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La Bible en 1 an - Jour 87

Sommaire

Avec les fils de pourpre violette, de pourpre écarlate et de rouge éclatant, on confectionna les vêtements de cérémonie pour faire le service dans le sanctuaire, et les vêtements sacrés pour Aaron, comme l’Eternel l’avait ordonné à Moïse.

Il fit l’*éphod avec des fils d’or, de pourpre violette, de pourpre écarlate, de rouge éclatant et du fin lin retors.

On étendit l’or en lames que l’on coupa en fils pour les entrelacer dans la pourpre violette, la pourpre écarlate, le rouge éclatant et le lin fin ; c’était l’œuvre d’artisans.

On y ajusta des bretelles cousues à ses deux bords, pour le maintenir.

La ceinture était faite de la même façon, de la même étoffe que l’éphod, elle était également faite de fils d’or, de pourpre violette, de pourpre écarlate, de rouge éclatant et de fin lin retors, comme l’Eternel l’avait ordonné à Moïse.

On sertit les pierres d’onyx dans les montures d’or et on les grava aux noms des fils d’Israël, à la manière des gravures faites sur les sceaux à cacheter.

On les fixa sur les bretelles de l’éphod pour rappeler le souvenir des fils d’Israël, comme l’Eternel l’avait ordonné à Moïse.

Betsaleel fit faire par des artisans le pectoral ouvragé comme l’éphod, avec des fils d’or, de pourpre violette, de pourpre écarlate, de rouge éclatant et du fin lin retors.

Il était carré, une fois replié en deux, et avait la forme d’un carré de vingt-cinq centimètres de côté.

On le garnit de quatre rangées de pierreries. Sur la première rangée, on enchâssa une sardoine, une topaze et une émeraude.

Sur la seconde rangée, un rubis, un saphir et un diamant.

Sur la troisième rangée : une opale, une agate, et une améthyste.

Sur la quatrième rangée : une chrysolithe, un onyx et un jaspe. Ces pierreries étaient serties dans des montures d’or.

Elles étaient gravées aux noms des douze fils d’Israël comme des sceaux à cacheter : chacun portait le nom d’une des douze tribus.

On fit pour le pectoral des chaînettes d’or pur, tressées comme des cordons.

On forgea deux montures d’or et deux anneaux d’or que l’on fixa aux deux bords du pectoral

pour passer les deux cordons d’or dans les deux anneaux d’or aux bords du pectoral.

A leur autre extrémité ces deux cordons furent fixés aux deux agrafes placées sur les bretelles de l’*éphod par devant.

On fit de plus deux anneaux d’or que l’on plaça aux deux coins inférieurs du pectoral, sur le bord intérieur appliqué contre l’*éphod.

On fit deux autres anneaux d’or qui furent fixés aux deux bretelles, en bas de l’*éphod, sur le devant, près de l’endroit où elles sont fixées tout près de la ceinture de l’*éphod.

On fixa le bas du pectoral en joignant ses anneaux à ceux du bas de l’*éphod par un cordonnet de pourpre violette, afin que le pectoral soit fixé sur la ceinture de l’*éphod, sans pouvoir s’en séparer, comme l’Eternel l’avait ordonné à Moïse.

On tissa la robe de l’*éphod tout entière en pourpre violette.

Au milieu était ménagée une ouverture comme l’encolure d’un vêtement de cuir tressé ; autour de cette ouverture, on avait cousu un ourlet pour que la robe ne se déchire pas.

On garnit le bord inférieur de la robe de grenades faites de fils de pourpre violette, de pourpre écarlate, de rouge éclatant et de lin retors.

On fabriqua des clochettes d’or pur et on les fit alterner avec les grenades le long du bord inférieur de la robe :

une clochette et une grenade, et ainsi de suite sur tout le tour du bas de la robe pour le service, comme l’Eternel l’avait ordonné à Moïse.

On tissa les tuniques pour Aaron et ses fils dans du lin fin,

le turban de fin lin, les tiares de fin lin, les caleçons de lin retors

et la ceinture brodée en fils de fin lin retors, de pourpre violette, de pourpre écarlate et de rouge éclatant comme l’Eternel l’avait ordonné à Moïse.

