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La Bible en 1 an - Jour 42

Sommaire

Joseph ordonna à l’intendant de sa maison : —Remplis les sacs de ces hommes d’autant de vivres qu’ils peuvent en contenir, et remets l’argent de chacun à l’entrée de son sac.

Tu mettras ma coupe, la coupe d’argent, à l’ouverture du sac du plus jeune, avec l’argent de son blé. L’intendant exécuta les ordres de Joseph.

Le lendemain matin, dès qu’il fit jour, on laissa partir ces gens avec leurs ânes.

Ils venaient de quitter la ville, et n’en étaient pas encore bien loin, quand Joseph dit à son intendant : —Va, poursuis ces gens ! Quand tu les auras rejoints, tu leur demanderas : « Pourquoi avez-vous rendu le mal pour le bien ?

Pourquoi avez-vous volé la coupe dont mon maître se sert pour boire et pour lire les présages ? Vous avez très mal agi. »

L’intendant les rattrapa donc et leur parla comme son maître le lui avait dit.

Mais ils lui répondirent : —Pourquoi mon seigneur dit-il pareille chose ? Tes serviteurs n’ont jamais eu la pensée de commettre une telle action !

Nous t’avons rapporté du pays de Canaan l’argent que nous avons trouvé à l’ouverture de nos sacs. Pourquoi aurions-nous donc volé de l’argent ou de l’or dans la maison de ton maître ?

Que celui de tes serviteurs chez qui on trouvera cette coupe soit mis à mort et que nous-mêmes nous devenions esclaves de mon seigneur !

L’intendant répondit : —Bien ! Je vous prends au mot ! Celui sur qui on la trouvera sera mon esclave, mais tous les autres seront traités en innocents.

Ils se hâtèrent de déposer chacun son sac par terre et de l’ouvrir.

L’intendant fouilla leurs sacs en commençant par celui de l’aîné et en finissant par celui du plus jeune. Et la coupe fut trouvée dans le sac de Benjamin.

Ses frères déchirèrent leurs vêtements, chacun rechargea son âne, et ils retournèrent tous à la ville.

Juda se rendit avec ses frères à la maison de Joseph ; celui-ci s’y trouvait encore ; ils se prosternèrent à terre devant lui.

Joseph leur dit : —Qu’est-ce que vous avez fait là ? Ne saviez-vous pas qu’un homme tel que moi a un pouvoir de deviner les choses cachées ?

Juda dit : —Que répondrons-nous à mon seigneur ? Que dirions-nous ? Comment prouverions-nous notre innocence ? Dieu a mis à découvert la faute de tes serviteurs. Nous voici donc les esclaves de mon seigneur, nous, ainsi que celui qui avait la coupe dans son sac.

Mais Joseph déclara : —Il ne me viendrait pas à l’idée d’agir ainsi ! L’homme dans le sac duquel on a trouvé la coupe sera mon esclave ; mais vous, retournez tranquillement chez votre père.

Alors Juda s’avança et dit : —De grâce, mon seigneur, permets à ton serviteur de dire une parole à mon seigneur, sans que ta colère s’enflamme contre ton serviteur, car tu es l’égal du pharaon.

La première fois, mon seigneur a questionné ses serviteurs en leur demandant : « Avez-vous un père ou un autre frère ? »

Et nous avons répondu à notre seigneur : « Nous avons un père âgé et un jeune frère qui lui est né dans sa vieillesse et dont le frère est mort, celui-ci est le seul fils qui soit resté de sa mère, et son père l’aime. »

Tu as commandé à tes serviteurs : « Amenez-le moi pour que je le voie de mes propres yeux. »

Nous avons répondu à mon seigneur : « Le jeune garçon ne peut pas quitter son père ; sinon celui-ci en mourra. »

Alors tu as déclaré à tes serviteurs : « Si votre jeune frère ne vient pas avec vous, vous ne serez plus admis en ma présence. »

Lorsque nous sommes revenus auprès de ton serviteur, mon père, nous lui avons rapporté les paroles de mon seigneur.

Et lorsque notre père a dit : « Retournez là-bas pour nous acheter quelques vivres »,

nous lui avons répondu : « Nous ne pouvons y retourner qu’à la condition d’emmener notre jeune frère, car s’il n’est pas avec nous, nous ne serons pas admis auprès de cet homme. »

Alors ton serviteur mon père nous a dit : « Vous savez vous-mêmes que ma femme Rachel m’a donné deux fils.

L’un d’eux m’a été enlevé. Il a certainement été dévoré par une bête sauvage, car je ne l’ai jamais revu.

