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La Bible en 1 an - Jour 70

Sommaire

—Si l’on surprend un voleur en train de pénétrer dans une maison par effraction et qu’on lui assène un coup mortel, celui qui l’aura frappé ne sera pas coupable de meurtre.

Par contre, si cela se passe en plein jour, celui qui l’aura frappé sera coupable de meurtre. Tout voleur devra verser une indemnité. S’il ne possède rien, il sera lui-même vendu comme esclave pour compenser ce qu’il a volé.

S’il a volé un animal — bœuf, âne ou mouton — et qu’on le retrouve vivant en sa possession, il rendra deux animaux en compensation.

Si quelqu’un fait brouter ses bêtes dans le champ ou le vignoble d’autrui, il indemnisera le propriétaire lésé en lui donnant le meilleur produit de son propre champ et de son vignoble.

Si quelqu’un allume un feu et que celui-ci, rencontrant des buissons d’épines, se propage et brûle les gerbes du voisin, ou son blé sur pied, ou bien son blé en herbe, l’auteur de l’incendie sera tenu de donner compensation pour ce qui aura été brûlé.

Si un homme confie à la garde d’autrui de l’argent ou des objets de valeur et qu’ils soient volés dans la maison de celui qui en avait accepté la garde, si le voleur est retrouvé, il restituera le double de ce qu’il a volé.

S’il ne l’est pas, le maître de la maison comparaîtra devant Dieu pour savoir s’il ne s’est pas emparé du bien de son prochain.

Dans toute affaire frauduleuse, qu’il s’agisse d’un bœuf, d’un âne, d’un mouton, d’un vêtement ou de n’importe quel objet perdu dont deux personnes revendiqueront la propriété, les deux parties porteront leur litige devant Dieu ; celui que Dieu déclarera coupable restituera le double à l’autre.

Si un homme confie en garde à son prochain un âne, un bœuf, un mouton ou tout autre animal, et que celui-ci meurt, se casse une patte ou se fait capturer par des voleurs sans qu’il y ait de témoin,

un serment prêté au nom de l’Eternel départagera les deux parties. Celui qui avait la garde de l’animal jurera qu’il ne s’est pas emparé du bien de l’autre, et le propriétaire de la bête acceptera ce serment sans qu’aucune indemnité ne lui soit versée.

Mais si l’animal lui a été volé chez lui, il dédommagera le propriétaire.

Si l’animal a été déchiré par une bête féroce, ses restes seront produits comme pièce à conviction et il ne sera pas nécessaire de payer d’indemnité pour la bête déchirée.

Si quelqu’un emprunte une bête et qu’elle se casse une patte ou meurt en l’absence de son propriétaire, l’emprunteur sera tenu d’indemniser ce dernier.

Si, par contre, son propriétaire était présent au moment de l’accident, il n’y aura pas lieu de l’indemniser. Si la bête a été louée, ce dommage est couvert par le prix de la location.

Si un homme séduit une jeune fille non encore fiancée et couche avec elle, il devra payer sa dot et la prendre pour femme.

Si le père refuse absolument de la lui accorder, il paiera en argent la dot habituelle des jeunes filles vierges.

—Tu ne laisseras pas vivre de magicienne.

Quiconque s’accouple à une bête sera puni de mort.

Celui qui offrira des sacrifices à d’autres dieux qu’à l’Eternel devra être exécuté.

—Tu n’exploiteras pas l’étranger qui vit dans ton pays et tu ne l’opprimeras pas, car vous avez été vous-mêmes étrangers en Egypte.

Vous n’opprimerez jamais ni la veuve ni l’orphelin.

Si vous les opprimez de quelque manière, et qu’ils fassent monter leur plainte vers moi, je ne manquerai pas d’écouter leur cri,

je me mettrai en colère contre vous et je vous ferai périr par la guerre, de sorte que vos femmes deviendront elles-mêmes veuves et vos fils orphelins.

Si tu prêtes de l’argent à un membre de mon peuple, à un pauvre qui est avec toi, tu n’agiras pas envers lui comme un usurier, tu n’en exigeras pas d’intérêts.