On fit la plaque frontale, le diadème sacré, en or pur et l’on y grava comme sur un sceau à cacheter : « Consacré à l’Eternel ».

On y mit un cordonnet de pourpre violette pour la fixer en haut du turban, comme l’Eternel l’avait ordonné à Moïse.

Ainsi fut achevé tout le travail pour le *tabernacle, la tente de la Rencontre ; les Israélites avaient tout exécuté selon les directives que l’Eternel avait données à Moïse ; c’est ainsi qu’ils agirent.

On apporta la Demeure à Moïse : la Tente et tous ses éléments : ses agrafes, ses cadres, ses traverses, ses piliers et ses socles,

la couverture de peaux de béliers teintes en rouge, la couverture de peaux de dauphins et le voile de séparation,

le *coffre de l’*acte de l’alliance, ses barres et son *propitiatoire,

la table, tous ses ustensiles et le pain destiné à être exposé devant l’Eternel,

le chandelier d’or pur, l’arrangement de ses lampes, tous ses accessoires et l’huile pour l’alimenter,

l’autel d’or, l’huile d’onction, le parfum aromatique et le rideau pour l’entrée de la Tente,

l’autel de bronze avec sa grille de bronze, ses barres et tous ses ustensiles, la cuve et son socle,

les tentures du parvis, ses piliers, ses socles ; le rideau pour la porte du parvis, ses cordages, ses piquets et tous les accessoires pour le culte du tabernacle, la *tente de la Rencontre,

les vêtements de cérémonie pour effectuer le service dans le sanctuaire, les vêtements sacrés pour le prêtre Aaron et les vêtements de ses fils afin qu’ils puissent officier.

Pour tous ces travaux, les Israélites suivirent exactement les directives que l’Eternel avait données à Moïse.

Moïse examina tout l’ouvrage, et constata qu’il avait été fait exactement comme l’Eternel le lui avait ordonné. Alors Moïse les bénit.

Une réponse douce apaise la colère, mais une parole blessante excite l’irritation.

Celui qui enseigne avec sagesse rend le savoir attrayant, mais la bouche des sots ne répand que des sottises.

L’Eternel voit ce qui se passe en tout lieu ; il observe tous les hommes, *méchants et bons.

Des paroles douces sont comme un arbre de vie, mais la langue malfaisante démoralise.

Seul un *insensé méprise ce que son père lui a enseigné, celui qui tient compte des avertissements est un homme avisé.

Il y a de nombreux trésors dans la maison du juste, mais les profits du méchant sont source d’inquiétude.

Les lèvres des sages répandent le savoir, mais il n’en est pas ainsi du cœur des insensés.

L’Eternel a en horreur les sacrifices offerts par les méchants, mais les prières des hommes droits lui sont agréables.

L’Eternel a en horreur la conduite du méchant, mais il aime celui qui recherche ce qui est juste.

Une dure leçon attend celui qui s’écarte du droit chemin ; celui qui déteste être repris périra.

L’Eternel connaît le séjour des morts et l’abîme, combien plus le cœur des humains est-il à découvert devant lui !

Le moqueur n’aime pas qu’on le reprenne, c’est pourquoi il ne demande pas l’avis des sages.

Un cœur joyeux rend le visage aimable, mais quand le cœur est triste, l’esprit est abattu.

L’homme intelligent cherche toujours à apprendre, alors que les sots se repaissent de sottises.

Pour l’affligé, tous les jours sont mauvais, mais celui qui a le contentement dans son cœur est toujours en fête.

Mieux vaut avoir peu et révérer Dieu que de posséder une grande fortune avec du tourment.

Mieux vaut un plat de légumes là où règne l’amour qu’un bœuf gras assaisonné de haine.

L’homme irascible suscite des querelles, mais celui qui garde son sang-froid apaise les disputes.

Le chemin du paresseux est une haie de ronces, mais le sentier des hommes droits est une route bien aplanie.

