effet, la victoire appartient à l'Eternel et il vous livre entre nos mains. »
      48 Dès que le Philistin se mit à marcher vers lui, David courut sur le champ de bataille à sa rencontre.
      49 Il porta la main à sa gibecière, y prit une pierre et la lança avec sa fronde. Il frappa le Philistin au front et la pierre s'y enfonça. Le Philistin tomba le visage contre terre.
      50 Ainsi, avec une fronde et une pierre, David fut plus fort que le Philistin ; il le frappa et le mit à mort sans avoir d'épée à la main.
      51 Il courut, s'arrêta près du Philistin et prit son épée en la tirant du fourreau. Il l’acheva et lui coupa la tête. Voyant que leur héros était mort, les Philistins prirent la fuite.
      52 Les hommes d'Israël et de Juda se levèrent, poussèrent des cris et les poursuivirent jusque dans la vallée et jusqu'aux portes d'Ekron. Les Philistins blessés à mort tombèrent sur le chemin de Shaaraïm jusqu'à Gath et Ekron.
      53 Les Israélites mirent fin à leur poursuite et revinrent piller le camp.
      54 David prit la tête du Philistin et l’amena à Jérusalem, et il déposa dans sa tente les armes du Philistin.
      55 Lorsque Saül avait vu David marcher à la rencontre du Philistin, il avait dit à Abner, le chef de l'armée : « De qui ce jeune homme est-il le fils, Abner ? » Abner avait répondu : « Aussi vrai que ton âme est vivante, roi, je l'ignore. »
      56 « Informe-toi donc pour savoir de qui ce jeune homme est le fils », avait dit le roi.
      57 Quand David fut de retour après avoir tué le Philistin, Abner le prit et le conduisit devant Saül. David tenait à la main la tête du Philistin.
      58 Saül lui dit : « De qui es-tu le fils, jeune homme ? » Et David répondit : « Je suis le fils de ton serviteur Isaï, le Bethléhémite. »

      Lamentations 2

      1 Comment ! A cause de sa colère, le Seigneur maintient de sombres nuages sur la fille de Sion ! Il a précipité du ciel sur la terre la fierté d'Israël ! Il ne s'est pas souvenu de son marchepied, le jour de sa colère !
      2 Le Seigneur a englouti sans pitié tous les domaines de Jacob. Dans sa fureur, il a démoli les forteresses de la fille de Juda, il les a précipitées par terre. Il a profané le royaume et ses chefs.
      3 Dans son ardente colère, il a abattu toute la force d'Israël. Il a retiré sa main droite en présence de l'ennemi. Il a allumé en Jacob comme un feu dont les flammes dévorent tout ce qui l’entoure.
      4 Il a tendu son arc comme un ennemi, sa main droite s'est dressée comme celle d'un assaillant. Il a fait disparaître tout ce qui plaisait aux regards, il a déversé sa fureur comme un feu sur la tente de la fille de Sion.
      5 Le Seigneur a été comme un ennemi : il a englouti Israël, il a englouti tous ses palais, il a détruit ses forteresses. Il a rempli la fille de Juda de plaintes et de gémissements.
      6 Il est passé en force, comme on force la clôture d’un jardin, il a détruit son lieu de rencontre. L'Eternel a fait oublier dans Sion les fêtes et les sabbats et, dans sa violente colère, il a rejeté le roi et le prêtre.
      7 Le Seigneur a repoussé son autel, détesté son sanctuaire. Il a livré entre les mains de l'ennemi les murs des palais de Sion. Des cris ont retenti dans la maison de l'Eternel, comme un jour de fête.
      8 L'Eternel avait projeté de détruire les murs de la fille de Sion. Il a étendu le ruban à mesurer, il n'a pas retiré sa main pour l’empêcher de tout engloutir. Il a plongé dans le deuil remparts et murailles : ensemble ils dépérissent.
      9 Ses portes se sont enfoncées dans la terre, il a démoli et brisé ses verrous. Son roi et ses chefs sont dispersés parmi les nations. Il n'y a plus de loi. Même ses prophètes ne reçoivent plus aucune vision de l'Eternel.