Si vous prenez encore celui-ci pour l’emmener loin de moi et qu’il lui arrive malheur, vous me ferez mourir de douleur à mon grand âge. »

Maintenant donc, si je retourne auprès de ton serviteur mon père sans ramener avec nous le jeune homme auquel il est tellement attaché,

quand il constatera son absence, il mourra, et tes serviteurs seront responsables de l’avoir fait mourir de douleur dans son grand âge.

Car moi, ton serviteur, j’ai pris la responsabilité du jeune homme devant mon père ; je lui ai dit : « Si je ne te le ramène pas, je serai pour toujours coupable envers mon père. »

Maintenant donc, je te prie, permets à ton serviteur de rester comme esclave de mon seigneur à la place du jeune homme, et qu’il reparte avec ses frères.

Comment pourrais-je retourner chez mon père sans le jeune garçon ? Ah, que je ne sois pas témoin du malheur qui frapperait mon père !

Je suis dégoûté de la vie, je ne retiendrai plus mes plaintes, je veux exprimer l’amertume qui remplit tout mon être.

Et je veux dire à Dieu : Ne me traite pas en coupable, fais-moi savoir pourquoi tu me prends à partie.

Prends-tu plaisir à m’accabler, à mépriser ta créature, ce que tes mains ont fait ? Est-ce bien de favoriser les desseins des *méchants ?

As-tu des yeux de chair, et ne vois-tu qu’à la façon des hommes ?

Ta vie serait-elle aussi courte que celle des humains, et tes années passeraient-elles comme celles d’un homme,

pour que tu recherches ma faute et pour que tu enquêtes sur mon iniquité ?

Pourtant tu le sais bien, je ne suis pas coupable. Et il n’y a personne pour me délivrer de ta main !

C’est toi qui m’as créé, tes mains m’ont façonné ensemble, tout entier, et tu me détruirais !

Oh, souviens-toi, je t’en supplie, que tu m’as façonné comme avec de l’argile. Voudrais-tu à présent me faire retourner dans la poussière ?

Tu m’as coulé comme du lait, puis fait cailler en fromage.

Ensuite tu m’as revêtu de peau, de chair, tu m’as tissé d’os et de nerfs.

C’est toi qui m’as donné la vie, tu m’as accordé ta faveur, et tes soins vigilants ont préservé mon souffle.

Mais voilà donc ce que tu cachais dans ton cœur et je sais maintenant ce que tu méditais :

tu voulais m’observer, me surprendre à pécher avec la volonté de ne pas pardonner ma faute,

et si je suis coupable, malheur à moi ! Si je suis innocent, je ne puis cependant marcher la tête haute, moi qui suis rassasié de honte et de misère.

Car si je me redresse, tu me pourchasses comme un lion, et tu t’acharnes contre moi avec ta force terrifiante.

Tu renouvelles constamment tes assauts contre moi, ta fureur envers moi s’accroît, tes troupes se succèdent pour m’assaillir.

Pourquoi donc m’as-tu fait sortir du ventre maternel ? J’aurais péri alors et aucun œil ne m’aurait vu.

Je serais comme ceux qui n’ont jamais été, j’aurais été porté du sein maternel au tombeau.

Il me reste si peu de jours. Laisse-moi donc : que je respire,

avant de partir sans retour au pays des ténèbres et de l’obscurité profonde,

terre où l’aurore est une nuit opaque, où règne l’ombre de la mort, où il n’y a que confusion, où la clarté du jour est comme la nuit noire.

On était à deux jours de la *Pâque et de la fête des *pains sans levain. Les chefs des *prêtres et les *spécialistes de la Loi cherchaient un moyen de s’emparer de Jésus par ruse et de le faire mourir.

Car ils se disaient : —Il ne faut pas agir pendant la fête, pour ne pas provoquer d’émeute parmi le peuple.

Jésus était à Béthanie, dans la maison de Simon, le lépreux. Pendant le repas, une femme s’approcha de lui, tenant un flacon d’albâtre rempli d’un parfum de nard pur de grande valeur. Elle cassa le col du flacon et répandit le parfum sur la tête de Jésus.

Quelques-uns s’en indignèrent et murmurèrent entre eux : —Pourquoi gaspiller ainsi ce parfum ?

On aurait pu le vendre et en tirer plus de trois cents pièces d’argent, qu’on aurait données aux pauvres. Et ils ne ménagèrent pas leurs reproches à cette femme.

Mais Jésus dit : —Laissez-la donc tranquille ! Pourquoi lui faites-vous de la peine ? Ce qu’elle vient d’accomplir pour moi est une belle action.

Des pauvres, vous en aurez toujours autour de vous, et vous pourrez leur faire du bien quand vous le voudrez ; mais moi, vous ne m’aurez pas toujours.

Cette femme a fait ce qu’elle pouvait. Elle a d’avance embaumé mon corps pour préparer mon enterrement.