Un fils sage fait la joie de son père ; seul un homme insensé a du mépris pour sa mère.

La sottise ravit l’homme dépourvu de sens ; un homme intelligent marche droit.

Quand on ne consulte personne, les projets échouent, mais lorsqu’il y a beaucoup de conseillers, ils se réalisent.

Savoir donner la bonne réponse est une source de joie, et combien est agréable une parole dite à propos.

L’homme avisé suit le sentier qui mène en haut vers la vie et qui le fait échapper au séjour des morts en bas.

L’Eternel renverse la maison des orgueilleux, mais il protège la propriété de la veuve.

Les machinations des méchants sont en horreur à l’Eternel, mais les paroles aimables sont pures.

Celui qui veut s’enrichir à tout prix entraîne sa famille dans le malheur, mais qui déteste les pots-de-vin vivra longtemps.

Le juste réfléchit bien avant de répondre, mais la bouche des méchants répand le mal.

L’Eternel se tient loin des méchants, mais il entend la prière des justes.

Un regard lumineux met le cœur en joie ; une bonne nouvelle fortifie jusqu’aux os.

Qui prête une oreille attentive aux critiques constructives habitera parmi les sages.

Qui refuse d’être repris se méprise lui-même, mais qui écoute les avertissements acquiert du bon sens.

Révérer l’Eternel, c’est se mettre à l’école de la sagesse ; avant d’être honoré, il faut savoir être humble.

Après avoir ainsi prié, Jésus s’en alla avec ses *disciples et traversa le torrent du Cédron. Il y avait là un jardin où il entra avec eux.

Or Judas, qui le trahissait, connaissait bien cet endroit, car Jésus s’y était rendu souvent avec ses disciples.

Il prit donc la tête d’une troupe de soldats et de gardes fournis par les chefs des *prêtres et les *pharisiens, et il arriva dans ce jardin. Ces hommes étaient munis de lanternes, de torches et d’armes.

Jésus, qui savait tout ce qui allait lui arriver, s’avança vers eux et leur demanda : —Qui cherchez-vous ?

Ils lui répondirent : —Jésus de *Nazareth. —C’est moi, leur dit-il. Au milieu d’eux se tenait Judas, celui qui le trahissait.

Au moment même où Jésus leur dit : « C’est moi », ils eurent un mouvement de recul et tombèrent par terre.

Une seconde fois, il leur demanda : —Qui cherchez-vous ? —Jésus de Nazareth, répétèrent-ils.

—Je vous ai dit que c’était moi, reprit Jésus. Puisque c’est moi que vous venez chercher, laissez partir les autres.

Ainsi s’accomplit cette parole qu’il avait prononcée peu avant : « Je n’ai perdu aucun de ceux que tu m’as donnés. »

*Simon Pierre, qui avait une épée, la dégaina, en donna un coup au serviteur du *grand-prêtre et lui coupa l’oreille droite. Ce serviteur s’appelait Malchus.

Jésus dit à Pierre : —Remets ton épée au fourreau. Ne dois-je pas boire la coupe de souffrance que le Père m’a destinée ?

Alors la cohorte et les gardes des *Juifs s’emparèrent de Jésus

et le conduisirent enchaîné tout d’abord chez Hanne, le beau-père de Caïphe, qui était le *grand-prêtre en exercice cette année-là.

Caïphe était celui qui avait suggéré aux Juifs qu’il valait mieux qu’un seul homme meure pour le peuple.

Simon Pierre et un autre disciple suivirent Jésus. Ce disciple connaissait personnellement le grand-prêtre, et il entra en même temps que Jésus dans la cour du palais du grand-prêtre.

Pierre, lui, resta dehors près du portail. L’autre disciple qui connaissait le grand-prêtre ressortit donc, dit un mot à la concierge, et fit entrer Pierre.

La servante qui gardait la porte demanda alors à Pierre : —Ne fais-tu pas partie, toi aussi, des disciples de cet homme ? —Non, lui répondit-il, je n’en suis pas.