      10 Les anciens de la fille de Sion sont assis par terre, ils restent silencieux ; ils ont couvert leur tête de poussière, ils se sont habillés de sacs. Les jeunes filles de Jérusalem baissent la tête vers la terre.
      11 Mes yeux s’épuisent dans les larmes, je suis profondément tourmenté, ma bile se déverse par terre à cause du désastre qui frappe la fille de mon peuple. Des enfants et des nourrissons tombaient en défaillance sur les places de la ville.
      12 Ils disaient à leur mère : « Où y a-t-il du blé et du vin ? » tandis qu’ils tombaient en défaillance comme des blessés dans les rues de la ville, qu’ils rendaient l'âme sur la poitrine de leur mère.
      13 Que dois-je te dire ? A quoi te comparer, fille de Jérusalem ? Quel exemple te donner pour te consoler, vierge, fille de Sion ? En effet, ton désastre est aussi grand que la mer. Qui pourra te guérir ?
      14 Tes prophètes ont eu pour toi des visions sans valeur ni saveur ; ils n'ont pas dévoilé ta faute afin de changer ton sort. Ils t'ont communiqué des messages mensongers et trompeurs.
      15 Tous les passants applaudissent en te voyant. Ils sifflent, ils secouent leur tête au sujet de la fille de Jérusalem : « Est-ce bien la ville que l’on présentait comme une beauté parfaite, la joie de toute la terre ? »
      16 Tous tes ennemis ouvrent la bouche contre toi, ils sifflent, ils grincent des dents. Ils disent : « Nous l'avons engloutie ! C'est bien le jour que nous attendions. Nous l'avons atteint, nous le voyons ! »
      17 L'Eternel a mis en œuvre ce qu'il avait décidé. Il a accompli sa parole, celle qu'il avait depuis longtemps ordonnée. Il a démoli sans pitié, il a fait de toi la joie de l'ennemi, il a relevé la force de tes adversaires.
      18 Le cœur des vaincus crie vers le Seigneur. Muraille de la fille de Sion, laisse couler tes larmes jour et nuit, comme un torrent ! Ne te donne aucun répit et que ton œil n'ait pas de repos !
      19 Lève-toi, crie ta détresse dans la nuit, au début de tes insomnies ! Déverse ton cœur comme de l'eau devant le Seigneur ! Lève tes mains vers lui pour la vie de tes enfants qui meurent de faim à tous les coins de rue !
      20 « Vois, Eternel ! Regarde qui tu as traité de cette manière ! Fallait-il que des femmes dévorent ceux qu’elles ont mis au monde, les petits enfants dont elles ont pris soin avec tendresse ? Fallait-il que prêtres et prophètes soient massacrés dans le sanctuaire du Seigneur ?
      21 Les enfants et les vieillards sont couchés par terre dans les rues, mes jeunes filles et mes jeunes hommes sont tombés sous les coups d'épée. Tu les as tués, le jour de ta colère, tu les as massacrés sans pitié.
      22 Tu convoques comme pour un jour de fête ceux qui me terrorisent de tous côtés. Le jour de la colère de l’Eternel, il n'y a eu ni rescapé ni survivant. Ceux dont j’avais pris soin avec tendresse et que j’avais élevés, mon ennemi les a exterminés. »

      Romains 15

      1 Nous qui sommes forts, nous avons le devoir de supporter les faiblesses de ceux qui ne le sont pas et de ne pas rechercher ce qui nous plaît.
      2 Que chacun de nous cherche à plaire à son prochain pour son bien, en vue de le faire grandir dans la foi.
      3 En effet, Christ n'a pas recherché ce qui lui plaisait, mais, comme il est écrit, les injures de ceux qui t'insultent sont tombées sur moi.
      4 Or tout ce qui a été écrit d'avance l'a été pour notre instruction afin que, par la persévérance et par le réconfort que donnent les Ecritures, nous possédions l'espérance.
      5 Que le Dieu de la persévérance et du réconfort vous donne de vivre en plein accord les uns avec les autres comme le veut Jésus-Christ,
      6 afin que tous ensemble, d'une seule voix, vous rendiez gloire au Dieu et Père de notre Seigneur Jésus-Christ.