Si tu prends en gage le manteau de ton prochain, tu le lui rendras avant le coucher du soleil,

car c’est là sa seule couverture ; autrement, dans quoi s’envelopperait-il pour dormir ? S’il crie vers moi, je l’écouterai, car je suis compatissant.

—Tu n’insulteras pas Dieu et tu ne maudiras pas celui qui gouverne ton peuple.

Tu ne différeras pas l’offrande des prémices de ta moisson et de ta vendange. Tu me donneras le premier-né de tes fils,

tu m’offriras également le premier-né de tes bœufs, de tes moutons et de tes chèvres ; ils resteront sept jours avec leur mère, et le huitième jour tu me les offriras.

Vous serez pour moi des hommes saints : vous ne mangerez donc pas la viande d’un animal déchiré par des bêtes sauvages, vous le jetterez aux chiens.

Vois, devant lui, tout espoir de le vaincre est illusoire. A sa vue seule, on sera terrassé.

Nul n’osera exciter sa colère. Qui donc alors pourrait me tenir tête ?

Qui m’a prêté pour que j’aie à lui rendre ? Tout est à moi sous l’étendue des cieux.

Je ne veux pas me taire sur ses membres, et je dirai sa force incomparable, et la beauté de sa constitution.

Qui a ouvert par devant son habit ? Qui a franchi les deux rangs de ses dents ?

Qui a forcé les battants de sa gueule ? Ses crocs aigus font régner la terreur.

Majestueuses sont ses rangées d’écailles. Bien assemblées comme des boucliers,

articulées les unes sur les autres, et aucun souffle ne pourrait s’y glisser :

soudées ensemble, chacune à sa voisine, elles se tiennent et sont inséparables.

Il éternue : c’est un jet de lumière. Ses yeux ressemblent aux paupières de l’aube.

Des étincelles jaillissent de sa gueule, ce sont des gerbes de flammes qui s’échappent.

De ses narines la fumée sort en jets comme d’un pot ou d’un chaudron bouillant.

Son souffle embrase comme un charbon ardent et, de sa gueule, une flamme jaillit.

C’est dans son cou que sa vigueur réside, et la terreur danse au-devant de lui.

Qu’ils sont massifs, les replis de sa peau ! Soudés sur lui, ils sont inébranlables.

Son cœur est dur, figé comme une pierre il est durci comme une meule à grain.

Quand il se dresse, les plus vaillants ont peur. Ils se dérobent, saisis par l’épouvante.

L’épée l’atteint sans trouver nulle prise, la lance même, la flèche et la cuirasse ne servent pas à celui qui l’approche.

Pour lui, le fer est comme de la paille, il prend le bronze pour du bois vermoulu.

Les traits de l’arc ne le font jamais fuir et les cailloux qu’on lance avec la fronde ne sont pour lui que des fétus de paille.

Oui, la massue est un brin de roseau, et il se rit du sifflement des lances.

Son ventre, armé de tessons acérés, est une herse qu’il traîne sur la vase.

Les eaux profondes, il les fait bouillonner comme un chaudron. Il transforme le lac, lorsqu’il y entre, en un brûle-parfum.

Il fait briller après lui son sillage. Les flots paraissent couverts de cheveux blancs.

Au commencement était celui qui est la Parole de Dieu. Il était avec Dieu, il était lui-même Dieu.

Au commencement, il était avec Dieu.

Tout a été créé par lui ; rien de ce qui a été créé n’a été créé sans lui.

En lui résidait la vie, et cette vie était la lumière des hommes.

La lumière brille dans les ténèbres et les ténèbres ne l’ont pas étouffée.

Un homme parut, envoyé par Dieu ; il s’appelait Jean.

Il vint pour être un témoin de la lumière, afin que tous les hommes croient par lui.

Il n’était pas lui-même la lumière, mais sa mission était d’être le témoin de la lumière.

Celle-ci était la véritable lumière, celle qui, en venant dans le monde, éclaire tout être humain.