Vraiment, je vous l’assure, dans le monde entier, partout où l’Evangile sera annoncé, on racontera aussi, en souvenir de cette femme, ce qu’elle vient de faire.

A la suite de cela, Judas Iscariot, l’un des Douze, alla trouver les chefs des *prêtres pour leur proposer de leur livrer Jésus.

Sa proposition les réjouit et ils promirent de lui donner de l’argent. Dès lors, il chercha une occasion favorable pour leur livrer Jésus.

Le premier jour de la fête des *pains sans levain, celui où l’on tue l’agneau de la *Pâque, ses *disciples lui demandèrent : —Où veux-tu que nous fassions les préparatifs pour le repas de la Pâque ?

Alors il envoya deux d’entre eux en leur donnant les instructions suivantes : —Allez à la ville. Vous y rencontrerez un homme portant une cruche d’eau. Suivez-le.

Lorsqu’il entrera dans une maison, parlez ainsi au propriétaire : « Le Maître te fait demander : Où est la pièce où je prendrai le repas de la Pâque avec mes disciples ? »

Alors il vous montrera, à l’étage supérieur, une grande pièce aménagée, déjà prête. C’est là que vous ferez les préparatifs pour nous.

Les disciples partirent. Ils arrivèrent à la ville, trouvèrent tout comme Jésus le leur avait dit et préparèrent le repas pascal.

Le soir, Jésus arriva avec les Douze.

Pendant qu’ils étaient à table et qu’ils mangeaient, il leur dit : —Vraiment, je vous l’assure, l’un de vous, qui mange avec moi, me trahira.

A ces mots, ils devinrent tout tristes, et, l’un après l’autre, ils lui dirent : —Ce n’est pas moi, n’est-ce pas ?

Alors il reprit : —C’est l’un des Douze, celui qui trempe son morceau dans le plat avec moi.

Certes, le *Fils de l’homme s’en va conformément à ce que les Ecritures annoncent à son sujet, mais malheur à celui qui trahit le Fils de l’homme. Il aurait mieux valu pour lui n’être jamais né !

Au cours du repas, Jésus prit du pain puis, après avoir prononcé la prière de reconnaissance, il le partagea en morceaux qu’il donna à ses disciples en disant : —Prenez, ceci est mon corps.

Ensuite il prit une coupe, remercia Dieu et la leur donna. Ils en burent tous.

Alors il leur dit : —Ceci est mon sang, par lequel est *scellée la nouvelle *alliance : il va être versé pour beaucoup d’hommes.

Vraiment, je vous le déclare : je ne boirai plus du fruit de la vigne jusqu’au jour où je boirai le vin nouveau dans le *royaume de Dieu.

Après cela, ils chantèrent les psaumes de la Pâque. Ensuite, ils sortirent pour se rendre au mont des Oliviers.

Jésus leur dit : —Vous allez tous être ébranlés dans votre foi, car il est écrit : Je frapperai le berger et les brebis s’enfuiront de tous côtés.

Mais, quand je serai ressuscité, je vous précéderai en *Galilée.

Alors Pierre lui déclara : —Même si tous les autres étaient ébranlés, moi, pas !

Jésus lui répondit : —Vraiment, je te l’assure : aujourd’hui, oui, cette nuit même, avant que le coq ait chanté deux fois, tu m’auras renié trois fois.

Mais Pierre protesta avec véhémence : —Même s’il me fallait mourir avec toi, je ne te renierai pas. Et tous disaient la même chose.

Ils arrivèrent en un lieu appelé Gethsémané. Jésus dit à ses disciples : —Asseyez-vous ici pendant que je vais prier.

Il prit avec lui Pierre, *Jacques et Jean. Il commença à être envahi par la crainte, et l’angoisse le saisit.

Il leur dit : —Je suis accablé de tristesse, à en mourir. Restez ici et veillez !

Il fit quelques pas, se laissa tomber à terre et pria Dieu que cette heure s’éloigne de lui, si c’était possible :

—Abba, Père, pour toi, tout est possible. Eloigne de moi cette coupe ; cependant, qu’il arrive non pas ce que moi, je veux, mais ce que toi, tu veux.

Il revint vers ses disciples et les trouva endormis. Il dit à Pierre : —*Simon, tu dors ? Tu n’as pas été capable de veiller une heure !

Veillez et priez pour ne pas céder à la tentation. L’esprit de l’homme est plein de bonne volonté, mais la nature humaine est bien faible.

Il s’éloigna de nouveau pour prier, en répétant les mêmes paroles.

Puis il revint encore vers les disciples et les trouva de nouveau endormis, car ils avaient tellement sommeil qu’ils n’arrivaient pas à garder les yeux ouverts, et ils ne surent que lui répondre.