      7 Accueillez-vous donc les uns les autres comme Christ vous a accueillis, pour la gloire de Dieu.
      8 J’affirme [en effet] que [Jésus-]Christ est devenu le serviteur des circoncis pour prouver que Dieu est vrai en confirmant les promesses faites à leurs ancêtres.
      9 Quant aux non-Juifs, ils célèbrent Dieu à cause de sa bonté, comme le dit l’Ecriture : C'est pourquoi je te louerai parmi les nations et je chanterai à la gloire de ton nom.
      10 Il est dit encore : Nations, réjouissez-vous avec son peuple !
      11 et encore : Louez le Seigneur, vous toutes les nations, célébrez-le, vous tous les peuples !
      12 Esaïe dit aussi : Il paraîtra, le rejeton d'Isaï, il se lèvera pour régner sur les nations ; les nations espéreront en lui.
      13 Que le Dieu de l'espérance vous remplisse de toute joie et de toute paix dans la foi, pour que vous débordiez d’espérance, par la puissance du Saint-Esprit !
      14 En ce qui vous concerne, mes frères et sœurs, je suis personnellement convaincu que vous êtes pleins de bonnes dispositions, remplis de toute connaissance et capables de vous avertir les uns les autres.
      15 Cependant, [frères et sœurs, ] c’est avec une certaine audace que je vous ai écrit par endroits, comme pour réveiller vos souvenirs, et cela à cause de la grâce que Dieu m'a faite
      16 d'être serviteur de Jésus-Christ pour les non-Juifs. Je m'acquitte ainsi du service sacré de la prédication de l'Evangile de Dieu afin que les non-Juifs soient une offrande agréable, devenue sainte par l’action de l'Esprit saint.
      17 Je peux donc me montrer fier en Jésus-Christ de l'œuvre de Dieu.
      18 En effet, je n'oserais rien mentionner si Christ ne l’avait pas accompli par moi pour amener les non-Juifs à l'obéissance par la parole et par les actes,
      19 par la puissance des signes et des prodiges et par la puissance de l'Esprit de Dieu. Ainsi, depuis Jérusalem et en rayonnant jusqu'en Illyrie, j'ai abondamment propagé l'Evangile de Christ.
      20 Je me suis fait un point d'honneur d'annoncer l'Evangile là où Christ n'avait pas été annoncé, afin de ne pas construire sur les fondations posées par un autre, mais comme il est écrit :
      21 Ceux à qui il n'avait pas été annoncé verront, et ceux qui n'en avaient pas entendu parler comprendront.
      22 C'est aussi ce qui m'a souvent empêché d'aller chez vous.
      23 Mais maintenant, comme je n'ai plus rien qui me retienne dans ces régions et que, depuis bien des années, j'ai le vif désir de vous rendre visite,
      24 [je le ferai] quand je me rendrai en Espagne. J'espère en effet vous voir en passant et recevoir votre aide pour me rendre là-bas une fois que j'aurai satisfait, du moins en partie, mon désir d'être avec vous.
      25 Maintenant je vais à Jérusalem pour servir les saints.
      26 En effet, les Eglises de la Macédoine et l'Achaïe ont bien voulu organiser une collecte en faveur de ceux qui sont pauvres parmi les saints de Jérusalem.
      27 Elles l'ont bien voulu et elles le leur devaient, car si les non-Juifs ont eu part aux avantages spirituels des Juifs, ils doivent aussi les assister dans leurs besoins matériels.
      28 Dès que j'aurai réglé cette affaire et que je leur aurai remis ces dons, je partirai pour l'Espagne et je passerai chez vous.
      29 Je sais qu'en venant vous rendre visite, c'est avec une pleine bénédiction de [l'Evangile de] Christ que je le ferai.
      30 Je vous en supplie, frères et sœurs, par notre Seigneur Jésus-Christ et par l'amour de l'Esprit, combattez avec moi en adressant à Dieu des prières en ma faveur.
      31 Priez afin que je sois protégé des incrédules de la Judée et que l’aide que j'apporte à Jérusalem soit bien accueillie par les saints.
      32 Ainsi je pourrai venir chez vous dans la joie, si c'est la volonté de Dieu, et trouver un peu de repos au milieu de vous.
      33 Que le Dieu de la paix soit avec vous tous ! Amen !
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