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La Bible en 1 an - Jour 290

Sommaire

Ben-Hadad, roi de Syrie, mobilisa toute son armée et, assisté de trente-deux rois alliés, de chevaux et de chars de guerre, il alla assiéger la ville de Samarie et se prépara à lui donner l’assaut.

Avant cela, il envoya dans la ville des messagers à Achab, le roi d’Israël :

Il lui fit dire : —Voici un message de la part de Ben-Hadad : « Livre-moi ton argent et ton or, ainsi que tes femmes et les plus vigoureux de tes fils. »

Le roi d’Israël répondit : —A tes ordres, mon seigneur le roi, je me livre à toi avec tout ce qui m’appartient.

Les messagers vinrent de nouveau et dirent : —Voici un message de la part de Ben-Hadad : « Je t’ai envoyé l’ordre de me livrer ton argent et ton or, tes femmes et tes fils.

J’enverrai donc demain à cette heure-ci mes officiers chez toi ; ils fouilleront ta maison et celles de tes hauts fonctionnaires, ils prendront tout ce qui a de la valeur à tes yeux et l’emporteront. »

Alors le roi d’Israël convoqua tous les responsables du pays et leur dit : —Vous pouvez constater que cet homme nous veut du mal, car il m’a fait réclamer mes femmes et mes fils, mon argent et mon or, et je ne lui avais rien refusé !

Tous les responsables et tout le peuple dirent à Achab : —Ne l’écoute pas ! N’accepte pas !

Alors Achab répondit aux messagers de Ben-Hadad : —Dites à mon seigneur le roi : « Je ferai tout ce que tu as fait demander à ton serviteur la première fois, mais je ne puis céder à tes nouvelles exigences. » Les messagers allèrent rapporter cette réponse à leur maître.

Alors Ben-Hadad envoya ce message au roi Achab : —Que les dieux me punissent très sévèrement, si je laisse subsister de Samarie assez de poussière pour remplir les mains de tous les guerriers qui me suivent.

Mais le roi d’Israël dit aux messagers : —Allez donc lui dire : « Que celui qui part au combat ne se vante pas comme celui qui en revient ! »

Lorsque Ben-Hadad entendit cette réponse, il était en train de boire avec les rois alliés sous les tentes. Il commanda à ses officiers : —En position pour l’attaque ! Et ils disposèrent leurs troupes pour donner l’assaut à la ville.

A ce moment, un prophète vint trouver Achab, le roi d’Israël, et lui dit : —Voici ce que déclare l’Eternel : « As-tu vu cette immense armée ? Je vais la livrer aujourd’hui en ton pouvoir, ainsi tu sauras que je suis l’Eternel. »

Achab demanda : —Par qui l’Eternel la livrera-t-il ? Il répondit : —Voici ce que déclare l’Eternel : « Je la livrerai par les jeunes recrues des chefs des provinces. » Achab demanda encore : —Et qui devra engager le combat ? Le prophète répondit : —C’est toi.

Alors Achab passa en revue les jeunes recrues des chefs des provinces, et il s’en trouva 232. Puis il recensa aussi toute l’armée des Israélites, et ils étaient sept mille.

Ils firent une sortie à midi : Ben-Hadad était en train de s’enivrer sous les tentes avec les trente-deux rois venus à son aide.

Les jeunes recrues des chefs des provinces sortirent les premiers. Ben-Hadad envoya des hommes voir ce qui se passait. On lui fit ce rapport : —Des hommes sont sortis de Samarie.

—Que ce soit pour demander la paix ou au contraire pour nous attaquer qu’ils sont sortis, amenez-les-moi vivants !

Les recrues et l’armée qui les suivait sortirent de la ville.

Chacun s’acharna contre un adversaire et l’abattit, si bien que les Syriens prirent la fuite. Les Israélites se lancèrent à leur poursuite. Ben-Hadad, le roi de Syrie, se sauva sur un cheval avec d’autres cavaliers.

Le roi d’Israël lança le gros de ses troupes et extermina les chevaux et les chars ennemis. Il fit subir une grande défaite aux Syriens.

Alors le prophète vint trouver le roi d’Israël et lui dit : —Va de l’avant avec courage, fortifie tes positions, examine et réfléchis à ce que tu dois faire, car l’année prochaine à la même époque, le roi de Syrie reviendra t’attaquer.

Les ministres du roi de Syrie lui dirent : —Leur Dieu est un Dieu des montagnes, c’est pourquoi ils nous ont vaincus. Attaquons-les en plaine et, sûrement, nous l’emporterons sur eux.

Voici donc ce que tu devrais faire. Destitue tous ces rois de leurs postes et remplace-les par des gouverneurs.

Ensuite, recrute une armée aussi nombreuse que celle que tu as perdue, avec autant de chevaux et de chars. Puis nous les combattrons dans la plaine et, certainement, nous les vaincrons. Ben-Hadad suivit leur conseil et fit tout ce qu’ils lui avaient proposé.

L’année suivante, à la même époque, il passa les Syriens en revue et s’avança jusqu’à la ville d’Apheq pour attaquer Israël.