Celui qui est la Parole était déjà dans le monde, puisque le monde a été créé par lui, et pourtant, le monde ne l’a pas reconnu.

Il est venu chez lui, et les siens ne l’ont pas accueilli.

Certains pourtant l’ont accueilli ; ils ont cru en lui. A tous ceux-là, il a accordé le privilège de devenir enfants de Dieu.

Ce n’est pas par une naissance naturelle, ni sous l’impulsion d’un désir, ou encore par la volonté d’un homme, qu’ils le sont devenus ; mais c’est de Dieu qu’ils sont nés.

Celui qui est la Parole est devenu homme et il a vécu parmi nous. Nous avons contemplé sa gloire, la gloire du Fils unique envoyé par son Père : plénitude de grâce et de vérité !

Jean, son témoin, a proclamé publiquement : —Voici celui dont je vous ai parlé lorsque j’ai dit : Celui qui vient après moi m’a précédé car il existait déjà avant moi.

Nous avons tous été comblés de ses richesses. Il a déversé sur nous une grâce après l’autre.

En effet, si la *Loi nous a été donnée par *Moïse, la grâce et la vérité sont venues par Jésus-Christ.

Personne n’a jamais vu Dieu : Dieu, le Fils unique qui vit dans l’intimité du Père, nous l’a révélé.

Voici le témoignage de Jean, lorsque les autorités juives lui envoyèrent de *Jérusalem une délégation de *prêtres et de *lévites pour lui demander : « Qui es-tu ? »

Il dit clairement la vérité, sans se dérober, et leur déclara ouvertement :

—Je ne suis pas le *Messie. —Mais alors, continuèrent-ils, qui es-tu donc ? Es-tu Elie ? —Je ne le suis pas. —Es-tu le Prophète ? —Non.

—Mais enfin, insistèrent-ils, qui es-tu ? Il faut bien que nous rapportions une réponse à ceux qui nous ont envoyés. Que dis-tu de toi-même ?

—Moi ? répondit-il, je suis cette voix dont parle le *prophète *Esaïe, la voix de quelqu’un qui crie dans le désert : Préparez le chemin pour le Seigneur !

Les envoyés étaient du parti des *pharisiens.

Ils continuèrent de l’interroger : —Si tu n’es pas le Messie, ni Elie, ni le Prophète, pourquoi donc baptises-tu ?

—Moi, leur répondit Jean, je vous baptise dans l’eau, mais au milieu de vous se trouve quelqu’un que vous ne connaissez pas.

Il vient après moi, mais je ne suis pas digne de dénouer la lanière de ses sandales.

Cela se passait à Béthanie, à l’est du *Jourdain, là où Jean baptisait.

Le lendemain, Jean aperçut Jésus qui se dirigeait vers lui ; alors il s’écria : —Voici l’Agneau de Dieu, celui qui enlève le péché du monde.

C’est de lui que je vous ai parlé lorsque je disais : « Un homme vient après moi, il m’a précédé, car il existait avant moi. »

Moi non plus, je ne savais pas que c’était lui, mais si je suis venu baptiser dans l’eau, c’est pour le faire connaître au peuple d’*Israël.

Jean-Baptiste rendit ce témoignage : —J’ai vu l’Esprit descendre du ciel comme une colombe et se poser sur lui.

Je ne savais pas que c’était lui, mais Dieu, qui m’a envoyé baptiser dans l’eau, m’avait dit : Tu verras l’Esprit descendre et se poser sur un homme ; c’est lui qui baptisera dans le Saint-Esprit.

Or, cela, je l’ai vu de mes yeux, et je l’atteste solennellement : cet homme est le Fils de Dieu.

Le lendemain, Jean était de nouveau là, avec deux de ses *disciples.

Il vit Jésus qui passait, et il dit : —Voici l’Agneau de Dieu !

Les deux disciples entendirent les paroles de Jean et se mirent à suivre Jésus.

Celui-ci se retourna, vit qu’ils le suivaient et leur demanda : —Que désirez-vous ? —Rabbi — c’est-à-dire Maître —, lui dirent-ils, où habites-tu ?