Les serviteurs et les gardes avaient allumé un feu de braise car il faisait froid, et ils se tenaient tout autour pour se réchauffer. Pierre se joignit à eux et se réchauffa également.

De son côté, le grand-prêtre commença à interroger Jésus sur ses disciples et sur son enseignement.

Jésus lui répondit : —J’ai parlé ouvertement devant tout le monde. J’ai toujours enseigné dans les *synagogues et dans la cour du *Temple où tout le monde se réunit. Je n’ai rien dit en secret.

Pourquoi donc m’interroges-tu ? Demande à ceux qui m’ont écouté comment je leur ai parlé. Ils savent fort bien ce que j’ai dit.

A ces mots, un des gardes qui se tenait à côté de lui le gifla en disant : —C’est comme cela que tu réponds au grand-prêtre ?

Jésus lui répondit : —Si j’ai mal parlé, montre où est le mal. Mais si ce que j’ai dit est vrai, pourquoi me frappes-tu ?

Hanne l’envoya enchaîné à Caïphe, le grand-prêtre.

Pendant ce temps, *Simon Pierre se tenait toujours au même endroit et se chauffait. Quelqu’un lui dit : —N’es-tu pas, toi aussi, un des disciples de cet homme ? Mais Pierre le nia en disant : —Non, je n’en suis pas.

Un des serviteurs du grand-prêtre, parent de celui à qui Pierre avait coupé l’oreille, l’interpella : —Voyons, ne t’ai-je pas vu avec lui dans le jardin ?

Mais Pierre le nia de nouveau, et aussitôt, un coq se mit à chanter.

De chez Caïphe, on amena Jésus au palais du gouverneur. C’était l’aube. Ceux qui l’avaient amené n’entrèrent pas eux-mêmes dans le palais pour conserver leur *pureté rituelle et pouvoir manger ainsi le repas de la *Pâque.

C’est pourquoi *Pilate sortit du palais pour les voir et leur demanda : —De quoi accusez-vous cet homme ?

Ils lui répondirent : —S’il n’avait rien fait de mal, nous ne te l’aurions pas livré.

—Reprenez-le, répliqua Pilate, et jugez-le vous-mêmes d’après votre *Loi. Mais ils lui répondirent : —Nous n’avons pas le droit de mettre quelqu’un à mort.

La parole par laquelle Jésus avait annoncé quelle mort il allait subir devait ainsi s’accomplir.

Pilate rentra donc dans le palais de justice et fit comparaître Jésus : —Es-tu le roi des Juifs ? lui demanda-t-il.

—Dis-tu cela de toi-même ou d’autres t’ont-ils dit cela à mon sujet ? répondit Jésus.

—Est-ce que je suis juif, moi ? répliqua Pilate. Ce sont ceux de ta nation et les chefs des *prêtres qui t’ont livré à moi. Qu’as-tu fait ?

Jésus lui répondit : —Mon *royaume n’est pas de ce monde. Si mon royaume appartenait à ce monde, mes serviteurs se seraient battus pour que je ne tombe pas aux mains des chefs des Juifs. Non, réellement, mon royaume n’est pas d’ici.

—Es-tu donc roi ? reprit Pilate. —Tu le dis toi-même : je suis roi ! Si je suis né et si je suis venu dans ce monde, c’est pour rendre témoignage à la vérité. Celui qui appartient à la vérité écoute ce que je dis.

—Qu’est-ce que la vérité ? lui répondit Pilate. Là-dessus, il alla de nouveau trouver les Juifs et leur dit : —En ce qui me concerne, je ne trouve chez cet homme aucune raison de le condamner.

Il est d’usage que je vous relâche un prisonnier à l’occasion de la fête de la Pâque. Voulez-vous donc que je vous relâche le roi des Juifs ?

Ils lui répondirent en criant : —Non ! Pas lui ! Barabbas ! Or, Barabbas était un bandit.