De leur côté, les Israélites furent aussi passés en revue et, pourvus de ravitaillement, ils se préparèrent à les affronter. Ils établirent leur camp en face d’eux, mais leurs troupes ressemblaient à deux petits troupeaux de chèvres, alors que les Syriens couvraient toute la plaine.

Alors l’homme de Dieu vint trouver le roi d’Israël et lui dit : —Voici ce que déclare l’Eternel : « Les Syriens prétendent que je suis un Dieu des montagnes et non pas un Dieu des plaines. A cause de cela, je livrerai toute cette immense multitude en ton pouvoir. Ainsi vous saurez que je suis l’Eternel. »

Pendant sept jours, les deux armées campèrent l’une en face de l’autre. Le septième jour, la bataille s’engagea, et les Israélites tuèrent cent mille fantassins syriens en un seul jour.

Les survivants s’enfuirent à la ville d’Apheq où le rempart s’écroula sur vingt-sept mille rescapés. Ben-Hadad s’était enfui et réfugié dans la ville et il s’y cachait en passant de chambre en chambre.

Les ministres lui dirent : —Ecoute, nous avons entendu dire que les rois d’Israël sont des rois pleins de bienveillance. Permets-nous de nous revêtir des habits de toile de sac et d’entourer nos têtes de cordes. Nous nous rendrons au roi d’Israël, et peut-être te laissera-t-il la vie sauve.

Ils revêtirent donc des habits de toile de sac et mirent des cordes autour de leurs têtes, puis ils se rendirent chez le roi d’Israël et lui dirent : —Ton serviteur Ben-Hadad te fait dire : « Laisse-moi la vie sauve ! » Achab leur demanda : —Il est donc encore vivant ? Eh bien, il sera mon allié.

Ces hommes prirent cette parole comme un signe favorable et s’empressèrent de prendre Achab au mot. —Oui, lui dirent-ils, Ben-Hadad sera ton allié ! Achab ordonna : —Allez le chercher ! Ben-Hadad sortit de sa cachette et vint se présenter à lui. Achab le fit monter sur son char.

Ben-Hadad lui dit : —Je te restituerai les villes que mon père a prises à ton père, et tu pourras établir des comptoirs à Damas, comme mon père en avait installés à Samarie. —Et moi, reprit Achab, je te rendrai la liberté et je conclurai une alliance avec toi. Il conclut donc une alliance avec lui et le laissa repartir libre.

Sur ordre de l’Eternel, l’un des disciples des prophètes demanda à son compagnon de le frapper. Mais cet homme refusa de le frapper.

—Eh bien, lui dit le premier, puisque tu n’as pas obéi à l’ordre de l’Eternel, un lion t’attaquera et te frappera lorsque tu m’auras quitté. En effet, quand il l’eut quitté, un lion se jeta sur lui et le frappa.

Le premier alla trouver un autre homme et lui adressa la même demande. Cet homme le frappa et le blessa.

Alors le prophète, après s’être rendu méconnaissable en se mettant un bandeau sur les yeux, alla se poster sur le chemin que le roi devait prendre.

Lorsque le roi passa, il lui cria : —Ton serviteur a pris part au combat. Pendant la bataille, un homme a quitté les rangs et m’a amené un prisonnier en disant : « Surveille-moi cet homme, si tu le laisses s’échapper, tu prendras sa place, ou bien tu devras me verser trois mille pièces d’argent ! »

Or, pendant que j’étais occupé ça et là, le prisonnier a disparu. Le roi d’Israël lui dit : —Tu as prononcé toi-même le verdict !

Aussitôt le prophète enleva le bandeau qui lui masquait les yeux, et le roi d’Israël reconnut que c’était un des disciples des prophètes.

Il dit alors au roi : —Voici ce que déclare l’Eternel : Tu as laissé échapper d’entre tes mains l’homme que je m’étais *voué. C’est pourquoi tu prendras sa place et ton peuple périra à la place du sien.

Le roi d’Israël rentra chez lui maussade et abattu. C’est ainsi qu’il regagna Samarie.

La seconde année du règne de Nabuchodonosor, le roi fit un rêve qui le troubla au point qu’il en perdit le sommeil.

Il ordonna de convoquer les mages, les magiciens, les devins et les astrologues pour qu’ils lui révèlent ses rêves. Ils vinrent et se tinrent devant le roi.

Celui-ci leur dit : —J’ai fait un rêve et mon esprit est tourmenté par le désir de savoir ce que c’était.

Les astrologues dirent au roi en langue araméenne : —Que le roi vive éternellement ! Raconte le rêve à tes serviteurs, et nous t’en donnerons l’interprétation.

Le roi répondit aux astrologues : —Ma décision est ferme : si vous ne me révélez pas le contenu du rêve et son interprétation, vous serez mis en pièces et vos maisons seront réduites en tas de décombres.

Mais si vous me les révélez, je vous comblerai de cadeaux, de dons et de grands honneurs. Exposez-moi donc mon rêve et ce qu’il signifie.

Ils dirent pour la seconde fois au roi : —Que Sa Majesté raconte le rêve à ses serviteurs, et nous lui en donnerons l’interprétation.