Lorsqu’il revint pour la troisième fois, il leur dit : —Vous dormez encore et vous vous reposez ! C’en est fait ! L’heure est venue. Le *Fils de l’homme est livré entre les mains des pécheurs.

Levez-vous et allons-y. Car celui qui me trahit est là.

Il n’avait pas fini de parler que soudain survint Judas, l’un des Douze, accompagné d’une troupe armée d’épées et de gourdins. C’étaient les chefs des *prêtres, les *spécialistes de la Loi et les responsables du peuple qui les envoyaient.

Le traître avait convenu avec eux d’un signal : —Celui que j’embrasserai, c’est lui. Saisissez-vous de lui et emmenez-le sous bonne garde.

En arrivant, Judas se dirigea droit sur Jésus ; il lui dit : « Maître ! » et l’embrassa.

Aussitôt, les autres mirent la main sur Jésus et l’arrêtèrent.

Mais l’un de ceux qui étaient là dégaina son épée, en donna un coup au serviteur du *grand-prêtre et lui emporta l’oreille.

Jésus leur dit : —Me prenez-vous pour un bandit, pour que vous soyez venus en force avec des épées et des gourdins pour vous emparer de moi ?

J’étais parmi vous chaque jour dans la cour du *Temple pour donner mon enseignement et vous ne m’avez pas arrêté. Mais il en est ainsi pour que les Ecritures s’accomplissent.

Alors tous ses compagnons l’abandonnèrent et prirent la fuite.

Un jeune homme le suivait, couvert seulement d’un drap. On le saisit,

mais il abandonna le drap et s’enfuit, tout nu.

Jésus fut conduit devant le *grand-prêtre chez qui se rassemblèrent les chefs des *prêtres, les responsables du peuple et les *spécialistes de la *Loi.

Pierre l’avait suivi à distance, jusqu’à l’intérieur de la cour du palais du grand-prêtre. Il était assis avec les gardes, près du feu, pour se réchauffer.

Les chefs des prêtres et le *Grand-Conseil au complet cherchaient un témoignage contre Jésus pour pouvoir le condamner à mort. Mais ils n’en trouvaient pas.

Car il y avait beaucoup de gens pour apporter des faux témoignages contre lui, mais ces témoignages ne concordaient pas.

Finalement, quelques-uns se levèrent pour porter contre lui ce faux témoignage :

—Nous l’avons entendu dire : « Je démolirai ce *Temple fait de main d’homme et, en trois jours, j’en reconstruirai un autre, qui ne sera pas fait par des mains humaines. »

Mais même là-dessus, leurs dépositions ne s’accordaient pas.

Alors le grand-prêtre se leva au milieu de l’assemblée et interrogea Jésus. —Eh bien, demanda-t-il, tu n’as rien à répondre aux témoignages qu’on vient de porter contre toi ?

Mais Jésus garda le silence et ne répondit pas. Le grand-prêtre l’interrogea de nouveau et lui demanda : —Es-tu le *Messie, le Fils du Dieu béni ?

Et Jésus lui répondit : —Oui, je le suis ! Et vous verrez le *Fils de l’homme siéger à la droite du Tout-Puissant et venir en gloire avec les nuées du ciel.

Alors, le grand-prêtre déchira ses vêtements en signe de consternation et s’écria : —Qu’avons-nous encore besoin de témoins !

Vous avez entendu le *blasphème ! Qu’en concluez-vous ? Tous, alors, le condamnèrent en le déclarant passible de mort.

Quelques-uns se mirent à cracher sur lui, ils lui recouvrirent le visage et le frappèrent en lui disant : —Hé ! Fais le *prophète ! Qui c’est ? Les gardes saisirent Jésus et lui donnèrent des gifles.

Pendant ce temps, Pierre était en bas dans la cour intérieure. Une des servantes du *grand-prêtre arriva ;

elle vit Pierre qui se chauffait et le dévisagea ; elle lui dit : —Toi aussi, tu étais avec ce Jésus, ce Nazaréen !

Mais Pierre le nia en disant : —Je ne vois pas, je ne comprends pas ce que tu veux dire. Puis il sortit de la cour et entra dans le vestibule. Alors un coq chanta.

Mais la servante le vit et recommença à dire à ceux qui se trouvaient là : —Il fait aussi partie de ces gens-là.

Il le nia de nouveau. Peu après, ceux qui se trouvaient là redirent à Pierre : —C’est sûr : tu fais partie de ces gens. D’ailleurs, tu es Galiléen.

Alors il déclara : —Je le jure, et que Dieu me condamne si ce n’est pas vrai, je ne connais pas l’homme dont vous parlez !