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      Exode 39

      1 Avec les étoffes teintes en bleu, en pourpre et en cramoisi, on fit les vêtements pour le service dans le sanctuaire, ainsi que les vêtements sacrés pour Aaron, comme l'Eternel l'avait ordonné à Moïse.
      2 On fit l'éphod en or, en fil bleu, pourpre et cramoisi et en fin lin retors.
      3 On martela des lames d'or et on les coupa en fils, que l'on entrelaça dans les étoffes teintes en bleu, en pourpre et en cramoisi et dans le fin lin, selon l’art du brodeur.
      4 On y fit des bretelles qui le reliaient, et c'est ainsi qu'il était assemblé par ses deux extrémités.
      5 L’écharpe était du même matériau que l'éphod et fixée sur lui. Elle était en or, en fil bleu, pourpre et cramoisi et en fin lin retors, comme l'Eternel l'avait ordonné à Moïse.
      6 On entoura des pierres d'onyx de montures en or et on y grava les noms des fils d'Israël, comme on grave les cachets.
      7 On les mit sur les bretelles de l'éphod en souvenir des fils d'Israël, comme l'Eternel l'avait ordonné à Moïse.
      8 On fit le pectoral selon l’art du brodeur, avec le même matériau que l'éphod, en or, en fil bleu, pourpre et cramoisi et en fin lin retors.
      9 Il était carré et on le fit double. Sa longueur et sa largeur étaient de 25 centimètres, et il était double.
      10 On le garnit de 4 rangées de pierres ; première rangée : une sardoine, une topaze, une émeraude ;
      11 deuxième rangée : une escarboucle, un saphir, un diamant ;
      12 troisième rangée : une opale, une agate, une améthyste ;
      13 quatrième rangée : une chrysolithe, un onyx, un jaspe. Ces pierres étaient enchâssées dans leurs montures en or.
      14 Il y en avait 12, d'après les noms des fils d'Israël. Elles étaient gravées comme des cachets, chacune avec le nom de l'une des 12 tribus.
      15 On fit sur le pectoral des chaînettes en or pur, tressées en forme de cordons.
      16 On fit 2 montures en or et 2 anneaux en or et on mit les 2 anneaux aux 2 extrémités du pectoral.
      17 On passa les 2 cordons d'or dans les 2 anneaux placés aux 2 extrémités du pectoral.
      18 On fixa par-devant les bouts des 2 cordons aux 2 montures placées sur les bretelles de l'éphod.
      19 On fit encore 2 anneaux en or, que l'on mit aux 2 extrémités du pectoral, sur le bord intérieur appliqué contre l'éphod.
      20 On fit 2 autres anneaux en or, que l'on mit au bas des 2 bretelles de l'éphod, sur le devant, près de la jointure, au-dessus de l’écharpe de l'éphod.
      21 On attacha le pectoral par ses anneaux aux anneaux de l'éphod avec un cordon bleu, afin que le pectoral soit au-dessus de l’écharpe de l'éphod et qu'il ne puisse pas se séparer de l'éphod, comme l'Eternel l'avait ordonné à Moïse.
      22 On fit la robe de l'éphod, entièrement tissée d'étoffe bleue.
      23 Au milieu de la robe, il y avait une ouverture comme l’encolure d'un habit en cuir, et cette ouverture était ourlée tout autour afin que la robe ne se déchire pas.
      24 On mit sur la bordure de la robe des grenades de couleur bleue, pourpre et cramoisie, en fil retors.
      25 On fit des clochettes en or pur et on les mit entre les grenades sur tout le tour de la bordure de la robe, on les intercala entre les grenades :
      26 une clochette et une grenade, une clochette et une grenade, sur tout le tour de la bordure de la robe destinée au service, comme l'Eternel l'avait ordonné à Moïse.
      27 On fit les tuniques tissées en fin lin pour Aaron et pour ses fils.
      28 On fit aussi la tiare en fin lin et les coiffes en fin lin pour marquer l’honneur de leur rang, les caleçons en lin, en fin lin retors,
      29 la ceinture en fin lin retors brodée et de couleur bleue, pourpre et cramoisie, comme l'Eternel l'avait ordonné à Moïse.
      30 On fit la lame, le diadème sacré, en or pur et l'on y écrivit, comme on grave un cachet : « Sainteté à l'Eternel. »
      31 On l'attacha avec un cordon bleu en haut de la tiare, comme l'Eternel l'avait ordonné à Moïse.
      32 C’est ainsi que l’on mena à terme tous les travaux du tabernacle, de la tente de la rencontre. Les Israélites firent tout ce que l'Eternel avait ordonné à Moïse, ils s’y conformèrent exactement.
      33 On amena le tabernacle à Moïse : la tente et tout ce qui en dépendait, les agrafes, les planches, les barres, les colonnes et les bases ;
      34 la couverture de peaux de béliers teintes en rouge, la couverture de peaux de dauphins et le voile de séparation ;
      35 l'arche du témoignage et ses barres, ainsi que le propitiatoire ;
      36 la table, tous ses ustensiles et les pains consacrés ;
      37 le chandelier d'or pur, ses lampes, les lampes préparées, tous ses ustensiles et l'huile pour le chandelier ;
      38 l'autel d'or, l'huile d'onction et le parfum odoriférant, et le rideau de l'entrée de la tente ;
      39 l'autel de bronze, sa grille de bronze, ses barres et tous ses ustensiles ; la cuve avec sa base ;
      40 les toiles du parvis, ses colonnes, ses bases et le rideau de la porte de cette cour, ses cordages, ses pieux, ainsi que tous les ustensiles pour le service du tabernacle, pour la tente de la rencontre ;
      41 les vêtements de service pour le sanctuaire, les vêtements sacrés pour le grand-prêtre Aaron et ceux de ses fils pour leurs fonctions en tant que prêtres.
      42 Les Israélites firent tous ces travaux en se conformant à tous les ordres que l'Eternel avait donnés à Moïse.
      43 Moïse examina tout le travail et vit qu’ils l'avaient fait comme l'Eternel l'avait ordonné, ils l'avaient fait exactement ainsi. Alors Moïse les bénit.