—Venez, leur répondit-il, et vous le verrez. Ils l’accompagnèrent donc et virent où il habitait. Il était environ quatre heures de l’après-midi. Ils passèrent le reste de la journée avec lui.

André, le frère de *Simon Pierre, était l’un de ces deux hommes qui, sur la déclaration de Jean, s’étaient mis à suivre Jésus.

Il alla tout d’abord voir son frère Simon et lui dit : —Nous avons trouvé le *Messie — ce qui veut dire le Christ.

Et il le conduisit auprès de Jésus. Jésus le regarda attentivement et lui dit : —Tu es Simon, fils de Jonas. Eh bien, on t’appellera Céphas — ce qui veut dire Pierre.

Le lendemain, Jésus décida de retourner en *Galilée. Il rencontra Philippe et lui dit : —Suis-moi !

Philippe était originaire de Bethsaïda, la ville d’André et de Pierre.

Philippe, à son tour, alla voir Nathanaël et lui dit : —Nous avons trouvé celui dont *Moïse a parlé dans la Loi et que les prophètes ont annoncé : c’est Jésus, le fils de Joseph, de la ville de *Nazareth.

—De Nazareth ? répondit Nathanaël. Que peut-il venir de bon de Nazareth ? —Viens et vois toi-même ! répondit Philippe.

Jésus vit Nathanaël s’avancer vers lui. Alors il dit : —Voilà un véritable Israélite, un homme d’une parfaite droiture.

—D’où me connais-tu ? lui demanda Nathanaël. —Avant même que Philippe t’appelle, lui répondit Jésus, lorsque tu étais sous le figuier, je t’ai vu.

—Maître, s’écria Nathanaël, tu es le Fils de Dieu, tu es le Roi d’*Israël !

—Tu crois, lui répondit Jésus, parce que je t’ai dit que je t’ai vu sous le figuier ? Tu verras de bien plus grandes choses encore.

Et il ajouta : —Oui, je vous l’assure, vous verrez le ciel ouvert et les *anges de Dieu monter et descendre entre ciel et terre par l’intermédiaire du *Fils de l’homme.