Le roi rétorqua : —Je vois ce qu’il en est : il est clair que vous cherchez à gagner du temps parce que vous avez compris que ma décision est fermement arrêtée.

Si vous ne me faites pas connaître le rêve, une seule et même sentence vous frappera. Vous vous êtes mis d’accord pour me débiter quelque discours mensonger et trompeur en espérant qu’avec le temps la situation changera. C’est pourquoi, dites-moi ce que j’ai rêvé et je saurai que vous êtes aussi capables de m’en donner l’interprétation.

Les astrologues reprirent la parole devant le roi et dirent : —Il n’est personne au monde qui puisse faire connaître à Sa Majesté ce qu’elle demande. Aussi, jamais roi, si grand et si puissant qu’il ait été, n’a exigé pareille chose d’aucun mage, magicien ou astrologue.

Ce que le roi demande est trop difficile et il n’y a personne qui soit capable de révéler cette chose au roi, excepté les dieux, mais eux, ils n’habitent pas parmi les mortels.

Là-dessus le roi s’irrita et entra dans une colère violente. Il ordonna de mettre à mort tous les sages de Babylone.

Lorsque le décret de tuer les sages fut publié, on rechercha aussi Daniel et ses compagnons pour les mettre à mort.

Alors Daniel s’adressa avec sagesse et tact à Aryok, le chef des bourreaux du roi, qui s’apprêtait à tuer les sages de Babylone.

Il demanda à Aryok, l’officier du roi : —Pourquoi le roi a-t-il promulgué une si terrible sentence ? Alors Aryok lui exposa l’affaire.

Daniel se rendit auprès du roi et le pria de lui accorder un délai, en lui disant qu’il lui ferait alors connaître l’interprétation demandée.

Puis il rentra chez lui et informa ses compagnons Hanania, Michaël et Azaria de ce qui s’était passé,

en leur demandant de supplier le Dieu des cieux que, dans sa grâce, il leur révèle ce secret afin qu’on ne le fasse pas périr, ses compagnons et lui, avec le reste des sages de Babylone.

Au cours de la nuit, dans une vision, le secret fut révélé à Daniel. Alors celui-ci loua le Dieu des cieux :

Il dit : « Loué soit Dieu dès maintenant et à toujours,

car à lui appartiennent la sagesse et la force. Il fait changer les temps et modifie les circonstances, il renverse les rois et élève les rois, il donne la sagesse aux sages et, à ceux qui savent comprendre, il accorde la connaissance.

Il dévoile des choses profondes et secrètes, il sait ce qu’il y a dans les ténèbres, et la lumière brille auprès de lui.

C’est toi, Dieu de mes pères, que je célèbre et que je loue, tu m’as rempli de sagesse et de force et tu m’as fait connaître ce que nous t’avons demandé, tu nous as révélé ce que le roi demande. »

Après cela, Daniel alla trouver Aryok, que le roi avait chargé de faire périr les sages de Babylone et il lui dit : —Ne fais pas mourir les sages de Babylone. Introduis-moi en présence du roi et je lui révélerai l’interprétation de son rêve.

Alors Aryok s’empressa d’introduire Daniel auprès du roi et dit à celui-ci : —J’ai trouvé parmi les déportés de Juda un homme qui donnera à Sa Majesté l’interprétation de son rêve.

Le roi s’adressa à Daniel, surnommé Beltchatsar, et lui demanda : —Es-tu vraiment capable de me révéler le rêve que j’ai eu et de m’en donner l’interprétation ?

Daniel s’adressa au roi et lui dit : —Le secret que Sa Majesté demande, aucun sage, aucun magicien, aucun mage, aucun enchanteur n’est capable de le lui faire connaître.

Mais il y a, dans le ciel, un Dieu qui révèle les secrets ; et il a fait savoir au roi Nabuchodonosor ce qui doit arriver dans les temps à venir. Eh bien, voici ce que tu as rêvé et quelles sont les visions que tu as eues sur ton lit :

pendant que tu étais couché, ô roi, tu t’es mis à penser à l’avenir. Alors celui qui révèle les secrets t’a fait connaître ce qui doit arriver.

Quant à moi, ce n’est pas parce que je posséderais une sagesse supérieure à celle de tous les autres hommes que ce secret m’a été révélé, mais c’est afin que l’interprétation en soit donnée au roi et que tu comprennes ce qui préoccupe ton cœur.

Voici donc, ô roi, la vision que tu as eue : tu as vu une grande statue. Cette statue était immense, et d’une beauté éblouissante. Elle était dressée devant toi et son aspect était terrifiant.

La tête de cette statue était en or pur, la poitrine et les bras en argent, le ventre et les hanches en bronze,

les jambes en fer, les pieds partiellement en fer et partiellement en argile.

Pendant que tu étais plongé dans ta contemplation, une pierre se détacha sans l’intervention d’aucune main, vint heurter la statue au niveau de ses pieds de fer et d’argile, et les pulvérisa.