      Proverbes 15

      1 Une réponse douce calme la fureur, tandis qu’une parole dure augmente la colère.
      2 La langue des sages rend la connaissance plaisante, tandis que la bouche des hommes stupides déverse la folie.
      3 Les yeux de l'Eternel sont partout, observant les méchants autant que les bons.
      4 Une parole porteuse de guérison est un arbre de vie, tandis que la langue perverse brise le cœur.
      5 Le fou méprise l'instruction de son père, mais celui qui tient compte du reproche fait preuve de sagesse.
      6 Il y a de grandes richesses dans la maison du juste, alors qu’il y a du trouble dans les profits que le méchant réalise.
      7 Les lèvres des sages propagent la connaissance, mais le cœur des hommes stupides n'est pas sûr.
      8 Le sacrifice qu'offrent les méchants fait horreur à l'Eternel, tandis que la prière des hommes droits lui est agréable.
      9 La conduite du méchant fait horreur à l'Eternel, alors qu’il aime l'homme qui poursuit la justice.
      10 Celui qui abandonne le sentier doit s’attendre à une sévère correction ; celui qui déteste le reproche mourra.
      11 Le séjour des morts et le gouffre de perdition sont devant l'Eternel. C’est d’autant plus le cas du cœur des hommes !
      12 Le moqueur n'aime pas qu'on le reprenne, il ne va pas vers les sages.
      13 Un cœur joyeux rend le visage plaisant, mais quand le cœur est triste, l'esprit est abattu.
      14 Un cœur intelligent recherche la connaissance, tandis que la bouche des hommes stupides se nourrit de folie.
      15 Tous les jours du malheureux sont mauvais, mais le cœur content est un festin continu.
      16 Mieux vaut peu avec la crainte de l'Eternel qu'un grand trésor avec le trouble.
      17 Mieux vaut un plat de légumes là où règne l'amour qu'un bœuf engraissé dans la maison de la haine.
      18 Un homme violent pousse au conflit, tandis que celui qui est lent à la colère apaise les disputes.
      19 Le chemin du paresseux ressemble à une haie de ronces, tandis que le sentier des hommes droits est tout préparé.
      20 Un fils sage fait la joie de son père et un homme stupide méprise sa mère.
      21 La folie est une joie pour celui qui est dépourvu de bon sens, mais un homme intelligent suit le droit chemin.
      22 Les projets échouent en l'absence de délibération, mais ils se réalisent quand il y a de nombreux conseillers.
      23 On éprouve de la joie à bien répondre, et qu’une parole dite à propos est agréable !
      24 Le sentier de la vie mène en haut, il est pour l'homme avisé afin qu’il se détourne du séjour des morts qui est en bas.
      25 L'Eternel démolit la maison des orgueilleux, mais il préserve le domaine de la veuve.
      26 Les mauvaises intentions font horreur à l'Eternel, mais les paroles bienveillantes sont pures à ses yeux.
      27 Celui qui est assoiffé de profit trouble sa maison, mais celui qui déteste les pots-de-vin vivra.
      28 Le cœur du juste médite avant de répondre, tandis que la bouche des méchants déverse des méchancetés.
      29 L'Eternel se tient loin des méchants, mais il écoute la prière des justes.
      30 Un regard lumineux réjouit le cœur, une bonne nouvelle fortifie le corps.
      31 Certains reproches mènent à la vie ; celui qui les écoute séjournera parmi les sages.
      32 Celui qui néglige l'instruction se méprise lui-même, celui qui écoute un reproche acquiert du bon sens.
      33 La crainte de l'Eternel enseigne la sagesse et l'humilité précède la gloire.