Aussitôt, pour la seconde fois, un coq chanta. Alors, Pierre se souvint de ce que Jésus lui avait dit : « Avant que le coq ne chante deux fois, tu m’auras renié trois fois. » Et il fondit en larmes.


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      Genèse 44

      1 Joseph ordonna à son intendant : « Remplis de nourriture les sacs de ces hommes. Mets-en autant qu'ils pourront en porter et mets l'argent de chacun à l'entrée de son sac.
      2 Tu mettras aussi ma coupe, la coupe en argent, à l'entrée du sac du plus jeune, avec l'argent de son blé. » L'intendant se conforma aux ordres de Joseph.
      3 Le matin, dès qu'il fit jour, on renvoya ces hommes avec leurs ânes.
      4 Ils étaient sortis de la ville et n'en étaient pas très loin lorsque Joseph dit à son intendant : « Pars à la poursuite de ces hommes. Quand tu les auras rattrapés, dis-leur : ‘Pourquoi avez-vous rendu le mal pour le bien ?
      5 N'avez-vous pas la coupe dans laquelle boit mon seigneur et dont il se sert pour deviner l'avenir ? Ce que vous avez fait est mal.’ »
      6 L'intendant les rattrapa et leur répéta ces paroles.
      7 Ils lui répondirent : « Pourquoi notre seigneur parle-t-il de cette façon ? Tes serviteurs n'oseraient pas commettre un tel acte !
      8 Nous t'avons rapporté depuis le pays de Canaan l'argent que nous avions trouvé à l'entrée de nos sacs. Comment aurions-nous pu voler de l'argent ou de l'or dans la maison de ton seigneur ?
      9 Que celui de tes serviteurs sur qui on trouvera la coupe meure et que nous soyons nous-mêmes esclaves de notre seigneur ! »
      10 Il dit : « Qu’on fasse donc comme vous avez dit ! Celui sur qui on trouvera la coupe sera mon esclave et vous, vous serez innocents. »
      11 Aussitôt, chacun descendit son sac à terre et l’ouvrit.
      12 L'intendant les fouilla, en commençant par le plus âgé et en finissant par le plus jeune. La coupe fut trouvée dans le sac de Benjamin.
      13 Ils déchirèrent leurs vêtements. Chacun rechargea son âne et ils retournèrent à la ville.
      14 Juda et ses frères arrivèrent à la maison de Joseph, où il était encore, et ils se prosternèrent jusqu’à terre devant lui.
      15 Joseph leur dit : « Qu’avez-vous fait ? Ne savez-vous pas qu'un homme comme moi a le pouvoir de deviner l'avenir ? »
      16 Juda répondit : « Que pouvons-nous te dire, seigneur ? Comment parler ? Comment nous défendre ? Dieu a découvert la faute de tes serviteurs. Nous voici tes esclaves, seigneur, nous et celui sur qui on a trouvé la coupe. »
      17 Joseph dit : « Que Dieu me garde de faire cela ! C’est l'homme sur qui on a trouvé la coupe qui sera mon esclave. Quant à vous, remontez en toute tranquillité vers votre père. »
      18 Alors Juda s'approcha de Joseph et dit : « Pardon, mon seigneur ! Veuille autoriser ton serviteur à te dire un mot, mon seigneur, et que ta colère ne s'enflamme pas contre ton serviteur, car tu es pareil au pharaon.
      19 Mon seigneur, tu nous as demandé, à nous tes serviteurs : ‘Avez-vous un père ou un frère ?’
      20 Nous avons répondu : ‘Nous avons un vieux père et un jeune frère, qu’il a eu dans sa vieillesse. Cet enfant avait un frère qui est mort et qui était de la même mère. Il ne reste que lui et son père l'aime.’
      21 Tu as dit à tes serviteurs : ‘Faites-le descendre vers moi et que je le voie de mes propres yeux.’
      22 Nous t’avons répondu, seigneur : ‘Le garçon ne peut pas quitter son père. S'il le quitte, son père mourra.’
      23 Tu as dit à tes serviteurs : ‘Si votre jeune frère ne descend pas avec vous, vous ne serez plus admis en ma présence.’
      24 Lorsque nous sommes remontés auprès de ton serviteur mon père, nous lui avons rapporté tes paroles, mon seigneur.
      25 Notre père a dit : ‘Retournez nous acheter un peu de nourriture.’
      26 Nous avons répondu : ‘Nous ne pouvons pas descendre. En revanche, si notre jeune frère est avec nous, nous descendrons, car nous ne pouvons pas être admis en présence de cet homme à moins que notre jeune frère ne soit avec nous.’
      27 Ton serviteur notre père nous a dit : ‘Vous savez que ma femme m'a donné deux fils.
      28 L'un est parti de chez moi. Je pense qu'il a dû être mis en pièces, car je ne l'ai jamais revu.
      29 Si vous me prenez encore celui-ci et qu'il lui arrive un malheur, vous ferez descendre avec douleur mes cheveux blancs dans le séjour des morts.’
      30 Si maintenant je retourne vers ton serviteur mon père sans le garçon auquel il est attaché,
      31 il mourra en voyant qu’il n'est pas là. Quant à tes serviteurs, ils feraient descendre avec douleur les cheveux blancs de ton serviteur notre père dans le séjour des morts.
      32 En effet, moi ton serviteur, je me suis porté garant pour le garçon devant mon père en disant : ‘Si je ne te le ramène pas, je serai pour toujours coupable envers mon père.’
      33 Permets-moi donc de rester à la place du garçon comme esclave de mon seigneur et que le garçon reparte avec ses frères !
      34 Comment pourrai-je remonter vers mon père si le garçon n'est pas avec moi ? Non, je ne veux pas voir le malheur frapper mon père ! »