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      Exode 22

      1 » Si un voleur est surpris en train de commettre un vol avec effraction, qu'il soit frappé et qu’il meure, on ne sera pas coupable de meurtre envers lui ;
      2 toutefois si le soleil est levé, on sera coupable de meurtre envers lui. Un voleur devra faire une restitution : s'il n'a rien, il sera vendu pour rembourser son vol ;
      3 si ce qu'il a volé, bœuf, âne ou agneau, est encore vivant entre ses mains, il fera une restitution au double.
      4 » Si un homme fait brouter son bétail dans un champ ou une vigne et qu'il le laisse aller brouter dans le champ d’un autre, il donnera en dédommagement le meilleur produit de son champ et de sa vigne.
      5 » Si un feu éclate et rencontre des ronces, et que du blé en gerbes ou sur pied, ou bien le champ, soit brûlé, celui qui a causé l'incendie sera tenu de donner un dédommagement.
      6 » Si un homme confie à un autre la garde d'argent ou d’objets et qu'on les vole dans la maison de cette personne, le voleur fera une restitution au double, dans le cas où on le trouverait.
      7 Si on ne trouve pas le voleur, le maître de la maison se présentera devant Dieu pour déclarer qu'il n'a pas porté la main sur le bien de son prochain.
      8 » Dans toute affaire litigieuse concernant un bœuf, un âne, un agneau, un vêtement ou un objet perdu dont quelqu’un revendiquera la propriété, la cause des deux parties ira jusqu'à Dieu. Celui que Dieu condamnera fera à son prochain une restitution au double.
      9 » Si un homme confie à un autre la garde d’un âne, un bœuf, un agneau ou un autre animal et que l'animal meure, se casse un membre ou soit enlevé sans que personne ne l'ait vu,
      10 on fera intervenir entre les deux parties le serment au nom de l'Eternel. Celui qui a eu la garde de l'animal déclarera qu'il n'a pas porté la main sur le bien de son prochain. Le maître de l'animal devra accepter ce serment et l'autre ne sera pas tenu de le dédommager.
      11 En revanche, si l'animal a été volé chez lui, il sera tenu de dédommager son maître.
      12 Si l'animal a été déchiqueté, il apportera ses restes en guise de témoignage et il ne sera pas tenu à un dédommagement pour l’animal déchiqueté.
      13 » Si un homme emprunte un animal à un autre et que l'animal se casse un membre ou meure en l'absence de son maître, il devra donner un dédommagement.
      14 Si le maître est présent, il n’y aura pas de dédommagement. Si l'animal a été loué, le prix de la location suffira.
      15 » Si un homme séduit une jeune fille vierge qui n'est pas fiancée et couche avec elle, il paiera sa dot et la prendra pour femme.
      16 Si le père refuse de la lui accorder en mariage, il paiera en argent la valeur de la dot des jeunes filles vierges.
      17 » Tu ne laisseras pas vivre la magicienne.
      18 » Celui qui couche avec une bête sera puni de mort.
      19 » Celui qui offre des sacrifices à d'autres dieux qu'à l'Eternel seul sera voué à l'extermination.
      20 » Tu ne maltraiteras pas l'étranger et tu ne l'opprimeras pas, car vous avez été étrangers en Egypte.
      21 » Tu ne feras pas de mal à la veuve ni à l'orphelin.
      22 Si tu leur fais du mal et qu'ils viennent à moi, j'entendrai leurs cris.
      23 Ma colère s'enflammera et je vous détruirai par l'épée ; ce sont vos femmes qui deviendront veuves, et vos enfants orphelins.
      24 » Si tu prêtes de l'argent à quelqu'un de mon peuple, au pauvre qui est avec toi, tu ne te comporteras pas envers lui comme un créancier, tu n'exigeras de lui aucun intérêt.
      25 » Si tu prends en gage le vêtement de ton prochain, tu le lui rendras avant le coucher du soleil.
      26 En effet, c'est sa seule couverture, c'est le vêtement dont il s'enveloppe le corps. Dans quoi coucherait-il ? S'il crie à moi, je l'entendrai, car je suis plein de grâce.
      27 » Tu ne maudiras pas Dieu et *tu ne parleras pas mal des chefs de ton peuple.
      28 » Tu ne tarderas pas à m'offrir la part qui me revient de ta moisson et de ta vendange. Tu me donneras le premier-né de tes fils.
      29 Tu me donneras aussi le premier-né de ta vache et de ta brebis ; il restera 7 jours avec sa mère et le huitième jour, tu me le donneras.
      30 » Vous serez des hommes saints pour moi. Vous ne mangerez aucune viande trouvée déchiquetée dans les champs : vous la jetterez aux chiens.