      Jean 18

      1 Après avoir dit ces paroles, Jésus alla avec ses disciples de l'autre côté du torrent du Cédron où se trouvait un jardin ; il y entra, lui et ses disciples.
      2 Judas, celui qui le trahissait, connaissait aussi l'endroit parce que Jésus et ses disciples s'y étaient souvent réunis.
      3 Judas prit donc la troupe de soldats romains ainsi que des gardes envoyés par les chefs des prêtres et les pharisiens, et il s’y rendit avec des lanternes, des torches et des armes.
      4 Jésus, qui savait tout ce qui devait lui arriver, s'avança alors et leur dit : « Qui cherchez-vous ? »
      5 Ils lui répondirent : « Jésus de Nazareth. » Jésus leur dit : « C'est moi. » Judas, celui qui le trahissait, était avec eux.
      6 Lorsque Jésus leur dit : « C'est moi », ils reculèrent et tombèrent par terre.
      7 Il leur demanda de nouveau : « Qui cherchez-vous ? » Ils dirent : « Jésus de Nazareth. »
      8 Jésus répondit : « Je vous ai dit que c'est moi. Si donc c'est moi que vous cherchez, laissez partir ceux-ci. »
      9 Il dit cela afin que s'accomplisse la parole qu'il avait prononcée : « Je n'ai perdu aucun de ceux que tu m'as donnés. »
      10 Alors Simon Pierre, qui avait une épée, la tira, frappa le serviteur du grand-prêtre et lui coupa l'oreille droite. Ce serviteur s'appelait Malchus.
      11 Jésus dit à Pierre : « Remets ton épée dans son fourreau. Ne boirai-je pas la coupe que le Père m'a donnée à boire ? »
      12 La troupe, le commandant et les gardes des Juifs s’emparèrent alors de Jésus et l’attachèrent.
      13 Ils l'emmenèrent d'abord chez Anne, car il était le beau-père de Caïphe qui était grand-prêtre cette année-là.
      14 Or Caïphe était celui qui avait donné ce conseil aux Juifs : « Il vaut mieux qu'un seul homme meure pour le peuple. »
      15 Simon Pierre et un autre disciple suivaient Jésus. Ce disciple était connu du grand-prêtre, et il entra avec Jésus dans la cour de la maison du grand-prêtre,
      16 tandis que Pierre restait dehors près de la porte. Alors l'autre disciple, qui était connu du grand-prêtre, sortit, parla à la femme qui gardait la porte et fit entrer Pierre.
      17 La servante qui gardait la porte dit à Pierre : « Ne fais-tu pas partie, toi aussi, des disciples de cet homme ? » Il répliqua : « Je n'en fais pas partie. »
      18 Les serviteurs et les gardes qui étaient là avaient allumé un feu de braises pour se réchauffer, car il faisait froid. Pierre se tenait avec eux et se chauffait aussi.
      19 Le grand-prêtre interrogea Jésus sur ses disciples et sur son enseignement.
      20 Jésus lui répondit : « J'ai parlé ouvertement à tout le monde ; j'ai toujours enseigné dans les synagogues et dans le temple, où les Juifs se réunissent constamment, et je n'ai rien dit en secret.