      Job 10

      1 » Je suis dégoûté de la vie ! Je laisserai s’exprimer ma plainte, je parlerai, dans l'amertume de mon âme.
      2 Je dis à Dieu : ‘Ne me condamne pas ! Fais-moi connaître pourquoi tu me prends à partie !
      3 Prends-tu plaisir à maltraiter, à repousser le fruit de ton activité et à faire reposer ta faveur sur les projets des méchants ?
      4 As-tu des yeux humains, vois-tu comme voit un homme ?
      5 Tes jours sont-ils pareils à ceux de l'homme, et tes années pareilles à ses années,
      6 pour que tu recherches ma faute, pour que tu te renseignes au sujet de mon péché ?
      7 » Tu sais bien, pourtant, que je ne suis pas coupable et que personne ne peut me délivrer de ton pouvoir.
      8 Tes mains m'ont façonné, elles m'ont créé, elles m'ont fait tout entier, et tu me détruirais !
      9 Souviens-toi donc que tu m'as façonné comme de l'argile. Voudrais-tu de nouveau me réduire en poussière ?
      10 Ne m'as-tu pas coulé comme du lait ? Ne m'as-tu pas fait cailler comme du fromage ?
      11 Tu m'as couvert de peau et de chair, tu m'as tissé d'os et de nerfs,
      12 tu m'as accordé la vie et tu as fait preuve de bonté envers moi. Tes soins constants m’ont permis de subsister.
      13 » Mais voici ce que tu cachais dans ton cœur, ce que tu avais décidé en toi-même, je le sais :
      14 que je pèche, tu ne me raterais pas et tu ne me considérerais pas comme innocent de ma faute.
      15 Suis-je coupable, malheur à moi ! Suis-je juste, je n'ose pas lever la tête, rempli de honte et absorbé par ma misère.
      16 Si j'ose néanmoins la redresser, tu me pourchasses comme un jeune lion pourchasse sa proie, tu fais de nouveau des miracles contre moi.
      17 Tu renouvelles tes attaques contre moi, tu fais bouillonner ta colère contre moi, des armées se succèdent pour m’assaillir.
      18 » Pourquoi m'as-tu fait sortir du ventre de ma mère ? J’aurais expiré et aucun œil ne m'aurait vu.
      19 Ce serait comme si je n'avais jamais existé et je serais passé du ventre de ma mère à la tombe.
      20 Ma vie est si courte ! Laisse-moi, éloigne-toi de moi pour que je respire un peu
      21 avant de m'en aller, pour ne pas en revenir, dans le pays des ténèbres et de l'ombre de la mort,
      22 pays où règnent une obscurité épaisse, l'ombre de la mort et le chaos, où la lumière n’est qu’obscurité.’ »