Du même coup furent réduits ensemble en poussière le fer, l’argile, le bronze, l’argent et l’or, et ils devinrent comme la bale de blé qui s’envole de l’aire durant la moisson ; le vent les emporta sans en laisser la moindre trace. Quant à la pierre qui avait heurté la statue, elle devint une immense montagne et remplit toute la terre.

Voilà ton rêve. Quant à ce qu’il signifie, nous allons l’exposer au roi.

Toi, ô roi, tu es le roi des rois, à qui le Dieu des cieux a donné la royauté, la puissance, la force et la gloire.

Dieu a placé sous ton autorité les hommes, les bêtes sauvages et les oiseaux en quelque lieu qu’ils habitent. Il t’a donné la domination sur eux tous. C’est toi qui es la tête d’or.

Après toi surgira un autre empire, moins puissant que le tien, puis un troisième représenté par le bronze, qui dominera toute la terre.

Un quatrième royaume lui succédera, il sera dur comme le fer ; comme le fer pulvérise et écrase tout et le met en pièces, ainsi il pulvérisera et mettra en pièces tous les autres royaumes.

Et si tu as vu les pieds et les orteils partiellement en argile et partiellement en fer, cela signifie que ce sera un royaume divisé ; il y aura en lui quelque chose de la dureté du fer, selon que tu as vu le fer mêlé à la terre cuite.

Mais comme les orteils des pieds étaient en partie de fer et en partie d’argile, ce royaume sera en partie fort et en partie fragile.

Que tu aies vu le fer mêlé de terre cuite, cela signifie que les hommes chercheront à s’unir par des alliances, mais ils ne tiendront pas ensemble, pas plus que le fer ne tient à l’argile.

A l’époque de ces rois-là, le Dieu des cieux suscitera un royaume qui ne sera jamais détruit et dont la souveraineté ne passera pas à un autre peuple ; il pulvérisera tous ces royaumes-là et mettra un terme à leur existence, mais lui-même subsistera éternellement.

C’est ce que représente la pierre que tu as vue se détacher de la montagne sans l’intervention d’aucune main humaine pour venir pulvériser le fer, le bronze, l’argile, l’argent et l’or. Le grand Dieu a révélé au roi ce qui arrivera dans l’avenir. Ce qu’annonce le rêve est chose certaine, et son interprétation est authentique.

Alors le roi Nabuchodonosor se jeta la face contre terre et se prosterna devant Daniel, il ordonna de lui offrir des offrandes et des parfums.

Puis il lui déclara : —Il est bien vrai que votre Dieu est le Dieu des dieux, le souverain des rois et celui qui révèle les secrets, puisque tu as pu me dévoiler ce secret.

Le roi éleva Daniel à une haute position et lui donna de nombreux et riches présents ; il le nomma gouverneur de toute la province de Babylone et l’institua chef suprême de tous les sages de Babylone.

A la demande de Daniel, le roi confia l’administration de la province de Babylone à Chadrak, Méchak et Abed-Nego, et Daniel lui-même demeura à la cour du roi.

C’est pourquoi, nous n’avons plus supporté d’attendre davantage et nous avons préféré rester seuls à Athènes.

Nous vous avons envoyé notre frère *Timothée, qui collabore avec nous au service de Dieu dans l’annonce de la Bonne Nouvelle du Christ. Nous l’avons chargé de vous affermir et de vous encourager dans votre foi,

afin que personne ne vienne à vaciller dans les détresses par lesquelles vous passez. Vous savez vous-mêmes qu’elles font partie de notre lot.

Lorsque nous étions parmi vous, nous vous avions prévenus que nous aurions à souffrir de nombreuses détresses. Et c’est ce qui est arrivé, vous le savez bien.

Ainsi, ne pouvant supporter d’attendre davantage, j’ai envoyé Timothée pour prendre des nouvelles de votre foi. Je craignais que le Tentateur ne vous ait éprouvés au point de réduire à néant tout notre travail.

Mais voici que Timothée vient de nous arriver de chez vous, il nous a rapporté de bonnes nouvelles de votre foi et de votre amour. Il nous a dit en particulier que vous conservez toujours un bon souvenir de nous et que vous désirez nous revoir autant que nous désirons vous revoir.

Aussi, frères, au milieu de nos angoisses et de nos détresses, vous nous avez réconfortés par la réalité de votre foi.

Oui, maintenant, nous nous sentons revivre, puisque vous tenez bon dans votre vie avec le Seigneur.

Comment, en réponse, pourrions-nous assez remercier notre Dieu pour vous, pour toute la joie que vous nous donnez devant lui ?

C’est pourquoi, nuit et jour, nous lui demandons avec instance de nous accorder de vous revoir et de compléter ce qui manque à votre foi.

Que Dieu notre Père lui-même et notre Seigneur Jésus aplanissent notre chemin jusqu’à vous.

Que le Seigneur vous remplisse, jusqu’à en déborder, d’amour les uns pour les autres et envers tous les hommes, à l’exemple de l’amour que nous vous portons.

Qu’il affermisse ainsi vos cœurs pour que vous soyez saints et irréprochables devant Dieu notre Père au jour où notre Seigneur Jésus-Christ viendra avec tous ses *anges.