      Job 40

      1 L'Eternel reprit la parole et dit à Job :
      2 « Le faiseur de reproches va-t-il faire un procès au Tout-Puissant ? Celui qui veut corriger Dieu va-t-il répliquer ? »
      3 Job répondit à l'Eternel :
      4 « Je ne fais pas le poids. Que pourrais-je te répondre ? Je mets la main sur ma bouche :
      5 j'ai parlé une fois, mais je ne répliquerai plus, et même deux, mais je n'ajouterai rien. »
      6 L'Eternel répondit encore à Job du milieu de la tempête et dit :
      7 « Mets donc une ceinture autour de ta taille comme un vaillant homme ! Je t'interrogerai et tu me renseigneras.
      8 Voudrais-tu vraiment casser mon jugement ? Voudrais-tu me condamner pour te donner raison ?
      9 As-tu un bras pareil à celui de Dieu, une voix tonnante comme la sienne ?
      10 Pare-toi donc de fierté et de prestige, habille-toi de majesté et de splendeur !
      11 Déverse le trop-plein de ta colère et d'un regard abaisse ceux qui font les fiers !
      12 D'un regard humilie tous les fiers, écrase sur place les méchants,
      13 cache-les tous ensemble dans la poussière, enferme-les dans un endroit caché !
      14 Alors moi-même je te rendrai hommage parce que le salut te sera venu de toi-même.
      15 » Vois l’animal par excellence que j’ai créé, tout comme toi ! Il mange de l'herbe comme un bœuf.
      16 Vois : sa force est dans ses reins et sa vigueur dans les muscles de son ventre.
      17 Il raidit sa queue comme un cèdre. Les nerfs de ses cuisses sont entrelacés.
      18 Ses os sont des tubes de bronze, ses membres sont pareils à des barres de fer.
      19 Il est le chef-d’œuvre de Dieu. Celui qui l'a fait l'a pourvu d'une épée.
      20 Il trouve sa nourriture dans les montagnes, là où jouent toutes les bêtes sauvages.
      21 Il se couche sous les lotus, il se cache dans les roseaux et les marécages.
      22 Les lotus le couvrent de leur ombre, les saules de la rivière l'environnent.
      23 Si le fleuve devient violent, il ne s'alarme pas ; si le Jourdain se précipite contre sa gueule, il reste confiant.
      24 Est-ce quand il a les yeux ouverts qu'on pourra l’attraper ? Utilisera-t-on des pièges pour lui transpercer le nez ?