      Marc 14

      1 La fête de la Pâque et des pains sans levain devait avoir lieu deux jours après. Les chefs des prêtres et les spécialistes de la loi cherchaient les moyens d'arrêter Jésus par ruse et de le faire mourir.
      2 Ils se disaient en effet : « Que ce ne soit pas pendant la fête, afin qu'il n'y ait pas d’agitation parmi le peuple. »
      3 Comme Jésus était à Béthanie, dans la maison de Simon le lépreux, une femme entra pendant qu'il se trouvait à table. Elle tenait un vase qui contenait un parfum de nard pur très cher. Elle brisa le vase et versa le parfum sur la tête de Jésus.
      4 Quelques-uns exprimèrent leur indignation entre eux : « A quoi bon gaspiller ce parfum ?
      5 On aurait pu le vendre plus de 300 pièces d’argent et les donner aux pauvres » et ils s'irritaient contre cette femme.
      6 Mais Jésus dit : « Laissez-la. Pourquoi lui faites-vous de la peine ? Elle a fait une bonne action envers moi.
      7 En effet, vous avez toujours les pauvres avec vous et vous pouvez leur faire du bien quand vous le voulez, mais vous ne m'aurez pas toujours.
      8 Elle a fait ce qu'elle a pu, elle a d'avance parfumé mon corps pour l'ensevelissement.
      9 Je vous le dis en vérité, partout où cette bonne nouvelle sera proclamée, dans le monde entier, on racontera aussi en souvenir de cette femme ce qu'elle a fait. »
      10 Judas l'Iscariot, l'un des douze, alla vers les chefs des prêtres afin de leur livrer Jésus.
      11 Ils se réjouirent en l’entendant et promirent de lui donner de l'argent. Quant à Judas, il se mit à chercher une occasion favorable pour le trahir.
      12 Le premier jour des pains sans levain, où l'on sacrifiait l'agneau pascal, les disciples de Jésus lui dirent : « Où veux-tu que nous allions te préparer le repas de la Pâque ? »
      13 Il envoya deux de ses disciples et leur dit : « Allez à la ville. Vous rencontrerez un homme qui porte une cruche d'eau : suivez-le.
      14 Là où il entrera, dites au propriétaire de la maison : ‘Le maître dit : Où est la salle où je mangerai la Pâque avec mes disciples ?’
      15 Alors il vous montrera une grande chambre à l'étage, aménagée et toute prête : c'est là que vous nous préparerez la Pâque. »
      16 Ses disciples partirent, arrivèrent à la ville et trouvèrent tout comme il le leur avait dit, et ils préparèrent la Pâque.
      17 Le soir venu, il s’y rendit avec les douze.
      18 Pendant qu'ils étaient à table et qu'ils mangeaient, Jésus dit : « Je vous le dis en vérité, l'un de vous, qui mange avec moi, me trahira. »
      19 Ils devinrent tout tristes et lui dirent l'un après l'autre : « Est-ce moi ? »
      20 Il leur répondit : « C'est l'un des douze, celui qui met la main dans le plat avec moi.
      21 Le Fils de l'homme s'en va conformément à ce qui est écrit à son sujet, mais malheur à l'homme par qui le Fils de l'homme est trahi ! Mieux vaudrait pour cet homme qu'il ne soit pas né. »
      22 Pendant qu'ils mangeaient, Jésus prit du pain et, après avoir prononcé la prière de bénédiction, il le rompit et le leur donna en disant : « Prenez, [mangez, ] ceci est mon corps. »
      23 Il prit ensuite une coupe et, après avoir remercié Dieu, il la leur donna et ils en burent tous.
      24 Il leur dit : « Ceci est mon sang, le sang de la [nouvelle] alliance, qui est versé pour beaucoup.
      25 Je vous le dis en vérité, je ne boirai plus jamais du fruit de la vigne, jusqu'au jour où je le boirai nouveau dans le royaume de Dieu. »
      26 Après avoir chanté les psaumes, ils se rendirent au mont des Oliviers.
      27 Jésus leur dit : « Vous trébucherez tous, [cette nuit, à cause de moi, ] car il est écrit : Je frapperai le berger, et les brebis seront dispersées.
      28 Mais, après ma résurrection, je vous précéderai en Galilée. »
      29 Pierre lui dit : « Même si tous trébuchent, ce ne sera pas mon cas. »
      30 Jésus lui dit : « Je te le dis en vérité, aujourd'hui, cette nuit même, avant que le coq chante [deux fois], toi, tu me renieras trois fois. »
      31 Mais Pierre reprit plus fortement : « Même s'il me faut mourir avec toi, je ne te renierai pas. » Et tous dirent la même chose.
      32 Ils se rendirent ensuite dans un endroit appelé Gethsémané, et Jésus dit à ses disciples : « Asseyez-vous ici pendant que je prierai. »
      33 Il prit avec lui Pierre, Jacques et Jean, et il commença à être saisi de frayeur et d’angoisse.
      34 Il leur dit : « Mon âme est triste à en mourir ; restez ici, éveillés. »
      35 Puis il avança de quelques pas, se jeta contre terre et pria que, si cela était possible, cette heure s'éloigne de lui.
      36 Il disait : « Abba, Père, tout t'est possible. Eloigne de moi cette coupe ! Toutefois, non pas ce que je veux, mais ce que tu veux. »