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      1 Rois 20

      1 Ben-Hadad, le roi de Syrie, rassembla toute son armée. Il avait avec lui 32 rois, ainsi que des chevaux et des chars. Il monta, installa le siège devant Samarie et l'attaqua.
      2 Il envoya dans la ville des messagers à Achab, le roi d'Israël,
      3 pour lui annoncer : « Voici ce que dit Ben-Hadad : ‘Ton argent et ton or sont ma propriété, tes femmes et tes plus beaux enfants m’appartiennent.’ »
      4 Le roi d'Israël répondit : « Comme tu le dis, mon seigneur le roi, je t’appartiens avec tout ce que j'ai. »
      5 Les messagers revinrent annoncer : « Voici ce que dit Ben-Hadad : ‘Je t'ai fait ordonner de me livrer ton argent et ton or, tes femmes et tes enfants.
      6 J'enverrai donc demain, à la même heure, mes serviteurs chez toi. Ils fouilleront ta maison et celles de tes serviteurs, ils mettront la main sur tout ce que tu as de précieux et l'emporteront.’ »
      7 Le roi d'Israël appela tous les anciens du pays et leur dit : « Sachez bien et comprenez que cet homme nous veut du mal. En effet, il m'a déjà réclamé mes femmes et mes enfants, mon argent et mon or, et je ne lui ai rien refusé ! »
      8 Tous les anciens et tout le peuple dirent à Achab : « Ne l'écoute pas et ne cède pas. »
      9 Achab dit alors aux messagers de Ben-Hadad : « Dites à mon seigneur le roi : ‘Je ferai tout ce que tu as réclamé à ton serviteur la première fois. Toutefois, cela, je ne peux pas le faire.’ » Les messagers s'en allèrent et rapportèrent cette réponse.
      10 Ben-Hadad envoya dire à Achab : « Que les dieux me traitent avec la plus grande sévérité, si la poussière des décombres de Samarie suffit pour remplir le creux de la main de toute l’armée qui me suit ! »
      11 Le roi d'Israël répondit : « Celui qui endosse une armure pour aller au combat ne doit pas se vanter comme s’il la déposait après avoir combattu ! »
      12 Lorsque Ben-Hadad reçut cette réponse, il était en train de boire avec les rois sous les tentes et il dit à ses serviteurs : « Faites vos préparatifs ! » Ils firent alors leurs préparatifs contre la ville.
      13 Mais voici qu’un prophète s'approcha d'Achab, le roi d'Israël, et annonça : « Voici ce que dit l'Eternel : Vois-tu toute cette grande foule ? Je vais la livrer aujourd'hui entre tes mains et tu sauras que je suis l'Eternel. »
      14 Achab dit : « Grâce à qui ? » Il répondit : « Voici ce que dit l'Eternel : Ce sera grâce aux serviteurs des chefs de district. » Achab demanda : « Qui doit engager le combat ? » Il répondit : « Toi. »
      15 Alors Achab passa en revue les serviteurs des chefs de district et il en trouva 232. Après eux, il passa en revue tout le peuple, l’ensemble des Israélites, et ils étaient 7000.
      16 Ils firent une sortie à midi, alors que Ben-Hadad buvait et s'enivrait sous les tentes avec les 32 rois qui étaient venus à son aide.
      17 Les serviteurs des chefs de district sortirent les premiers. Ben-Hadad envoya des espions et on lui rapporta : « Des hommes sont sortis de Samarie. »
      18 Il dit : « Qu'ils sortent pour demander la paix ou pour combattre, capturez-les vivants ! »
      19 Lorsque les serviteurs des chefs de district et l'armée qui les suivait furent sortis de la ville,
      20 ils combattirent au corps à corps et les Syriens prirent la fuite. Israël les poursuivit et Ben-Hadad, le roi de Syrie, se sauva sur un cheval avec des cavaliers.
      21 Le roi d'Israël sortit, frappa les chevaux et les chars et infligea une grande défaite aux Syriens.
      22 Alors le prophète s'approcha du roi d'Israël et lui dit : « Vas-y, fortifie-toi, examine la situation et vois ce que tu as à faire. En effet, l'année prochaine, le roi de Syrie montera t’attaquer. »
      23 Les serviteurs du roi de Syrie dirent à leur seigneur : « Le dieu des Israélites est un dieu des montagnes. Voilà pourquoi ils ont été plus forts que nous. Mais combattons-les dans la plaine, et l'on verra si nous ne serons pas plus forts qu'eux.
      24 Fais encore ceci : retire chacun des rois de son poste et remplace-les par des gouverneurs.
      25 Forme-toi une armée pareille à celle que tu as perdue, avec autant de chevaux et de chars. Ensuite, nous les combattrons dans la plaine et l'on verra si nous ne serons pas plus forts qu'eux. » Le roi les écouta et agit de cette manière.
      26 L'année suivante, Ben-Hadad passa les Syriens en revue et monta vers Aphek pour combattre Israël.
      27 Les Israélites furent aussi passés en revue. Ils reçurent des vivres et marchèrent à la rencontre des Syriens. Ils campèrent vis-à-vis d'eux, pareils à deux petits troupeaux de chèvres, alors que les Syriens remplissaient le pays.
      28 L'homme de Dieu s'approcha et annonça au roi d'Israël : « Voici ce que dit l'Eternel : Parce que les Syriens ont dit : ‘L'Eternel est un dieu des montagnes et non un dieu des vallées’, je vais livrer toute cette grande foule entre tes mains et vous saurez que je suis l'Eternel. »
      29 Ils campèrent 7 jours en face les uns des autres. Le septième jour, on engagea le combat et les Israélites tuèrent 100'000 fantassins syriens en un jour.
      30 Le reste se réfugia dans la ville d'Aphek et la muraille tomba sur ces 27'000 hommes qui restaient. Ben-Hadad s'était réfugié dans la ville d’Aphek, où il allait de chambre en chambre.
      31 Ses serviteurs lui dirent : « Nous avons appris que les rois de la communauté d'Israël sont des rois pleins de bienveillance. Nous allons mettre des sacs autour de la taille et des cordes autour de notre tête, et nous sortirons vers le roi d'Israël. Peut-être qu'il te laissera la vie sauve. »
      32 Ils se mirent des sacs autour de la taille et des cordes autour de la tête, et ils allèrent trouver le roi d'Israël. Ils dirent : « Ton serviteur Ben-Hadad te demande de lui laisser la vie sauve. » Achab répondit : « Est-il encore en vie ? Il est mon frère. »
      33 Ces hommes y virent un bon présage et ils s’empressèrent de le prendre au mot et de dire : « Ben-Hadad est ton frère ! » Il dit : « Allez-y, amenez-le. » Ben-Hadad vint vers lui et Achab le fit monter sur son char.
      34 Ben-Hadad lui dit : « Je te rendrai les villes que mon père avait prises au tien et tu pourras faire du commerce à Damas, comme mon père l’avait fait à Samarie. » « Quant à moi, reprit Achab, je vais te laisser partir après avoir conclu une alliance avec toi. » Il fit alliance avec lui et le laissa partir.
      35 L'un des membres de la communauté de prophètes dit à son compagnon, sur l'ordre de l'Eternel : « Frappe-moi, je t’en prie ! » Mais cet homme refusa de le frapper.
      36 Alors il lui dit : « Parce que tu n'as pas obéi à l'Eternel, quand tu m'auras quitté, le lion te tuera. » Quand l’homme l'eut quitté, il rencontra un lion qui le tua.
      37 Le prophète trouva un autre homme et dit : « Frappe-moi, je t’en prie ! » Cet homme le frappa et le blessa.
      38 Le prophète alla alors se poster sur la route empruntée par le roi et il se masqua les yeux avec un bandeau.
      39 Lorsque le roi passa, il cria vers lui et dit : « Ton serviteur était au milieu du combat. Voici qu’un homme s'est approché et m'a amené un autre homme en disant : ‘Garde cet homme. S'il vient à disparaître, ta vie sera échangée contre la sienne ou bien tu devras payer 30 kilos d'argent.’
      40 Or, pendant que ton serviteur était occupé çà et là, l'homme a disparu. » Le roi d'Israël lui dit : « C'est là ta sentence, tu l'as prononcée toi-même. »
      41 Aussitôt le prophète retira le bandeau qui couvrait ses yeux, et le roi d'Israël reconnut qu’il était l'un des prophètes.
      42 Il dit alors au roi : « Voici ce que dit l'Eternel : Parce que tu as laissé échapper l'homme que j'avais voué à la destruction, ta vie sera échangée contre la sienne, et ton peuple contre le sien. »
      43 Le roi d'Israël repartit chez lui, triste et irrité, et il arriva ainsi à Samarie.