      Jean 1

      1 Au commencement, la Parole existait déjà. La Parole était avec Dieu et la Parole était Dieu.
      2 Elle était au commencement avec Dieu.
      3 Tout a été fait par elle et rien de ce qui a été fait n'a été fait sans elle.
      4 En elle il y avait la vie, et cette vie était la lumière des êtres humains.
      5 La lumière brille dans les ténèbres, et les ténèbres ne l'ont pas accueillie.
      6 Il y eut un homme envoyé par Dieu ; son nom était Jean.
      7 Il vint comme témoin, pour rendre témoignage à la lumière afin que tous croient par lui.
      8 Il n'était pas la lumière, mais il vint pour rendre témoignage à la lumière.
      9 Cette lumière était la vraie lumière qui, en venant dans le monde, éclaire tout être humain.
      10 Elle était dans le monde et le monde a été fait par elle, pourtant le monde ne l'a pas reconnue.
      11 Elle est venue chez les siens, et les siens ne l'ont pas accueillie.
      12 Mais à tous ceux qui l'ont acceptée, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le droit de devenir enfants de Dieu,
      13 puisqu’ils sont nés non du fait de la nature, ni par une volonté humaine, ni par la volonté d’un mari, mais qu’ils sont nés de Dieu.
      14 Et la Parole s'est faite homme, elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité, et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme celle du Fils unique venu du Père.
      15 Jean lui a rendu témoignage et s'est écrié : « C'est celui à propos duquel j'ai dit : ‘Celui qui vient après moi m'a précédé, car il était avant moi.’ »
      16 Nous avons tous reçu de sa plénitude, et grâce sur grâce.
      17 En effet, la loi a été donnée à travers Moïse, mais la grâce et la vérité sont venues à travers Jésus-Christ.
      18 Personne n'a jamais vu Dieu ; Dieu le Fils unique, qui est dans l’intimité du Père, est celui qui l'a fait connaître.
      19 Voici le témoignage de Jean lorsque les Juifs envoyèrent de Jérusalem des prêtres et des Lévites pour lui demander : « Toi, qui es-tu ? »
      20 Il déclara et sans restriction affirma : « Moi, je ne suis pas le Messie. »
      21 Ils lui demandèrent : « Qui es-tu donc ? Es-tu Elie ? » Et il dit : « Je ne le suis pas. » « Es-tu le prophète ? » Et il répondit : « Non. »
      22 Ils lui dirent alors : « Qui es-tu ? Nous devons donner une réponse à ceux qui nous ont envoyés ! Que dis-tu de toi-même ? »
      23 « Moi, dit-il, je suis la voix de celui qui crie dans le désert : ‘Rendez le chemin du Seigneur droit’, comme l’a dit le prophète Esaïe. »
      24 Ceux qui avaient été envoyés étaient des pharisiens.
      25 Ils lui posèrent encore cette question : « Pourquoi donc baptises-tu, si tu n'es ni le Messie, ni Elie, ni le prophète ? »
      26 Jean leur répondit : « Moi, je baptise d'eau, mais au milieu de vous se trouve quelqu'un que vous ne connaissez pas.
      27 Il vient après moi [mais il m’a précédé, ] et je ne suis pas digne de détacher la courroie de ses sandales. »
      28 Cela se passait à Béthanie, de l'autre côté du Jourdain, où Jean baptisait.
      29 Le lendemain, il vit Jésus s’approcher de lui et dit : « Voici l'Agneau de Dieu qui enlève le péché du monde.
      30 C'est celui à propos duquel j'ai dit : ‘Après moi vient un homme qui m'a précédé, car il existait avant moi.’
      31 Pour ma part, je ne le connaissais pas, mais c'est afin de le faire connaître à Israël que je suis venu baptiser d'eau. »
      32 Jean rendit aussi ce témoignage : « J'ai vu l'Esprit descendre du ciel comme une colombe et s'arrêter sur lui.
      33 Je ne le connaissais pas, mais celui qui m'a envoyé baptiser d'eau m'a dit : ‘Celui sur qui tu verras l'Esprit descendre et s'arrêter, c'est lui qui baptise du Saint-Esprit.’
      34 Et moi, j'ai vu et j'atteste qu'il est le Fils de Dieu. »
      35 Le lendemain, Jean était encore là avec deux de ses disciples.
      36 Il vit Jésus passer et dit : « Voici l'Agneau de Dieu. »
      37 Les deux disciples l'entendirent prononcer ces paroles et suivirent Jésus.
      38 Jésus se retourna et, voyant qu'ils le suivaient, il leur dit : « Que cherchez-vous ? » Ils lui répondirent : « Rabbi – ce qui signifie maître –, où habites-tu ? »
      39 « Venez, leur dit-il, et voyez. » Ils y allèrent [donc], virent où il habitait et restèrent avec lui ce jour-là. C'était environ quatre heures de l'après-midi.
      40 André, le frère de Simon Pierre, était l'un des deux qui avaient entendu les paroles de Jean et qui avaient suivi Jésus.
      41 Il rencontra d'abord son frère Simon et lui dit : « Nous avons trouvé le Messie », ce qui correspond à Christ.
      42 Il le conduisit vers Jésus. Jésus le regarda et dit : « Tu es Simon, fils de Jonas, tu seras appelé Céphas », ce qui signifie Pierre.
      43 Le lendemain, Jésus décida de se rendre en Galilée. Il rencontra Philippe et lui dit : « Suis-moi. »
      44 Philippe était de Bethsaïda, la ville d'André et de Pierre.
      45 Philippe rencontra Nathanaël et lui dit : « Nous avons trouvé celui que Moïse a décrit dans la loi et dont les prophètes ont parlé : Jésus de Nazareth, fils de Joseph. »
      46 Nathanaël lui dit : « Peut-il sortir quelque chose de bon de Nazareth ? » Philippe lui répondit : « Viens et vois. »
      47 Jésus vit Nathanaël s'approcher de lui et dit de lui : « Voici vraiment un Israélite en qui il n'y a pas de ruse. »
      48 « D'où me connais-tu ? » lui dit Nathanaël. Jésus lui répondit : « Avant que Philippe t'appelle, quand tu étais sous le figuier, je t'ai vu. »
      49 Nathanaël répondit : « Maître, tu es le Fils de Dieu, tu es le roi d'Israël. »
      50 Jésus lui répondit : « Parce que je t'ai dit que je t'ai vu sous le figuier, tu crois ? Tu verras de plus grandes choses que celles-ci. »
      51 Il ajouta : « En vérité, en vérité, je vous le dis, vous verrez [désormais] le ciel ouvert et les anges de Dieu monter et descendre au-dessus du Fils de l'homme. »
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