      21 Pourquoi m'interroges-tu ? Interroge ceux qui m'ont entendu sur ce que je leur ai dit ; ils savent, eux, ce que j'ai dit. »
      22 A ces mots, un des gardes qui se trouvait là donna une gifle à Jésus en disant : « C'est ainsi que tu réponds au grand-prêtre ? »
      23 Jésus lui dit : « Si j'ai mal parlé, explique-moi ce que j'ai dit de mal ; et si j'ai bien parlé, pourquoi me frappes-tu ? »
      24 Alors Anne l'envoya attaché à Caïphe, le grand-prêtre.
      25 Simon Pierre était là et se chauffait. On lui dit : « Ne fais-tu pas partie, toi aussi, de ses disciples ? » Il le nia et dit : « Je n'en fais pas partie. »
      26 Un des serviteurs du grand-prêtre, un parent de celui à qui Pierre avait coupé l'oreille, dit : « Ne t'ai-je pas vu avec lui dans le jardin ? »
      27 Pierre le nia de nouveau. Et aussitôt un coq chanta.
      28 De chez Caïphe, ils conduisirent Jésus au prétoire ; c'était le matin. Ils n'entrèrent pas eux-mêmes dans le prétoire afin de ne pas se souiller et de pouvoir manger le repas de la Pâque.
      29 Pilate sortit donc à leur rencontre et dit : « De quoi accusez-vous cet homme ? »
      30 Ils lui répondirent : « Si ce n'était pas un malfaiteur, nous ne te l'aurions pas livré. »
      31 Sur quoi Pilate leur dit : « Prenez-le vous-mêmes et jugez-le d’après votre loi. » Les Juifs lui dirent : « Nous n'avons pas le droit de mettre quelqu'un à mort. »
      32 C'était afin que s'accomplisse la parole que Jésus avait dite pour indiquer de quelle mort il allait mourir.
      33 Pilate rentra dans le prétoire, appela Jésus et lui dit : « Es-tu le roi des Juifs ? »
      34 Jésus [lui] répondit : « Est-ce de toi-même que tu dis cela ou d'autres te l'ont-ils dit de moi ? »
      35 Pilate répondit : « Suis-je un Juif, moi ? Ta nation et les chefs des prêtres t'ont livré à moi. Qu'as-tu fait ? »
      36 Jésus répondit : « Mon royaume n'est pas de ce monde. Si mon royaume était de ce monde, mes serviteurs auraient combattu pour moi afin que je ne sois pas livré aux Juifs ; mais en réalité, mon royaume n'est pas d'ici-bas. »
      37 Pilate lui dit : « Tu es donc roi ? » Jésus répondit : « Tu le dis, je suis roi. Si je suis né et si je suis venu dans le monde, c’est pour rendre témoignage à la vérité. Toute personne qui est de la vérité écoute ma voix. »
      38 Pilate lui répliqua : « Qu'est-ce que la vérité ? » Sur ces mots, il sortit de nouveau à la rencontre des Juifs et leur dit : « Pour ma part, je ne trouve en lui aucun motif de le condamner.
      39 Mais, comme c'est une coutume parmi vous que je vous relâche quelqu'un lors de la Pâque, voulez-vous que je vous relâche le roi des Juifs ? »
      40 Alors de nouveau ils crièrent [tous] : « Non, pas lui, mais Barabbas ! » Or, Barabbas était un brigand.
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