      Daniel 2

      1 La deuxième année de son règne, Nebucadnetsar eut des rêves. Il en eut l'esprit troublé et ne parvint plus à dormir.
      2 Le roi fit appeler les magiciens, les astrologues, les sorciers et les prêtres chaldéens pour qu'ils lui racontent ses rêves. Ils vinrent et se présentèrent devant le roi.
      3 Le roi leur dit : « J'ai fait un rêve. Mon esprit est troublé parce que je voudrais connaître ce rêve. »
      4 Les prêtres chaldéens répondirent au roi en araméen : « Roi, puisses-tu vivre toujours ! Raconte le rêve à tes serviteurs et nous en révélerons l'explication. »
      5 Le roi reprit la parole et dit aux prêtres chaldéens : « Voici ce que j’ai décidé : si vous ne me faites pas connaître le rêve et son explication, vous serez mis en pièces et vos maisons seront transformées en un tas de décombres.
      6 En revanche, si vous me révélez le rêve et son explication, vous recevrez de ma part des cadeaux, des récompenses et de grands honneurs. C'est pourquoi, révélez-moi le rêve et son explication ! »
      7 Ils répondirent, pour la deuxième fois : « Que le roi raconte le rêve à ses serviteurs et nous en révélerons l'explication ! »
      8 Le roi reprit la parole et dit : « Je m'aperçois, en vérité, que vous cherchez à gagner du temps parce que vous voyez que ma décision est prise.
      9 Si donc vous ne me faites pas connaître le rêve, le même décret s’appliquera à vous tous. Vous vous êtes concertés pour me débiter des mensonges et des faussetés en attendant que les circonstances changent. C'est pourquoi, dites-moi quel était le rêve et je saurai que vous êtes vraiment capables de m'en révéler l'explication. »
      10 Les prêtres chaldéens répondirent au roi : « Il n'y a personne sur la terre qui puisse faire ce que demande le roi. C’est pourquoi jamais aucun roi, aussi grand et puissant qu'il ait été, n'a exigé une pareille chose d'un magicien, d’un astrologue ou d’un prêtre chaldéen.
      11 Ce que le roi demande est difficile. Il n'y a personne qui puisse faire une telle révélation au roi, mis à part les dieux. Or, ils n’habitent pas parmi les hommes. »
      12 Cela mit le roi en colère. Il fut si irrité qu’il ordonna de faire mourir tous les sages de Babylone.
      13 Le décret ordonnant la mise à mort des sages fut proclamé et l’on recherchait aussi Daniel et ses compagnons pour les exécuter.
      14 Daniel s'adressa alors avec bon sens et tact à Arjoc, le responsable des gardes du roi qui était sorti pour mettre à mort les sages de Babylone.
      15 Prenant la parole, il dit à Arjoc, l’officier du roi : « Pourquoi le décret du roi est-il si sévère ? » Arjoc exposa la situation à Daniel.
      16 Celui-ci alla alors trouver le roi et lui demanda de lui accorder un délai pour lui révéler l’explication.
      17 Daniel rentra ensuite chez lui et exposa la situation à ses compagnons Hanania, Mishaël et Azaria.
      18 Il les invita à implorer la compassion du Dieu du ciel afin qu'on ne les fasse pas mourir, lui et ses compagnons, avec le reste des sages de Babylone.
      19 C’est alors que le secret fut révélé à Daniel dans une vision pendant la nuit. Il bénit le Dieu du ciel
      20 en disant : « Que le nom de Dieu soit béni d’éternité en éternité ! C’est à lui qu’appartiennent la sagesse et la force.
      21 C'est lui qui change les temps et les circonstances, qui renverse et établit les rois, qui donne la sagesse aux sages et la connaissance à ceux qui ont de l'intelligence.
      22 C’est lui qui dévoile ce qui est profondément enfoui et caché, qui connaît ce qui est dans les ténèbres, et la lumière réside auprès de lui.
      23 Dieu de mes ancêtres, je te dis toute ma reconnaissance et ma louange parce que tu m'as donné la sagesse et la force et parce que tu m'as fait connaître ce que nous t'avons demandé, parce que tu nous as fait connaître ce qui concerne le roi. »
      24 Après cela, Daniel alla trouver Arjoc, celui que le roi avait chargé de faire mourir les sages de Babylone. Il alla lui dire : « Ne fais pas mourir les sages de Babylone ! Conduis-moi devant le roi et je lui révélerai l'explication. »
      25 Arjoc conduisit aussitôt Daniel devant le roi et lui dit : « J'ai trouvé parmi les exilés de Juda un homme qui fera connaître l'explication au roi. »