      37 Il vint vers les disciples, qu'il trouva endormis, et il dit à Pierre : « Simon, tu dors ! Tu n'as pas pu rester éveillé une seule heure !
      38 Restez vigilants et priez pour ne pas céder à la tentation. L'esprit est bien disposé, mais par nature l’homme est faible. »
      39 Il s'éloigna de nouveau et fit la même prière.
      40 Il revint et les trouva encore endormis, car ils avaient les paupières lourdes. Ils ne surent que lui répondre.
      41 Il revint pour la troisième fois et leur dit : « Vous dormez maintenant et vous vous reposez ! C'est assez ! L'heure est venue ; voici que le Fils de l'homme est livré entre les mains des pécheurs.
      42 Levez-vous, allons-y ! Celui qui me trahit s'approche. »
      43 Il parlait encore quand soudain arriva Judas, l'un des douze, avec une foule armée d'épées et de bâtons envoyée par les chefs des prêtres, par les spécialistes de la loi et par les anciens.
      44 Celui qui le trahissait leur avait donné ce signe : « L’homme auquel je donnerai un baiser, c'est lui. Arrêtez-le et emmenez-le sous bonne garde ! »
      45 Dès qu'il fut arrivé, il s'approcha de Jésus en disant : « Maître ! » et il l'embrassa.
      46 Alors ces gens mirent la main sur Jésus et l'arrêtèrent.
      47 Un de ceux qui étaient là tira l'épée, frappa le serviteur du grand-prêtre et lui emporta l'oreille.
      48 Jésus prit la parole et leur dit : « Vous êtes venus vous emparer de moi avec des épées et des bâtons, comme pour un brigand.
      49 J'étais tous les jours parmi vous, enseignant dans le temple, et vous ne m'avez pas arrêté. Mais c'est afin que les Ecritures soient accomplies. »
      50 Alors tous l'abandonnèrent et prirent la fuite.
      51 Un jeune homme le suivait, habillé d’un simple drap. On l'attrapa,
      52 mais il lâcha le drap et se sauva tout nu.
      53 Ils emmenèrent Jésus chez le grand-prêtre, où se rassemblèrent tous les chefs des prêtres, les anciens et les spécialistes de la loi.
      54 Pierre le suivit de loin jusqu'à l'intérieur de la cour du grand-prêtre ; il s'assit avec les serviteurs et il se chauffait près du feu.
      55 Les chefs des prêtres et tout le sanhédrin cherchaient un témoignage contre Jésus pour le faire mourir, et ils n'en trouvaient pas.
      56 Beaucoup rendaient en effet de faux témoignages contre lui, mais les témoignages n’étaient pas concordants.
      57 Quelques-uns se levèrent et portèrent un faux témoignage contre lui en disant :
      58 « Nous l'avons entendu dire : ‘Je détruirai ce temple fait par la main de l'homme, et en trois jours j'en construirai un autre qui ne sera pas fait de main d'homme.’ »
      59 Même sur ce point-là, leurs témoignages ne concordaient pas.
      60 Alors le grand-prêtre se leva au milieu de l'assemblée et interrogea Jésus en disant : « Ne réponds-tu rien ? Pourquoi ces gens témoignent-ils contre toi ? »
      61 Mais Jésus gardait le silence et ne répondit rien. Le grand-prêtre l'interrogea de nouveau et lui dit : « Es-tu le Messie, le Fils du Dieu béni ? »
      62 Jésus répondit : « Je le suis. Et vous verrez le Fils de l'homme assis à la droite du Tout-Puissant et venant sur les nuées du ciel. »
      63 Alors le grand-prêtre déchira ses vêtements et dit : « Qu'avons-nous encore besoin de témoins ?
      64 Vous avez entendu le blasphème. Qu'en pensez-vous ? » Tous le condamnèrent, déclarant qu’il méritait la mort.
      65 Quelques-uns se mirent à cracher sur lui, à lui mettre un voile sur le visage et à le frapper à coups de poing en lui disant : « Devine ! » Même les serviteurs le frappaient en lui donnant des gifles.
      66 Pendant que Pierre était en bas dans la cour, une des servantes du grand-prêtre arriva.
      67 Elle vit Pierre qui se chauffait, le regarda et lui dit : « Toi aussi, tu étais avec Jésus de Nazareth. »
      68 Il le nia en disant : « Je ne sais ni ne comprends ce que tu veux dire. » Puis il sortit pour aller dans le vestibule. [Alors un coq chanta. ]
      69 La servante le vit et se mit à dire de nouveau à ceux qui étaient présents : « Il fait partie de ces gens-là. » Il le nia de nouveau.
      70 Peu après, ceux qui étaient présents dirent encore à Pierre : « Certainement, tu fais partie de ces gens-là, car tu es galiléen, [tu as le même langage]. »
      71 Alors il se mit à jurer en lançant des malédictions : « Je ne connais pas cet homme dont vous parlez. »
      72 [Aussitôt, ] pour la seconde fois, un coq chanta. Pierre se souvint alors de ce que Jésus lui avait dit : « Avant que le coq chante deux fois, tu me renieras trois fois. » Et en y réfléchissant, il pleurait.
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