      26 Prenant la parole, le roi dit à Daniel, qu'on appelait Beltshatsar : « Es-tu capable de me faire connaître le rêve que j'ai eu et son explication ? »
      27 Daniel fit cette réponse devant le roi : « Ce que le roi demande est un secret que les sages, les astrologues, les magiciens et les devins ne sont pas capables de lui révéler.
      28 Cependant, il y a dans le ciel un Dieu qui dévoile les secrets et qui a fait connaître au roi Nebucadnetsar ce qui arrivera dans l’avenir. Voici ton rêve et les visions que tu as eues sur ton lit.
      29 Sur ton lit, roi, tu as eu des pensées concernant ce qui arrivera par la suite, et celui qui dévoile les secrets t'a fait connaître ce qui arrivera.
      30 Si ce secret m'a été dévoilé, ce n'est pas parce qu'il y aurait en moi une sagesse supérieure à celle de tous les êtres vivants, mais c'est afin que l'explication te soit donnée, roi, et que tu connaisses ce qui trouble ton cœur.
      31 » Roi, tu regardais et tu as vu une grande statue. Cette statue était immense et d'une splendeur extraordinaire. Elle était debout devant toi et son aspect était terrifiant.
      32 La tête de cette statue était en or pur, sa poitrine et ses bras en argent, son ventre et ses cuisses en bronze,
      33 ses jambes en fer, ses pieds en partie en fer et en partie en argile.
      34 Pendant que tu regardais, une pierre s’est détachée sans aucune intervention extérieure. Elle a frappé les pieds en fer et en argile de la statue et les a pulvérisés.
      35 Le fer, l'argile, le bronze, l'argent et l'or ont alors été pulvérisés ensemble, et ils sont devenus pareils à la bale qui s'échappe d'une aire de battage en été : le vent les a emportés et on n’a plus trouvé aucune trace d’eux. Quant à la pierre qui avait frappé la statue, elle est devenue une grande montagne et a rempli toute la terre.
      36 » Voilà quel était le rêve. Nous en dirons l'explication devant le roi.
      37 Roi, tu es le roi des rois parce que le Dieu du ciel t'a donné la royauté, la puissance, la force et la gloire.
      38 Il a placé sous ta domination, où qu'ils habitent, les hommes, les bêtes sauvages et les oiseaux, et il t'a donné le pouvoir sur eux tous. La tête en or, c’est toi.
      39 Après toi surgira un autre royaume, inférieur au tien, puis un troisième royaume, qui sera en bronze et qui dominera sur toute la terre.
      40 Il y aura un quatrième royaume, solide comme du fer. En effet, le fer pulvérise et écrase tout. Tout comme le fer brise tout, il pulvérisera et écrasera les autres.
      41 Tu as vu les pieds et les orteils en partie en argile de potier et en partie en fer. De même, ce royaume sera divisé, mais il y aura en lui quelque chose de la force du fer, parce que tu as vu le fer mélangé à l'argile.
      42 Les doigts des pieds étaient en partie en fer et en partie en argile. De même, ce royaume sera en partie fort et en partie fragile.
      43 Tu as vu le fer mélangé à l'argile parce qu'ils feront des alliances tout humaines. Cependant, ils ne seront pas vraiment unis l'un à l'autre, de même qu’on ne peut allier le fer à l'argile.
      44 » A l’époque de ces rois, le Dieu du ciel fera surgir un royaume qui ne sera jamais détruit et qui ne passera pas sous la domination d'un autre peuple ; il pulvérisera tous ces royaumes-là et y mettra fin, tandis que lui-même subsistera éternellement.
      45 C'est ce qu'indique la pierre que tu as vue se détacher de la montagne sans aucune intervention extérieure et qui a pulvérisé le fer, le bronze, l'argile, l'argent et l'or. Le grand Dieu a fait connaître au roi ce qui doit arriver par la suite. Le rêve est vrai et son explication est digne de confiance. »
      46 Alors le roi Nebucadnetsar tomba le visage contre terre et se prosterna devant Daniel. Il ordonna qu'on offre des sacrifices et des parfums en son honneur.
      47 Le roi adressa la parole à Daniel et dit : « C’est certain, c’est votre Dieu qui est le Dieu des dieux et le Seigneur des rois, et il dévoile les secrets, puisque tu as pu dévoiler celui-ci. »
      48 Ensuite le roi accorda une position élevée à Daniel et lui fit de nombreux et grands cadeaux. Il lui donna le commandement de toute la province de Babylone et le désigna chef suprême de tous les sages de Babylone.
      49 Daniel demanda au roi de confier l'administration de la province de Babylone à Shadrak, Méshak et Abed-Nego. Lui-même resta à la cour du roi.

      1 Thessaloniciens 3

      1 C'est pourquoi, n'y tenant plus, nous avons jugé bon de rester seuls à Athènes
      2 et vous avons envoyé notre frère Timothée, serviteur de Dieu [et notre collaborateur] dans l'Evangile de Christ, pour vous affermir et [vous] encourager dans votre foi,
      3 afin que personne ne soit ébranlé au milieu des difficultés présentes. En effet, vous le savez vous-mêmes, c'est à cela que nous sommes destinés.
      4 De fait, lorsque nous étions chez vous, nous vous annoncions d'avance que nous allions connaître la persécution, et c’est ce qui est arrivé, comme vous le savez.
      5 Voilà pourquoi, n'y tenant plus, je l'ai envoyé pour m'informer de votre foi, dans la crainte que le tentateur ne vous ait tentés et que nous n'ayons travaillé pour rien.
      6 Mais Timothée vient de nous arriver de chez vous, et il nous a donné de bonnes nouvelles de votre foi et de votre amour ; il nous a dit que vous avez toujours de nous un bon souvenir et que vous désirez nous revoir autant que nous le désirons aussi.
      7 C'est pourquoi, frères et sœurs, dans nos angoisses et nos épreuves, nous avons été encouragés à votre sujet par votre foi.
      8 En effet, maintenant nous vivons, puisque vous tenez ferme dans le Seigneur.
      9 Comment exprimer en retour toute notre reconnaissance à Dieu à votre sujet pour toute la joie que nous éprouvons à cause de vous devant notre Dieu ?
      10 Nuit et jour, nous le prions avec beaucoup d'insistance de nous permettre de vous revoir et de compléter ce qui manque à votre foi.
      11 Que Dieu lui-même, notre Père, et notre Seigneur Jésus[-Christ] dirigent notre parcours jusque chez vous !
      12 Que le Seigneur fasse grandir et déborder l'amour que vous avez les uns pour les autres et pour tous les hommes, à l'exemple de celui que nous avons pour vous !
      13 Qu'il affermisse ainsi votre cœur pour qu'il soit irréprochable dans la sainteté devant Dieu notre Père, lors du retour de notre Seigneur Jésus avec tous ses saints !
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